Aveuglé par la fumée, j'ai vue le temps ce consumé
* Inconnu *
Je faisais des tours et des tours dans cette pièce, comme un lion en cage. Mon cerveau fulminer, tellement je cogiter. Qu'est-ce que je fais ici? J'ai niquer ma vie, alors que j'ai même pas 35 pige. Le bruit de ma porte d'entrée me fais sortir de mes pensées ténébreuses. Au moment ou je les voient je souffle, et part m'asseoir sur la terrasse et rallume mon joint.
- Il était temps que tu rentre, t'as abuser de ouf.
- Il a raison..
Je souffle de nouveau et secoue la tête.
- Vous êtes seulement là pour me faire la morale? Dis-je en lâchant cette fumée blanche
- Tu sais très bien que non. On vient prendre de tes nouvelles, guette à quoi tu ressemble. Réponda mon meilleur ami en s'asseyant près de moi
- Alors?
- Elle est complètement détachée du monde, elle a couper les ponds avec tous ses proches, plus rien ne l'intéresse vraiment.
- Mmh..
Je repartis direct dans mes pensées, je ne savaient plus quoi faire.
- Sache un truc frèro, personne t'a oublier hein. Elle repousse tout ceux qui s'approche d'elle.
- Solide et solitaire.. Dis-je dans un murmure
Il acquiesce simplement, laissant le calme reprendre. Y'avais une atmosphère pesante, je sais que j'en été l'auteur, je n'étais pas dans mes meilleurs jours, dans ce cas là j'ai pas la bocca. Ils le savent, alors ils parlent entre eux de la soirée d'hier qui apparemment c'était mal passer. Bagarre par ci, par là. L'histoire de notre vie quoi.
Mauvais garçons, homme à ne pas marier.. Qu'ils disent.
Ces personnes parle beaucoup, déconseille à leurs filles de pas nous approcher. Mais elles en scret elles nous kiffe. Si ils savaient.Ce qu'il ne se disent pas c'est qu'on ira jamais marier des filles des beaux quartiers. Les même valeurs et les même principes, sont les bases de nos mariages. On ce mélange pas nous, on a pas le temps de s'intéresser aux filles à papa.
Ce qui nous intéresse nous, c'est des vrais filles, des durs. Qui n'ont peur de rien, même pas de faire la guerre quand nous serons six pieds sous terre. Toujours la tête haute, même devant un homme. Qui sauras ce défendre, défendre le foyer. Des femmes qui ont besoin d'un mari et non pas d'un garde du corp.On avait finalement fini la journée en jouant à la play, enchaînant comme à l'ancienne les bières et les verres d'alcool venant tout droit de Russie.
* Sasha *
Je rentrais du boulot, j'étais crever. J'essayer de boucler tout les projets de mes clients pour partir en vacances tranquillement. Alors mes journées étaient à rallonge mais je ne me plaignais pas j'adorer mon travaille.
En rentrant dans ma chambre, une lettre été poser sur mon lit, elle venait de Blue Island. Je ne connais personne habitant là bas mais mon prénom était écris en gros.
Quand je l'ouvri, je n'en revenais pas de ce qu'il y avait écrit. La haine avait pris possession de mon corp, et mes envies de meurtre était revenu.
Il y était écrit:Il te manque?
Si t'avais vue son visage rempli de haine, lorsque je lui ai mis cette putain de balle en pleine tête.
Tu sais ce qu'on dis Sasha le bonheur des uns fais le malheur des autres.
Qu'est-ce que je suis heureux, sa mère.
I.Ces quelques lignes avaient fait resurgir mes démons, ils ce bousculer tous, me déclenchant une migraine atroce. Je pris le premier papier et stylo trouver puis je commença à lui répondre à mon tour.
T'a réussi à avoir ce que tu voulais, ramène tes couilles, je te montrerai ce que je veux.
SASHA.
J'avais enfouis ma lettre dans une enveloppe, puis je l'avais jeter sur ma commode. J'avais une haine immense envers cette personne, je ne savais pas qui c'étais mais une chose est sûre, elle finira au même endroit que mon frère. Enterrer six pieds sous terre.
Si je devais finir en enfer, au moins j'étais sur de rejoindre ce connard qui m'avait enlever mon frère quelque mois plutôt. Je n'avais jamais penser à me venger jusqu'à aujourd'hui.
J'étais pris d'une rage folle, coincé entre la haine et la tristesse. Je détruisait tout ce qu'il y avait dans ma chambre, puis m'attaqua au mur une fois avoir tout jeter par terre. Il fallait que je me défoule.
Puis je m'arrêta d'un coup repensant au parole de mon père dite 5 ans plus tôt lors d'une énième crise.Il me regarder droit dans les yeux mélanger entre la peur et l'amusement puis il me sorti tout simplement.
- Tu es folle Sasha. Une folle dingue. Si je n'avais pas une place importante dans cette ville je t'aurais interner depuis bien longtemps. Mais j'ai une image à tenir.
Clairement mon cerveau bouillonait, et mon crâne était sans doute prêt à exploser.
Mais je ne bougea pas, j'avais cesser tout geste, même mes clignements des yeux avait cesser. J'étais ébahie et choquée des paroles de mon géniteur.
Mon frère avait fait son apparition dans le salon, et m'avais calmement emmener dans ma chambre.Ces souvenirs m'était douloureux, ils revenaient sans cesse et me rappeler à quel point j'étais mauvaise, que j'avais beau enfouir mes démons, ils étaient bel et bien là. Encré dans mon âme.
Avec tout le bruit que j'avais fait, mon meilleur ami avait débarquer en panique dans ma chambre.
Quand il me vis, il ce fraya un chemin dans les affaires étalés par terre avant de me prendre dans ses bras.Il me chuchota que tout aller bien ce passer alors qu'il ne savait rien de la situation.
- Tu ne comprend pas Dylan, ils sont revenu.
- Qui?
L'incompréhension ce lisait dans son regard, mais je ne pouvais rien lui dire.
- Mes démons. Tout est fini. La vengeance à sonner.
Il ce recula alors de quelque pas, puis souffla. Il savait qu'il ne pourrait rien pour moi.
- Je te demande juste de réfléchir, pour ton bien. Je t'aime Sha, et peu importe ce que tu veux faire, tu restera ma soeur. La seule que je n'ai jamais eu.
Puis il quitta ma chambre me laissant là, seule, avec mes démons.
-----------------------------------------------------------
Excuser moi pour les fautes d'orthographe.
VOUS LISEZ
《 Et après? 》
Roman pour Adolescents*Appel entrant; Jhayson* Moi: Ouai? Jhayson: T'a un endroit où t'assoir? Moi: Qu'est-ce tu raconte? Jhayson: Assis toi putain. Moi: Ok,ok *je m'assois* va si qu'est-ce t'as? Jhayson: C'est ton frère.. Moi: *Je me lève d'un bond* Qu'est-ce qui l'a mo...