L'amour Est-il Plus Fort Que La Peur ?

chapitre 11

-Ne t'avises pas à la toucher ! on t'as jamais dis qu'on levait pas la main sur une fille !
-mais Gabriel...
-Allez viens Alice on se casse !

il me prend par la main et m'amene au niveau des gradins, pour finir notre repas plus tranquillement.

"-merci." lui dis-je avec un petit sourire en coin

"-derien mais ne t'images plus que je puisse te remplacer"

"-tu es quand même au courant que tu as renvoyé balader ta copine ?"

"-He ben, j'étais bien con avant, de sortir avec ses pots de peinture, surtout quant il y a beaucoup mieux à coter de moi."

il a bien insisté sur le " à coter de moi", je commence a devenir rouge pivoine mais la sonnerie retentit et me sauve. L'expression sauver par le gong prend tout son sens dans ses moment là.

"-bon je te laisse." dis-en partant rapidement

je l'entends rire de mon comportement mais je ne me retourne pas.
Ho c'est pas vrai j'ai histoire ! la matiere en elle même n'est pas si nul mais j'ai deja croisé le prof qu'on allait avoir et je ne l'aime pas du tout.

En cour Marine vient s'assoir à coter de moi

"-Alice je voudrais te parler c'est important"

"-ca va pas ? qu'est ce qui ce passe ? c'est grave ?"

"-he calme-toi, c'est pas si grave mais je voudrais te prevenir..."

"-de quoi ?"

"-à midi, j'ai vu tous ce qui s'est passé, quant tu était à coter de Gabriel, je ne l'avais jamais vu défendre une fille mais je sais qu'il sort avec les fille juste pour une chose et apres il les largue comme des merde, alors s'il te plais, fais attention."

"-attend comment tu le connais ?"

"-mon frère et lui sont pote"

"-mais je ne l'ai jamais vu ton frère"

"-c'est normal Gabriel a redoubler alors que mon frère non"

"-ha ok, mais t'inquiete je serais prudente"

"-il n'est pas mechant mais il faut faire attention de toute facon si il te fait du mal, tu me le dis et je lui casse la gueule." dit-elle en se mettant à pouffer de rire.

A la fin des cours, je vais vers mon casier pour ranger mes cahiers quant je me fais violament bousculer et que je tombe à terre.
he là devinez qui je vois ? la blonde de se midi avec ses 2 toutous qui la suivent.

"-Ce que je t'ai dis hier n'étais pas assez clair, en plus de me faire chier tu te permet de me piquer mon mec !"

ses toutons commence à me donner des coups de pied, j'essaye d'esquiver les coups met en vain, ils sont beaucoup plus fort que moi.

D'un coup j'oublie tous ce qui est autour de moi, j'ai l'impression de ne revoire que mon père, il me frappe, il n'arrête pas et enchaîne coup sur coup, je n'arrive plus à respirer correctement.

PDV DE GABRIEL

les cours venait de se terminer, j'était dans les couloirs quant j'entendis quelu'un crier, cette voix je la reconnaitrais entre mille

"-papa ! papa stop ! arrete !"

Merde, c'est alice je ne cherche pas à comprendre plus et me met à courir vers elle.
les deux gars et la blonde de ce midi sont là, alice est recroquevillé et pleurs
quant je l'entendis d'une toute petite voix dire

"-papa, laisse moi, laisse moi !"

Elle a de plus en plus de mal à reprendre son soufle, alors je n'hésite pas et la prend dans mes bras

"-Alice calme-toi, c'est moi, c'est gabriel, allez sa va allez, c'est finit "

des qu'elle m'entendis, elle s'accripa à mon t-shirt, elle tremblais énormément.

"- ne me laisse pas, s'il te plait, j'ai peur ! "dit elle d'une voix supliante

"-non ne t'inquiete pas, je reste avec toi"

-je...
-chut... pour l'instant tu te calme.

une voix m'interpella

"-mais gabriel ! qu'est ce qui te prend, tu vois bien qu'elle est folle ! Et qu'elle te manipule " cria la blonde

je soulève alice tel une princesse, elle est épuisée et tremble toujours. je m'approche de la blonde

"- tu vas le regretter de lui avoir fait du mal, tu vas souffrir toi et t'es deux caniches "

"-mais pourquoi tu prend sa défense, je t'aime moi !"

"-moi pas !:

sur ces 2 mots je sortie du lycée , la chance est avec moi car des que je rejoins notre arret notre bus est tous juste d'arrivé.

-attend Gabriel...

je me retourne mais je ne reconnais pas le type qui me parle, je regarde Alice complètement perdu.

-c'est le frère à marine je crois. me dit-elle presque dans un murmure

je me retourne

-gars j'ai pas le temps de te parler mais on verra ca plus tard

-ok tiens moi au courant, t'as quelque chose de changé

je rentre dans le bus, en la portant toujours dans mes bras, je crois qu'elle s'est endormie.

une fois arrivait devant chez elle, sa mère sors en trombe.

"-Alice mon bébé ! que c'est il passé ?"