Un cri qui fend le coeur 2

Désolé, chers lecteurs j'ai eu un petit soucis qui ma empêché de continuer l'histoire dans le premier tome. Il s'agit donc de la suite d' Un cri qui fend le cœur. J'espère que ça ne vous dérange pas d'avoir la suite ici.

Je vous aime!

Mary Alvyne ❤️

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Précédemment
Amir et Britney ont commencé à se rapprocher. Mais après
avoir abusé de drogue un soir, seule près du lac, elle fit une overdose. Amir par chance l'avait sauvé, le problème est qu'elle lui rappelait trop de mauvais souvenirs. Il décida donc de s'éloigner d'elle. Quant à Britney elle était sous la haute surveillance de ses parents.

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Chapitre 3

PDV de Britney

2 jours que j'étais sorti de l'hôpital, 2 jours. Ma mère avait pris une semaine de congés pour pouvoir rester près de moi, tandis que mon père lui s'était totalement investie dans son travail pour rester loin de moi. Je savais que ma mère avait dit aux employés de veiller sur moi en permanence. On me posait une question à chaque que je sortais de ma chambre, même si la plus part du temps c'était pour aller manger.

J'avais aussi envoyé un message à Amir pour le remercier mais aussi pour...pour lui parler. J'avais attendu son retour et j'avais aussi tout gâché. C'est ironique car je m'idéalisais, je ne me suis jamais demandée si j'étais bien pour lui avec mes problèmes de drogues, de personnalité... J'avais douté de lui sans aucune raison et voilà que je me faisais jeter.
C'est mort de tout façon car je ne crois pas revoir l'extérieur avant un bon moment.

Ma psy devait arriver d'une minute à l'autre. Je savais ce que j'avais à faire: dire que ce n'était qu'un malentendu, paraître vraie et surtout garder le sourire. Afin qu'elle m'accorde une autorisation de sortir que mes parents approuverait.

-ta psy est là, je l'ai installée sur la terrasse à sa demande. Elle t'y attend, dit ma mère gentillement. J'aimais le fait qu'elle mette ses sentiments de colère de côté pour que je puisse me rétablir.

-ok j'arrive

Après avoir sauter quelques marches, j'étais déjà ne bas. Quand je franchi le seuil de la terrasse je vis ma psy. C'était une très belle femme noire avec un regard apaisant. J'arrêtai de bouger car elle ne ressemblait à aucune autre psy, par ça je veux dire qu'elle était très jeune et portait des jeans et des baskets mais avait quand même une petite veste bleu marine qui s'accordait bien avec son jean.

-Bonjour, Britney. Moi c'est madame Payne. Je suis enchantée de faire ta connaissance. Assieds-toi.

-je n'ai pas vraiment besoin qu'une inconnu me dise si je peux m'assoir dans ma propre maison mais bon d'accord.

Merde j'allais tout foutre en l'air si je continuais comme ça. Mais son apparence ne m'impressionnait pas le moins du monde. Un moment je pensais même à la forcer à me laisser sortir. Je souris à cette idée.

-tu marques un point la, dit Mme Payne après ce que je lui avais dit, tout en gardant le sourire

Elle reprit

- pour la première séance d'habitude, je me représente et dit en quoi consiste mon travail. Mais tu n'es pas une enfant, ni bête donc je laisserais cette étape pour d'autres. Ensuite j'observe la personne en face de moi en attendant qu'elle face le premier pas.

-donc en gros, on ne fait rien premier jour, dis-je ironiquement.

-cela dépend de mon patient. S'il ne se sent pas en confiance dès la première séance c'est compréhensif. Des fois je trouve un peu bizarre ceux qui se livrent facilement du premier coup. Ils sont parfois "névrosés", dit-elle en faisant le signe des guillemets.