Chapitre 1

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Note de l'auteur : Les chapitres vont être cours, il y en aura dix plus deux épilogues qui sont tous déjà écrit. J'espère qu'elle vous plaira. Merci de lire mon histoire. NeverSNever,

Point de vue Lui

J'ai toujours aimé la musique, l'écouter. D'ailleurs, je pense que tout le monde aime la musique. Elle permet de nous entraîner dans un monde qui n'est protéger que de notre cœur, de notre imagination.Chaque personne croit, pense qu'une chanson lui est destiné. Je pense que c'est vrai. Il a y a toujours une chanson qui nous fait rappeler qui nous sommes, et elle a toujours raison.

Je me rappelle, quand j'étais petit alors que j'avais sept ans ou peut-être plus, je me rappelle que le passe-temps de mes parents étaient de se disputer, ou de se lancer des assiettes en pleines figures qui se brisaient sur le sol. Je me retrouvais seul parmi ces bruits qui me font aujourd'hui sursauter. Mes oreilles étaient sensibles à ces bruit, elles ne demandaient rien d'autres que d'entendre une nouvelle mélodie.

Ce jour là, même le bruit du micro-onde m'indiquant qu'un bon chocolat chaud m'attendant m'avait fais peur. J'avais prit ma tasse brûlante,puis, je suis partit me réfugier dans le salon. Mes parents sont des personnes qui déteste la télévision. Pourtant, j'avais pris le courage d'appuyer sur le bouton ON de cette télévision. Puis, une musique c'était comme libéré de l'écran. Une musique douce, la suivante un peu plus fort instrumentalement. Depuis ce jour, chaque anniversaire ou Noël je demandais un lecteur MP3. Ce que j'ai fini par avoir.

Aujourd'hui, ma vie à changer. Je ne vie plus avec mes parents. Après un divorce brute, ni l'un li l'autre avait la force de m'élever, donc j'ai grandi avec mon grand-père. Ma grand-mère, je ne l'ai jamais connu. Mon grand-père m'a apprit une chose très important pour lui : La vie n'offre jamais de cadeaux parce qu'elle n'a pas le temps d'en faire à tout le monde. Cette phrase, je l'ai gravé dans ma mémoire.

Maintenant, je suis au lycée. J'ai parfois la sensation de me sentir seul mais j'ai des amis, et grand-Pa. Puis, je ne vais pas me plaindre, j'aime cette petite ville dans laquelle j'ai vécu une grande partie de mon enfance. Elle est calme mais pas ses habitants. Tous sont méfiants comme s'il pouvait arriver quelque de dramatique sur cette ville. Ce qui n'est pas arrivé.

Certes, il y a cette forêt dont tout le monde parle juste aux portes de la ville. Certains disent et croient que des loups s'y baladent la nuit, que nous voyons les yeux jaunes des chouettes la nuit, que les branches d'arbres se balancent par le vent puissant de la nuit. Enfin, on aurait dit que tous avait peur de la nuit. C'est normal d'avoir peur m'as t-on déjà répété. Par ses insinuations, les gens ne vont pas balader entre ses arbres, ils ont peur. Reste les jeunes avec cette instinct d'aventurier, ou de trouillards qui croient qu'ils vont découvrir quelque chose de surprenant. Ce qui n'est pas arrivé non plus.

Cette peur qu'ils ont est tellement contagieuse que je n'ose faire un pas.Pourtant, au fond, je suis persuadé que cette forêt ne cache rien. Avec des amis, nous avons été à l'entrée de cette forêt, la nuit puis après le jour. Le jour, c'est calme, presque qu'accueillant. Juste d'entendre le vent flottait au dessus des arbres donnait l'envie de faire un pas de plus. Mais la nuit, c'était plus étrange,presque qu'horrifiant. Le vent donnait l'impression d'être des cris s'abattant sur les arbres. Des cris de douleurs, où les arbres menaçaient de tomber les soirs d'orages.

Nous avons reculer devant l'idée de s'aventurer au centre d'arbres tantôt silencieux, tantôt en colère. La vie continuait et cet endroit demeurait toujours inexistant. Inexistant, jusqu'à l'arrivée de cette fille.

Depuis qu'elle et sa famille s'est installée en ville il y a huit mois, rien n'est pareil. Pour cause, chaque moi, le seize du mois pour être exact, un arbre tombait. Ils tombaient sans même qu'il y ait de l'orage ou des vent plus fort que d'autre. Cela rester inexplicable mais personne n'en faisait un sujet de conversation pour ne pas s'inventer d'histoire. Des histoires qu'ils s'inventeraient, alors que ce n'est pas vrai et alors, une autre s'immiscera en eux.

En tous cas, cette famille est assez discrète. Néanmoins, ses parents sont très appréciés même s'ils sont un peu étrange, même si leur fille l'est aussi. Je n'ai jamais parlé avec cette famille, les occasions ne manquaient pas, c'est plutôt mon courage qui manquait dans cette histoire. J'avoue, je ne suis pas la personne la plus courageuse que vous trouverez sur cotre chemin.

Cette fille, je la croise au lycée. Elle se fait petite, n'a pas vraiment d'amies, ni d'ennemis. Elle vit sa vie tranquille et laisse le monde autour d'elle tourner. Charlie. C'est son prénom.

Au lycée, j'aime regarder les personnes. Nous sommes tous différents,c'est ce qui fait qu'au fond, nous avons tous besoin de tout le monde. Besoin d'avoir à nos cotés une personne différente de nous. Un jour, je trouverai cette personne différente. Elle, je la regarde de temps à autre. Elle attire mon attention, celle de tout les garçons d'ailleurs, mais moi pas pour les même raisons qu'eux.

De toute manière, personne ne peut l'approcher. Elle évite les gens. Elle m'évite moi aussi. Enfin, elle ne me connaît pas c'est peut-être normal.

Je suis actuellement entrain de taper dans un ballon de football. Je suis en colère. Ma mère devait venir me voir pour mon dix-huitième anniversaire. Elle devait venir passer quelque jours à mes cotés. Mais, elle a changé d'avis. Comme toujours. J'avais vraiment pensé quelle viendrait. Elle serait rentrée dans la maison, un gros paquet à la main soufflant : Que tu me manques mon fils.

Mais je ne crains que cela n'arrive jamais, et que je ne lui manquerai jamais. Je le sais, mais après tout, nous vivons avec de l'espoir. Mon père, il m'appelle quand il a le temps mais ne prends pas le temps de venir. 

J'évacue ma colère. Je suis au terrain de foot à quelques pas de la forêt mystérieuse. J'ai un ami qui ne va pas tarder de me rejoindre. Alors que mon pied touchait une énième fois ce ballon, je l'a vis. 

Je crois qu'à cet instant, je n'avais plus envie d'évaluer ma colère, j'avais envie de lui parler. 

Charlie...

NeverSNever, 

Voilà, j'espère que ça vous a plus. 

Je suis prête à répondre à toute vos questions. 

Je mettrais un chapitre une fois par semaine, tous les dimanches.

Merci, 

XXX

Nuage de pluie - TerminéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant