《 Et après? 》

Bonus

Tu presse la détente, les nerfs sont tendu

Quelques semaines plus tard, accompagné de mon frère et le reste de son équipe, on ce garer un peu plus loin que le chemin de terre.

On marche discrètement le long de cette route, des flash revenait en plein visage, je stressais parce que la dernière fois ça ne c'était pas bien passer. J'avais réfléchi à tout ça, imposer mon plan aux garçons. Ils ne comprennent pas et ne veulent pas suivre mon plan, ils ne veulent rien changer et garder le leurs. Mais fallait pas si on suivait leurs plan je connaissais la fin et il était hors de question qu'on perdent quelqu'un a nouveau. Soyons heureux pour une fois.

On était armé jusqu'au cou et quand on arriver enfin devant la maison que je leurs avait décrite, ils me regardent tous.

- On prend mon plan?

Je me plaça devant au côté de mon frère, ils allaient tous avancer mais je lève mon bras pour que tout le monde ce baisse. Cinq gars sortent et montent dans la voiture, ils s'éloignent, les garçons se relève pour y aller.

- Personne bouge. Deux d'entre eux vont revenir dans quelques minutes et il en reste un dedans dans le salon. Prenez vos silencieux et cacher vous à des endroits où on ne vous voient pas mais la où vous avez de la visibilité.
Et je répète une fois dans cette maison, on reste en équipe de deux et personne ne ressort par la porte d'entrée on prend aucun risque.
Comme je l'avais dit une voiture reviens avec deux gars, les garçons était bien placer et en moins de cinq seconde ils étaient tout les deux morts. On sort alors tous de notre cachette et on rentre dans la maison, je passe par la porte d'entrée toute seule les garçons me couvraient après.
Je rentre dans le salon plus discrètement que la dernière fois et pointe mon arme en sa direction.

- Ne bouge pas. Reste assis sinon je tire. Je n'hesiterai pas.

J'étais sûre de moi.

- Aaah Sasha. Je te pensais morte depuis un moment dommage. Mais ton cousin ne ce porte pas si bien que toi.

Il rigole. Ce même rire qui était dans mon rêve.

Je tire dans son épaule, il cris de douleur. Je souris, je ris à mon tour.

- Ferme la. J'ai de l'avance et c'est grâce à toi. Tu m'a fait perdre deux ans de ma vie, je vais te faire perdre la tienne.

Je contourne le canapé pour me mettre en face de lui. Il était comme je l'imaginer, brun au yeux noir, pas très baraquer et la vingtaine.

Mon frère, Jhayson, Jackson et Jaden étaient rentrer je le savais, je savais aussi qu'ils entendaient tout et les autres gars étaient dehors.

- J'ai une lettre pour toi.

Il me la tend, toujours l'arme en sa direction je déplie la feuille en papier.

Il te manque?
Si t'avais vue son visage rempli de haine, lorsque j'allais te mettre
cette putain de balle dans la tête.
Tu sais ce qu'on dis Sasha le bonheur des uns fais le malheur des autres.
Qu'est-ce que je suis heureux, sa mère.
Isaac.

Une seul mot, la haine. J'avais une putain d'haine en moi. Mes vieux démons refaisait surface.
Je suis sûre que mes yeux étaient devenu plus sombre que d'habitude et que mon visage c'était complètement fermer. Je lui dit c'est quelque mots

- Tu n'a pas réussi à avoir ce que tu voulais, je vais te montrer ce que je veux.

BAM BAM 

Deux balles. Une dans la tête et une dans le coeur. Je baisse mon arme, un sourire au lèvres. J'étais bien.

Les garçons me rejoignent dans le salon.
Mon frère prend la lettre et la lis. A son tour il avait la haine, ça ce voyait.

- Ils nous en reste trois.

A ce moment on entend une voiture ce garer devant la maison. On ce regardent tous.

- On continue les festivités.

On ce cache tous et quatres hommes rentrent armés aussi. Je les avait pile dans le viseur. Je fait signe aux garçons avant de tirer sur le premier.

Tout c'est passer très vite, les tirent on fusés dans tout les sens, j'avais peur pour mes proches, j'avais peur qu'ils leurs arrivent quelques chose. Puis après quelques minutes, tout nos "ennemies" était à terre et miraculeusement nous on était en vie. Fallait vite repartir avant qu'on nous voient.

On repris la route en direction de Posen très satisfait de notre journée.

La vengeance avait sonner.
Il ne restait plus rien.

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Excuser moi pour les fautes d'orthographe.