chapitre 8

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quant je me suis callait dans ses bras, hier soir, un sentiment de sécurité m'avais envahi. Pour une fois je n'avais plus peur, plus peur de me rendormir.

Et dans mon moment de réflexion, je sentie une main me caresser les cheveux, ce qui me rammena direct à la réalité.

-sa va mieux ?
-oui beaucoup, merci !
-tu n'as pas à me remercier, je n'ai rien fait.
-si, tu m'as pris dans tes bras, et j'en avais besoin .
-si il n'y a que ca pour voir ce si jolie sourire illuminé ton charmant visage alors vient quant tu veux.
-merci. dis-je en rougissement
-sinon tu veux en parlé ?
-de quoi ? dis-je innocament
-alice !!!
-laisse tombé c'est pas si grave.

il arreta de me carresser les cheveux.

-tu peux continuer s'il te plait ?
-que si tu me racontes !
-tu lacheras pas l'affaire, n'est-ce-pas ?
-non !

-s'il te plait laisse c'est rien d'important

-parler te ferais du bien

il se remit à me caresser tendrement les cheveux.

- ok, je comment te dire

-vas y lance toi

- A ma naissance, ma mère a refusé ma garde, soit disant elle ne se sentait pas prête à assumer, elle est partie et m'a laissé à mon père. Quant il m'on eu mon père couchait avec n'importe qui, c'était un énorme connard, ma mère le savait mais elle est quand même partie pensant qu'il changerait pour moi. Bien sûr, il a changé, il est devenu pire, il c'est mis à boire et n'arrêtait pas de me dire que j'avais gâché sa vie et puis il c'est mis a me battre. merde j'en ai trop dit allez on vas se préparer

-pourquoi tu m'as rien dit hier
-je n'avais pas tros envie de te le dire
-Oui je comprend, exscuse moi !
-T'y est pour rien, allez debout on va être en retard au lycée

Nous avons repris un jeudi, ce qui veux dire que c'est le dernier jour avant le weekend.

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L'amour Est-il Plus Fort Que La Peur ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant