Un Humain et des Loups

Nos corps liés

Lecorps enchevêtré dans un autre, une douce chaleur l'entourant, unbras sur sa taille qui raffermit sa prise , sa tête déposerdélicatement dans le cou de son opposé. Il était bien, serein,dans un cocon rassurant et doux, protecteur, il voulait rester ainsi, dans cette position pour toujours. Ont lui caressait légèrementson dos, d'un touché très aérien, presque imperceptible. Puis cesse firent plus appuyé , c'était très agréable. De doux baiserfurent par la suite déposer dans ses cheveux, sur sa trempe, sonfront, sa joue, descendant plus bas, son nez le coin de ses lèvresen les évitant soigneusement, suivant la ligne des la mâchoire,atterrissant sur le cou. Une deuxième main vint lui caresser sanuque. Il commença alors à se réveiller peu à peu sous lesnombreuses caresses et attention que lui prodiguer son amant. Deléger gémissement s'échapper de ses lèvres entrouverte qui futvite rejointe par une paire semblable. Il papillona des paupières,s'habituent rapidement à la faible luminosité de la pièce. Sonregard rencontra alors d'eux orbes carmin, brillant, le fixantintensément. Il sourit de cela, l'autre se rapprocha alors encoreplus de lui, laissant un faible espace entre les deux corps. Unréveil pareil le mettait toujours de bonne humeur mais encore pluslorsque son amant se rapprocha de sa tête , déposant légèrementses lèvres sur les siennes, les frôlant volontairement, rendantimpatient son opposé. Il força de lui même le contact , comblantl'espace entre leur deux lèvres, d'un baiser doux et léger, lebaiser devint appuyé, sauvage, leurs langues se rejoignirent , unbalais unique entre eux deux. Une chaleur se propagea dans son corps,son cœur pulsé rapidement, comme prêt à quitter son corps. Lescaresses s'intensifièrent. Ils s'écartèrent doucement reprenant del'air qui leur manquaient, il lécha ses lèvres meurtrie par lesassauts de son beau brun. Ce geste excita davantage son partenairedont le regard ne lâchait pas cette langue mutine qui passer etrepasser sur les lèvres gonflés de l'hyperactif qui était luiaussi dans un état excité bien avancé, surtout prouvé par lanaissance d'un bosse frottant sur sa cuisse. Ils se serrent alorsencore plus l'un contre l'autre, ne formant plus qu'un. Il gémit lenom de son amant avec difficulté. Une douce tordu pour le plus grandplaisir des oreilles de son partenaire. il chercha le plus de contactchez l'autre , peau contre peau. Perdu dans les méandres du plaisiret de la luxure, ils revinrent un peu à la réalité lorsque sonamant l'appela, d'une voix rauque et tellement sensuel pour lui cequi le fit frissonner, -Stiles... léger chuchotement à son oreillerépété inlassablement. Il le vit reculer, son regard étaitélectrisant, fascinant, il pouvait s'y perdre pendant des heures. Cerouge carmin, il adorait le voir perdre ses moyens, son contrôle surson loup, laissant ainsi exprimer son côté sauvage, animal.tellement sensuel et érotique à ses yeux. derek s'approcha alors delui, recommençant à le caresser son torse, l'embrassant a certainendroit, descendant doucement vers le bas du corps.

Petitdétail qu'ils avaient oublié ? On est en week-end, et de plus undimanche matin, qui dit matin dit petit déjeuner, et quelle instinctvint éveiller un loup ( a part croquer son partenaire, avec desdents) ? manger. Qu'est que cela fait quand on additionne cesconditions : toute la meute présente, à la porte de leur chambrecar pour eux ce n'était pas le moment pour que papa et mamanbatifole, ainsi frappant à la porte fortement sans laisser de tempspour répondre en ouvrant largement la porte, Peter : Très cherneveu, c'est vraiment un plaisir de voir que tu met du coeur avouloir repeupler notre meute mais il faut lâcher un peu stiles, ona faim et issac est en train de nous piquer une crise !

Ilfinit sa tirade et les plantant, il fit demi-tour, repartant envitesse, ayant trop peur de subir les foudre de l'alpha. Derek grognafortement, pas du tout content de la tournure des événements, luiaussi voulait faire un caprice et garder son humain pour lui.