tu es mon obsession

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Stilestourna une fois de plus sur sa chaise, observant son plafond. a côtéde lui, Scott étalé sur son lit, les yeux fermés. L'ordi allumésur le bureau ouvert sur une page Word clignotante, leur devoird'histoire en pause. Scott brisa le silence:

-tupense que Derek est vraiment sérieux?

-franchement,je sais pas, sa réaction et ses paroles m'ont laissé perplexe.

Scottse releva se plaçant sur une chaise à côté du brun

-Cetype est désespérant

-tuparle tout de même de l'alpha de la meute

Ontoqua a sa porte, -Stiles, Issac est la, je le fais rentrer

-vasy pa'

-salut

-yossac

-bonretour ptit'loup

Ils'installa par terre le dos appuyé sur le lit, il avait l'air crevé

-Derekas été dure avec toi ?

-Ila essayé de me tuer oui, il était furax et avec ton absence, cela arajouté une couche en plus. Cache toi la prochaine fois que tu lecroise sinon je donne pas chère de ta peau, ils rigolent.

ilspassèrent le reste de la journée ensemble, Scott et Stileslaissèrent leur exposé de côté pour aller regarder un film et sefaire une partie de basket sur la terrasse derrière la maison. ilsrentrèrent lorsque le soleil déclina et que la faim se fit sentir.ils commandent des pizzas rapidement et se posent dans la cuisine. Ontoqua à la porte, Scott décida d'aller ouvrir , Lydia et Jackson,du pop corn dans les bras et des dvds

-Soiréedvd ? interrogea scott

-Soiréedvd ! assura Lydia

onressonna quelque instant plus tard, allison avec des bouteilles desoda et son oreiller , c'est Issac qui lui ouvrit en rigolant. touss'installèrent en s'amusant, stiles posa les restes de pizza sur latable basse avec des verres et ce qu'avait apporté les autres. Ilenvoya un sms rapidement à son père le prévenant que ses amispassaient la soiré chez eux. scott et issac descendirent un matelasde l'étage ils poussèrent les canapés, en dépliant un en lit.ainsi ils se posèrent tous dessus: Stiles et Scott ensemble sur lematelas, lydia et jackson sur le canapé, Allison sur le lit et Issacvint par la suite se glisser entre scott et stiles. le film avaitdébuté depuis peu que l'on toqua une fois de plus à la porte,erica et Boyd entré, ils avaient l'air fatigué. ils se posèrent àcôté d'Allison, le film fut mis sur pause et lydia accompagnéd'Allison alla chercher d'autre couverture et des trucs à grignoter.

-quec'est il passer ? interrogea Scott

-Derekest d'une humeur massacrante et il a continué à nous faire couriret à nous entraîner, j'ai reçu après un message de Lydia pour lasoirée et il a refusé de nous laisser venir, on a filé en doucealors qu'il était entrain de s'entraîner au sous-sol, ont a misdu sorbier devant les sortis principale, il ne risque pas de veniravant un bon moment. Stiles se leva, rejoignant les filles dans lacuisine pour préparer des chocolats chaud, s'inquiétant pour l'étatdes loups. ils relancent le film plus tard mais stiles ne posa pas unseul regard sur la télé, il observé chacun autour de lui. issacs'était collé contre lui, il l'attrapa pour le prendre dans sesbras et scott fit de même, le bêta se retrouva serrer contre lesdeux. tournant la tête vers boyd, erica s'était endormie contre sonépaule et allison s'était mis en boule dans une couette et boydl'avait rapproché de lui pour qu'elle pose sa tête sur sa jambe.Jackson et lydia serré l'un contre l'autre, tout allez bien, ilsallez bien. Bien plus tard, alors que tous dorment, stiles se leva,il avait oublié de mettre son pyjama, grimpent à l'étage, ilarriva rapidement dans sa chambre. il se déshabille rapidement,alors qu'il enlever son tee-shirt, une présence le fit se retourner

-Derek,tu m'as fait peur ! et puis je t'ai déjà dis qu'il fallait que tune passe plus par ma fenêtre ! il ne l'écouta pas et le plaquabrutalement contre sa porte en grognant. Il ferma les yeux sous labrutalité du geste. Il ne les rouvrit que lorsqu'il sentit despression sur son cou, des petites morsures

-Derek! qu'est que tu fais ? il tenta de s'éloigner de lui mais le loup seserra encore plus le plaquant entre la porte et son corps. Maisqu'arrive t il a son loup, il devait le calmer, alors il commença àlui caresser la tête, passant ses mains dans ces cheveux doux, aussinoir que la nuit. il descendit ensuite dans sa nuque il sentit leloup se détendre et se détacher un peu de lui

-qu'estce qui se passe sourwolf ?

-Tume rend fou !

-tues vraiment une personne étrange, stiles le guida jusqu'à son litle faisant s'asseoir et sans le lâcher, il vint se placer sur sesgenoux. il continua à lui caresser la tête l'encourageant àparler.

-tues toujours là autour de moi, ou que j'aille tu es la, la meuteobéit plus à toi, tu as droit à leur respect , leur amitié etleur sourire. tu fais attention a eux, les accueille chez toi, tesoucie de leur état, alors que moi je suis seulement leur alpha . ..

Stilesne dit rien, il le serra juste dans ses bras, il releva sa tête luicaressant les joues, il lui déposa des baiser un peu partout, sur lefront, les paupières, les pommettes, au coin des lèvres

-Jesais pas si c'est une dépression que tu es entrain de faire mais moije veux voir mon vrai sourwolf, l'homme dont je suis tombé amoureux,le loup fière et hypocrite, meneur exemplaire, modèle pour toute lameute, un guide pour scott, un sauveur pour issac ou erica, boyd ouencore jackson. tu as aussi réussi à créer une famille, tous nousrassembler , alors réveille toi ! Stiles se jeta dans son cou pourcacher son rougissements, le loup se frotta la joue contre lui.moment tendre entre eux, toujours a l'abris des regards. stiles sesouvient subitement de leur position et surtout de sa tenue, il sereleva donc, fini de se déshabiller, se tourna vers son armoire pourtrouver un tee-shirt mais on lui saisit les hanches, des mainsbaladeuse promener sur son corps, un tête vint s'enfuir dans soncou, une langue mutine lui lécha la gorge, des mordillements luimaltraité la peau, et les mains qui descend sur lui, il poussa ungémissements essayant d'éloigner les mains de lui

-Derek,ils sont en bas, il vont nous entendre dit il en haletant. -il suffitjuste d'être discret . . . Stiles ne put le contredire poussant unnouveau gémissement, le loup avait encore gagner.

Un Humain et des LoupsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant