Chapitre 2

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Chapitre 2

Mon bain refroidi, je tira le bouchon et enfila un t-shirt. Je récupéra mon téléphone et ma pochette et j’alla dans la chambre en laissant la salle de bain en désordre. Je glissa dans mes draps, ouvrit la pochette et sorti le petit mot avec son numéro de portable privé. .. Je l’introdui dans mon téléphone en souriant. Tien ? Il y a un truc au fond de la pochette. Je sortit le bout de tissu. Un mouchoirs avec les initiale de Ikuto dessus, qu’il avait parfumer bien évidement. Effectivement, cet homme est romantique. Je garda le mouchoir près de moi pour dormir.
Mes rêves fut mélanger à cette odeur enivrante et de sensualité sans limite.
 

   A 9h nous nous retrouvions tous dans le hall enfin de visiter un atelier de kimono , le plus ancien  de la capitale.
Utau : Bien dormi ?
Amu : Tu déconnes ? Avoir un lit king size de je sais pas combien de mètres de largeur rien que pour moi c’est le pied !!
Utaut : Tu m'étonnes, Kukai à réussi à tout de même prendre toute la place cette nuit…
Kkukai : Excuse moi d’être fatigué mademoiselle ! C’est qui qui t’as donne l’orgasme du siècle hier ?
Utaut (souri) oui c’est vrai que c’était pas mal…
Kukai  (blasé ) Je t’emmerde ..
Amu : Haa ! Comme j’adore entendre vos ébats sexuelle !

   Je soupira et en levant la tête je vis monsieur Stukiyomi qui s’apprêtait à sortir de l’hôtel, mais avant il semblait chercher quelqu’un. Ce fut moi apparament car quand il me vit, il me fit son grand sourire charmeur accompagné d’un clin d’œil et il partit.
Quelques filles de la classe le remarqua et commencèrent leurs commérages. Allez-y les filles, faite vous plaisir si vous sauriez la vérité vous tomberiez raide.
Utau : C’est moi ou Mr. Stukiyomi t’as dans la peau ?
Amu : ( hausse les épaules ) je sais pas je ressemble peut être à sa fille.

   Oui mieux vaut mentir pour cette fois, désolé chérie !
Le professeur nous emmena au bus à étage et nous nous rendions au site pour la journée. Ensuite nous avions 2 heures de libre pour se balader, acheter des kimono ou yukata et autres tenues traditionnelles japonaise.
Me retrouvant seule, préférant laisser les amoureux ensemble, j’en profita pour sortir le mouchoir de mon sac et inhala ce parfum qui dominait mes penser les plus perverse a m’en tordre le ventre. Je le rangea aussitôt. Et quelque instant plus tard nous étions partit pour rejoindre l’hôtel. Dans le bus le professeur nous fit un bilan et explica qu’après les vacances qui suivent cette sortie nous devrions y faire un rapport. Les notes que nous avions prisent étaient donc très importante car le devoir sera noté. Les filles  (et kukai) râlerèrent . Il y a de quoi, les profs doivent toujours gâché notre plaisir avec leur devoir à la con noté. Mmh.. et si je demandais de l’aide a ikuto .. ?

  Le soir, à l’hôtel, à l’heure du dîner plus précisément, j’en fila une combinaison noir fluide avec une ceinture dorée, mes bijoux furent tout aussi doré ainsi que des escarpins noir vernis. Mes cheveux remonté et un maquillage léger . Il fallait être plus que présentable pour le dîner du soir car des vedettes y venait séjourner ou dîner. Ce lycée à des goût de luxes halala..
Je pris ma fameuse pochette, mis mon téléphone et sortant de la chambre en prenant soin de la fermé. Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et l’homme à l’allure dominante y était déjà et seul. Il me sourit, j’en fit de même et rentra dans l’ascenseur. Les porte se refermerent et il prit ma main et y déposa un baiser.

Iijuto : Toujours aussi splendide même si je vous préférez hier soir…
Aamu( rougit et sourit ) Et vous toujours aussi dragueur et élégant avec votre carrure et votre parfum qui mon animé toute la journée.
   Je le regardant amuse et sortit de ma pochette le mouchoir en tissus. Il sourit aussi.

Iiikuto : Vous avez penser à moi ! Vous vous êtes parfumer à la vanille.
Amu : J’adore aussi la vanille mai-

   Je fut couper par les porte qui s’ouvrir quelques étages plus bas, devant 3 filles de ma classes. Elles pénétrerent dans la micro pièce en me souriant et en s’inclinant devant Mr. Stukiyomi, respectueuses et admiratives de ce grand hommes, quelles pouvait enfin approcher.
Il me souria, et continua notre discussion malgré mes camarades.. Notre jeu ne venais que de commencer.

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