Don't Stop, Daddy. MATURE FRENCH

VI

Cette nuit-là, lorsque je suis allé me coucher, je ne pouvais cesser de penser à ce garçon. Le souvenir de sa voix rauque, de sa poitrine, se son toucher, de sa langue sur mon cou. C'était tout ce à quoi je pouvais penser.

Sans mentir, ces souvenirs encore frais étaient certes maladroit, mais vraiment délicieux.

Quand je me suis réveillé le lendemain matin, j'etais seul, je me suis alors souvenu que mon père m'avait dit que lui et sa femme travailleraient, et que les enfants seraient à l'école, donc pour la toute première fois j'avais la maison à moi toute seule.

Apres le petit déjeuner, j'ai reçu un appel d'Amanda qui me demandait si je pouvais arroser les fleurs du jardin, juste devant la maison. Bien sur la première chose à quoi j'ai pensé est que ça aurait pu être une chance d'au moins voir Harry.

J'ai changé mon pyjama pour un short et un top blanc avec mes vans.

Maintenant que j'etais plus à l'aise, j'etais prête à sortir. J'avouerais être un peu excité à propos de 'ma chance' mais en même temps j'avais peur.

Peur de lui ? Non. J'avais peur de la situation en elle-même. J'etais une jeune fille de 17 ans sur le point de commencer l'université et j'etais obsédé par un homme qui avait l'air de bien m'aimer ou de bien aimer les jeunes filles. Compte tenu de notre âge, je ne savais même pas si cela était légal. Mais comme on le dit, plus c'est interdit, plus on en veux plus.

Alors je l'ai fait. Je suis parti arrosé les plantes comme Amanda me l'avait demandé. Seulement lorsque je suis sorti de la maison, je me suis rendu compte que je n'etais pas aussi courageuse que je le pensais.

Et pendant que je pensais à combien j'etais lache, un son de porte qui claque a attiré mon attention. J'ai sursauté et fis tomber le tuyau, j'ai essayé de ne pas avoir l'air plus stupide que je ne l'etais déjà.

Et j'ai vu Harry, Harry qui se dirigeait vers sa voiture. Il portait un jean et un t-shirt noir qui montrait ses bras. La vue me permettait de voir un peu plus de tatouages qu'hier. Il regardait son téléphone l'air concentré, jusqu'à ce qu'il  me vit. Ce sourire que je n'avais pas vu depuis qu'il était sorti de chez lui apparut enfin. Sa marche était plus lente et il mis sont téléphone dans sa poche arrière de Jean.

Je savais que je ressemblais à une fille complètement débile en restant la à le regarder arriver à sa voiture, lui toujours souriant, mais je ne pouvais rien faire d'autre. C'était l'effet qu'il avait sur moi, je me sentais faible.

Mais j'aimais ça et je suis sûr qu'il aimait encore plus ça que moi. Peut-être que mon séjours à Wild Valley n'allait pas être si horrible.

Quand il est arrivé à sa voiture, il a ouvert sa portière et je me suis retourné. J'ai essayé de me concentrer sur ce que je faisais, ou aurait dû faire, mais malheureusement pour moi ma concentration n'a pas beaucoup duré

« As-tu idée de combien tu sembles hot » sa voix rauque que j'aimais tant à chuchoté au creux de mon oreille. Sa main traçait des cercles sur mon avant-bras, et son autre me saisissait la taille. Sa poitrine appuyée sur mon dos, et il avait autre chose pressée contre moi...

"Harry, je ..."

"Ne t'inquiète pas, baby girl", dit-il en mettant mes cheveux d'un côté, laissant mon cou découvert. J'ai penché ma tête  sur le le côté  pour lui laisser tout l'accès qu'il voulait, et il m'a embrassé le cou. Sa main se resserra sur ma taille, alors qu'un gémissement presque inaudible a franchi la barrière de mes lèvres. Quand je m'en suis rendu compte, j'ai rougis, mais je ne m'en souciais pas vraiment . Je me sentais incroyablement bien, je me mordais la lèvre inferieure et me suis retourné vers lui.

« Ne fais pas cela, à partir d'aujourd'hui le seul qui mordra tes lèvres ça sera moi d'accord ? »

« Alors fais-le »

« Pas besoin de se presser, mais cela arrivera plus tôt que tu ne le pense

Et avec un dernier bisou dans mon cou, il partit dans sa voiture.

Cet homme ne serait définitivement pas mon frère...