Dans ce nouveau monde où les morts se relèvent pour dévorer les vivants, Alicia, Nick et Chris, font tous leurs possibles pour survivre.
Ils vont par hasard, faire la rencontre d'un groupe de survivants mené par un ancien shérif de la ville, Rick Gr...
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Notre trio a repris la route une heure après avoir manger. Nous avons profiter de cette courte pause pour se reposer, pour se remettre les esprits au clair mais surtout pour essayer d'établir un plan pour la suite.
Malheureusement, cette principale activité n'a pas abouti à grand chose. Nous en sommes venus à la conclusion qu'il nous fallait trouver un endroit pour passer nos nuits à l'abri. Il faudra donc nous trouver un toit convenable, pour après aller explorer les environs à la recherche de vivres. Et ainsi de suite. C'est comme ça que la vie fonctionne maintenant, il faut s'y faire.
Chris : On devrais peut-être sortir de cette putain de forêt si on veux trouver une maison, vous trouvez pas ? Suggère-t-il, commençant à perdre patience.
Moi : Calme-toi Chris, on va trouver.
Chris : Ça fait des heures qu'on marche ! On va rien trouver si on continues de chercher par ici !
Il commence à s'énerver et plusieurs feuilles mortes restent accrochées à sa chaussure alors qu'il enjambe des branches d'arbres.
Chris : Putain, fait chier !
Il s'arrête et secoue sa jambe dans l'air afin que les feuilles puissent se détachées de lui. Il se prend ensuite les pieds dans une branche d'arbre, et tombe. Il attrape cette dernière puis la jette loin de lui avant de s'allonger au sol, vaincu.
Je me met à rire, cependant Nick, lui, ne rigole pas. Il semble lui aussi perdre patience. En même temps, ça fait plus d'une heure que l'on marche dans cette foutue forêt...
Nick : Relève-toi Chris, on peut pas se permettre de perdre du temps comme ça... C'est dangereux ici.
Chris se relève puis nous reprenons immédiatement la route, en s'enfonçant sans le savoir de plus en plus dans cette forêt.
Les heures passent, le soleil commence désormais à être bien bas dans le ciel et toujours pas d'abri en vue. Nous commençons à croire qu'il n'y a personne de vivant dans ce secteur à part nous trois ; nous n'avons croisé que des morts depuis que nous avons repris la route.
Nick : Il faut qu'on se bouge. Je pense bien qu'on va passer la nuit ici sinon.
Moi, soupirant : J'en ai marre de marcher... J'ai mal partout... On peut pas s'arrêter quelques minutes ?
