Don't Stop, Daddy. MATURE FRENCH

VII

Le jeudi matin, je me suis réveillé à cause de la sonnerie de la porte d'entrée. Susan, une voisine d'environ 50 ans était à ma porte. Elle était désespérée apparemment, il y avait eu plusieurs cambriolages dans le quartier pendant la nuit. Elle était venue vérifier que j'allais bien, mon père s'était assuré que tout le monde sache que j'etais seul la journée afin qu'ils puissent s'occuper de moi. Même si c'était  gentil, quel âge pense-t-il que j'avais ?

Cependant après son départ, je n'avais pas envie de retourner me couché, alors je me suis changé et j'ai décidé d'aller prendre un quelque chose à boire, au café du coin de la rue.

J'avais promis que je resterais à la maison, mais ce n'est pas vraiment mon style d'obéir. Donc je suis sorti.

Wild Valley n'était pas du tout sauvage, sauf peut-être pour les cambriolages. Il n'y avait personne dehors. J'ai pris mon café et je me suis mise en marche pour rentrer à la maison, parce que c'était l'endroit le plus ennuyeux ou je n'avais  jamais été.

Sur le chemin du retour, j'ai remarqué qu'une voiture me suivait. Je n'ai pas eu peur, comme le font normalement les gens. J'été plus en colère : je détestais cet endroit et voilà qu'une voiture me suivait ! Génial, tout simplement génial.

« Ma baby girl ne devrait pas se promener seule »

J'ai tourné ma tete vers la gauche et je l'ai vu. La voiture noire était la sienne, la fenêtre côté passager était légèrement baissé, je ne pouvais donc  voir que ses yeux.

« Harry » et seulement maintenant j'ai eu peur. Toujours pas peur de lui, mais peur que quelqu'un nous voit.

« Viens » et soudain il ouvrit la porte pour que je puisse monter.

« Hum... Je ne pense pas que je devrais »

« Pourquoi pas ? Nous avons fait pire » a-t-il dit me faisant un clin d'œil. Et cela a suffi à me faire monter dans la voiture. Quand je me suis assise, j'ai pu sentir son odeur qui remplissait la voiture et je crois bien que je pourrais rester toute ma vie à sentir ce parfum.

Il me regarda et me sourit « Tu ne vas pas dire bonjour ? »

« Salut » et lentement je me suis approché pour lui embrasser la joue.

« C'est mieux » dit-il avec un petit rire, me faisant sentir comme une stupide petite fille.

Il a conduit en silence. Arriver dans notre rue, il se gara devant ma maison. Je ne voulais pas sortir mais je savais que si je restais la situation pourrait très vite devenir incontrôlable.

« On y est » dit-il en tournant son corps vers moi.

« Merci de m'avoir ramené Harry »

« Ce n'est rien Baby girl » et il a mis sa main sur mon genou, je portais une jupe, ça n'a pas aidé

« Pourquoi m'appelles-tu toujours comme ça ? » demandai-je en regardant sa main.

« Parce que c'est ce que tu es, n'est-ce pas ? Tu es ma baby girl » et suite à ses mots, il monté sa main sous ma jupe de quoi me faire frissonner.

Je gigoté sur mon siège inconfortable, même si une partie de moi était à l'aise. Je n'avais aucune idée de ce qu'il allait faire, alors j'ai fermé les yeux.

« Je vais te ramener à l'intérieur » et il est  sorti de la voiture, j'ai arrangé ma jupe et suis sorti.

« Tu n'as pas besoin de -»

« Crois-moi, je le veux » et ce sourire en coin a eu le pouvoir de me convaincre.

J'ai ouvert la porte et aussitôt que nous sommes entrés, il la fermé et j'ai jeté les clés sur la table d'entrée. Il m'a attrapé par le bras et a commencé à m'embrasser le cou. Mes bras étaient autour de son cou alors que nous avancions à reculons vers le canapé. Je savais que nous étions dans une situation dangereuse, mais je n'en avais rien à faire.

Il s'est assis sur le canapé et je suis resté debout à côté de lui le regardant, en essayant de récupérer mon souffle. Il semblait agité, ses jambes était écartés et ses bras posé sur  le haut du canapé, une position naturelle mais qui semblait si sexy.

Je me suis assise à côté de lui et il a pris ma main. A ma grande surprise, il l'embrassa simplement. Je l'ai regardé un peu choqué et  tout ce qui se passait n'avais pas de sens pour moi.  Une minute il m'embrassait farouchement et la suivante   il se comportait en gentleman m'embrassant la main.

« J'adore te voir si confuse, Florence »

« Je-je » je ne trouvais plus mes mots « Je ne sais pas ce que tu dis »

« Alors, n'utilise pas tes lèvres pour me parler, viens baby girl » et il s'est rapproché de moi, j'ai fait de même et je me suis laissé aller.

Ses mains étaient sur ma taille, mes bras autour de son cou et ses lèvres s'écrasant contre les miennes. Le bisou devenait de plus en plus passionné. Sa langue dans ma bouche bougeait comme ses mains sur mon corps.

J'ai embrassé son cou, découvrant encore de nouveaux tatouages. Il m'a pris par la taille et m'a assise sur lui, mes jambes de chaque coté de ses cuisses. Nous nous sommes embrassées à nouveau, et la situation était déjà hors de contrôle.

J'ai commencé à embrasser son cou en découvrant chacun de ses tatouages de poitrine. Il m'a pris par la taille et m'a assis sur mes jambes. Nous nous sommes embrassés à nouveau sur les lèvres et la situation était déjà hors de contrôle.

« Tu sais ce qui va se passer, n'est-ce pas ? » il me demanda de sa voix rauque, son doigt glissant de mon menton à ma poitrine.

« Je sais » dis-je en l'embrassant à nouveau.

Nous nous sommes embrassés sauvagement . Nous étions sauvages ensemble.