Chapitre 12

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PDV d'Amir

2 jours qu'on s'envoyait des textos, Britney n'avait pas demandé à me voir, et je ne voulais pas qu'elle me trouve trop collant non plus; alors je continuais de lui parler ainsi. C'était vraiment difficile pour moi, car quand j'avais "une proie" je ne m'arrêtais pas avant de l'avoir épuisée. Les femmes ont toujours été ma drogue, des jouets pour moi et j'en étais pas fière. Britney si je devais la décrire était comme de la cocaïne, la meilleure...Il suffisait que je la regarde pour commencer déjà à être dur.

Je ne sais pas si j'avais le droit de lui dire de changer sa façon de s'habiller. Son style était rock, sexy et tout comme sa personnalité mais elle devait être convoitée par bon nombre de gens. Qui sait ce qui se passe dans les revues de Philadlephie en ce moment?

Britney Morgan..comment allais-je faire pour ne pas reproduire le même schéma avec elle qu'avec les autres? Qu'avec Demi ou même ... Ma tendre ...

Flash back

On n'avait un Break de 3 jours et je pris mon courage à deux mains et décida de rentrer. Je savais qu'en comptant les heures de vols je n'aurais qu'une journée à passer avec mes proches mais il fallait que je fasse ça.

Je fis un sac rapidement ayant laissé l'essentiel en Amérique, puis j'alla dire au revoir rapidement aux autres. J'en avais marre d'entendre leur phrases débiles: "tes stupide" ou encore "c'est une perte de temps" et blablablaa

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Je la vis de loin, elle ne m'avait pas encore repéré. En même temps que je donnais mon passeport au gar de la douane pour qu'il vérifie que j'étais en règle, je regardais ma belle. Elle portait une robe moulant comme je les aime...elle avait fait exprès. C'était de la pure provocation. Quand j'eus enfin fini avec tout ça, je me dirigeai vers elle et lorsqu'elle me vit elle sauta littéralement sur moi. Elle pleurait, je savais qu'elle m'aimait, mais pour moi il était sur qu'elle me plaisait et qu'elle m'était agréable. En ce qui concerne l'amour, je ne pensais pas...

Je lui proposai de conduire jusqu'à la maison, je savais qu'elle n'aimait pas conduire sur de langue distance et à vrai dire, l'aéroport était assez loin du quartier de Chester où j'habitais.

-t'es vraiment chou d'avoir fait ça pour moi Zaïm Amir, même si je préfère t'appeler Hassan. Ce prénom te va si bien.

-mais celui que tu dis au lit est Amir, donc je déduis que c'est ton préféré, souris-je.

Elle me donna un coup de point sur l'épaule et rit.

-t'es vraiment qu'un gros pervers, sourit-elle.

-toi aussi puisque tu me laisse exercer mes trucs de pervers sur toi, dis-je avec un clin d'œil.

Elle rougie puis on éclata de rire. Mélanie était une fille facile qui ne se prenait pas la tête, c'est pourquoi elle avait fait plus long feu que les autres. Il est vrai qu'on avait un point commun:... le sexe, sinon c'est sur qu'elle ne serait plus avec moi maintenant.

Au feu rouge, je détourna mon regard de la route et me concentra sur sa longue robe bustier qui mettait en valeur sa poitrine.

-arrête Amir, murmura-t-elle.

Je n'étais pas revenu seulement pour me relaxer et voir tout le monde. J'étais la pour baiser. Je ne suis pas le genre de soldat qui peut rester des mois sans se vider. C'était égoïste de ma part, mais la voyant comme ça je me dis que j'avais raison de venir et que je ne pouvais plus attendre.

- à quoi tu penses?, questionna-t-elle.

-à toi en train de me sucer....,affirmais-je.

Elle avait les yeux écarquillés. J'étais direct et appuyais sur les mots.

Un cri qui fend le coeur 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant