L'amour Est-il Plus Fort Que La Peur ?

chapitre 4

PDV alice

La description de sa maison ressemble étrangement à la maison voisine à la mienne, je peux le dire car je connais cette maison par coeur quand je me dispute avec ma mère, je m'y réfugie, depuis mon arrivée dans cette ville, cette maison n'a jamais connu d'habitant.

Mon bus arrive, je ne peux pas le laisser là. Je lui attrape la main.

"Viens suis moi"

"Heu...t'es sûr ?"

"Aller bouge toi ! On va rater le bus"

"Mais ?"

"Je pense savoir dequelle maison tu me parle"

"J'ai pas tros le choix, alors ok je te suis"

On monte dans le bus.

"On va où exactement ?"

"Chez moi"

"Attend ? Tu avais dit que tu savais où était ma maison "

"Oui mais tu risques d'avoir un petit problème "

"Ha bon pourquoi ?"

"Cette maison est en face de chez moi mais..."

"Ho mais c'est super !!!"

"Attends laisse moi finir, sa va faire plus de 10ans qu'elle est abandonnée"

"Ca veut dire que j'ai déménagé, mais je ne me souviens de rien, bordel de mémoire, je vais aller où moi !!?"

"T'énerve pas ça sert à rien. Pour l'instant tu vas venir à la maison"

"C'est très gentil de ta part mais je vais pas m'incruster dans ta vie de famille"

"Ne t'inquiète, tu ne derangeras personne, ma mère travail tout le temps je suis donc toute seule"

"Et ton père ?"

"il ne fait plus parti de ma vie"

"Oh désolé je ne voulais pas"

"Ne t'excuses pas ce n'est pas de ta faute "

"Merci beaucoup de m'aider"

PDV de Gabriel

Je n'en revenait pas. Elle m'aide tellement sans elle j'aurais du dormir dehors, cette fille est tellement génial.
Le bus freina d'un coup ce qui fit que je me pris l'accoudoir en pleine côte.
D'un coup je senti une atroce douleur. Je me plia en deux et etouffa un cri de douleur.

"Harg...."

"Ca va  ?"

Je voyais sur son visage de l'inquiétude, malgres la douleur je me redresse pour ne pas l'inquiéter d'avantage.

"Ca va, ca va ne t'inquiète pas "

e
Elle me regarda de travers mais ne dit rien, une fois le bus arrivé, nous en descendons et la je la vois me pointer un direction de doigt.

"C'est celle là ?" Me demanda-t-elle

"Oui ! "