Le Carnet Noir

Chapitre 1

Emmanuel Sylvestre se promenais dans la bibliothèque municipale, il y passais des heures entière a lire des romans et des bandes dessinées. La documentaliste appréciait sa présence car dans le village éloigné de Villard-Roger personne n'aimais lire. Alors, qu'il aidait la documentaliste à déballés un carton de nouveau livre, il découvrit un vieu livre. Elle lui dit que c'était une erreur et qu'il pouvait le garder. Il s'intitulait " le livre des morts ". Quand ils eurent fini de déballer le carton, il s'assit sur un vieux fauteuil vert des année quatre-vingt dix. La couverture était  illustré d'une tête de mort. Emmanuel fut surpris qu'il n'y ai pas le nom de l'auteur ni celui de l'illustrateur. Il ouvrit la première page, trois lignes étaient écrites mais il n'y fit pas attention et tourna la page, elle était vierge. Il feuilleta le livre et découvrit que toute étaient vide. Il revint à la  première page où il y était écrit : " Inscrivez les noms des personnes que vous voulez faire mourir, pensez à mettre la date, le lieu et la manière de la mort. Si vous effacez le nom avant sa mort il ne mourra pas."  Emmanuel  crut que c'était une blague. Il rentra chez lui en bus avec son livre, quand il ouvrit la porte d'entrée qui datait de longtemps grinça bruyamment. Il entra dans un sas qui servait d'entrer, le papier peint vert avec des rayures orange tombait en lambot. Il quitta ses chaussures et avança vers la  cuisine, son père  faisait  cuir un mélange de patate, d'oeuf, de farine et  d'eau dans une veille casserole en fer toute cabossé. Sa mère lui ordonna d'aller faire la lessive. Il descendit  à la  cave, une forte  odeur de moisissure se dégageait du sol, il mit le linge sale dans un machine à laver  ayant appartenu a son grand père. Emmanuel  mit du produit bon marché et actionna le bouton on, la machine à laver gronda et vibra. Le soir après avoir mangé  il alla se couché de bonnes heures car demain c'était la rentrée, il est en quatrième. Il avait dû mal à  dormir en pensant à Theo le plus costaud du collège qui n'arrêtait pas de le frappé et de le passer à tabac. Il pensa au livre trouvé  à la bibliothèque. Il se leva, le pris et s'assaya à son bureau. Il relu les consignes, puis tourna la page et écrivit ...