La trahison vient souvent
des personnes les plus prochesJ'avais réfléchi toute la nuit et lorsque le soleil fis son apparition j'étais crever et ne me sentais pas du tout prête a aller bosser.
- Allo?
- Oui bonjour, C'est Mlle White. Je vous appel pour vous prévenir de mon absence d'aujourd'hui, je suis malade et espère guérir au plus vite.
- Très bien. Reposez vous et à très vite.Je lâche mon téléphone sur le lit puis je me lève pour fermer les volets, fallait que je dorme un peu sinon mon corp ne suivrait plus mes idées.
Je me suis réveillée au alentours de 11h, biensur Dylan n'était pas dans l'appartement alors j'en ai profiter pour faire un sac, j'avais décider de faire un petit séjour à Blue Island autant régler cette histoire une bonne fois pour toute.
Je prend un bout de papier pour prévenir mon meilleur ami de mon absence.
" Je m'absente pour quelque temps, je ne sais pas quand est-ce que je reviendrai. J'ai des histoires à réglé, ne me cherche pas.
Je t'aime.Sasha "
Je retourne dans ma chambre chercher la lettre puis sort enfin de mon appartement. La route aller ce faire assez rapidement si il n'y avait pas de ralentissement en moins de une heure je serai dans cette ville.
Je mis l'une de mes musique préféré et commença à chanter tout en conduisant.1 HEURE ET DEMI PLUS TARD
Bien-sûr je mettais pris les embouteillage sur l'autoroute, en même temps ce n'était pas le meilleur moment pour partir. Mais bon le principal c'était que j'étais arrivée et que j'avais enfin pu m'installer dans ma chambre d'hôtels. J'avais également prévenu mon travail prétextant que mon arrêt maladie serait prolonger puisque c'était plus grave que prévu.
La ville n'était pas du tout jolie d'ailleurs elle ressembler quasiment a Posen. Les villes dans les alentours ce ressembler toutes mais j'avais l'impression que dans cette ville les gens était plus accueillant et ils étaient tous mélanger, contrairement à Posen où les riches ne ce mélanger pas aux personnes comme moi, pour eux on est que des voyous, des crapules, des corbeaux comme ils aiment nous appeler. D'après eux ont est la pour régner la " terreur " et l'iliciter en vrai on s'en foutais de ce qu'ils pensaient mais on savaient tous, les "gens" comme moi, que leurs enfant rêver d'être comme nous. Je me rappel certains essayer de venir à la semaine autour du lac, mais les plus anciens de ma génération ne les mettais pas du tout à l'aise alors ils ne restaient pas bien longtemps. Dommage..
Fin bref.
Quelques jours plus tard je faisait 30eme fois depuis mon arrivée le tour de la ville, contemplant les alentours. J'essayais de trouver un visage familier parmi tout les passants. Et d'ailleurs un visage m'avait interpeler, biensur la personne ne m'avait pas vue et il ne fallait surtout pas qu'elle me voit.
Avec beaucoup de curiosité je me mis à le suivre, il rentra dans sa voiture et demarra, je fis de même avant de le suivre à nouveau. Bien-sûr je laissais quelque voiture devant moi, je n'allais pas jouer les débutantes maintenant ce n'étais certainement pas le moment.Après quelques minutes de route la voiture ralentis et pris un chemin en terre à droite. Je garre alors ma voiture un peu plus loin et avant de descendre je pris mon arme et mon couteau dans la boîte à gants, toujours être protégée c'est l'une des premières règles qu'on apprend dans mon quartier.
Je pris le chemin à mon tour mais je le longer simplement en passant par la forêt au cas où une voiture décider de passer par là. J'avais mis ma capuche sur la tête histoire d'avoir la tête un minimum cacher et J'avais également mis mon téléphone sur silencieux, je prend aucun risque de me faire cramer.
J'avance ça fait à peu une vingtaine de minutes que je marchais j'en avais vraiment marre, je penser même à faire demi tour mais lorsque je vis une maison en boit à quelque mètres de moi, je me mis à accélérer le pas. Arriver devant la maison, cinq têtes que je connaissait que trop bien sorti, et ils sont partie en voiture. Une fois que je me suis assurer qu'ils étaient assez loin je suis sortie de ma cachette en avançant doucement et discrètement. J'avais un putain de mauvais pressentiment et la pression commencer vraiment à ce faire ressentir. Arriver devant la porte j'hésite à toquer ou rentrer directement. Je prend alors mon arme bien en main et appuie sur la poignée. Merci dieu c'était ouvert, signe que quelqu'un était encore la mais peu importe j'était prête à l'affronter. Je ferais pas marche arrière à ce stade là, j'ai pas marché tout ce temps pour rebrousser chemin parce que je stresse. Hors de question, ce n'était pas dans mon caractère et je crois qu'en plus la curiosité à ce moment là était bien plus forte que tout. Je m'approche lentement mais sûrement de ce qui me paraissait être le salon.
Lorsque je vis une personne ce levait brutalement en pointant une arme sur moi, sans réfléchir je lève à mon tour la mienne.
- Bouge pas sinon je tire!
Même moi j'y croyais pas, ridicule.
Il rigole. Mon coeur rata un battement, c'etait un rire que je connaissait par coeur, un rire comme le mien, qui faisait flipper lorsqu'on essayer de s'en prendre à ma personne, comme une contre attaque, comme montrer à la personne en face que je n'avait peur de rien, et surtout pas de la mort, on ce retrouva toujours un jour. A ce moment là je n'avais pas remarquer que c'était lui qui ce tenait devant moi mais comme il ne baissait pas son arme je l'a garder toujours lever, je voulais pas qu'on me porte disparu moi aussi. Je sais même pas si il m'a reconnu, mais je m'en foutais la haine commencer à monter en puissance.
Alors c'est comme ça maintenant? A moi on me ment? Je jette la lettre à ses pieds, celle que je devais renvoyer et que j'avais finalement pris avec moi, autant lui donner en main propre c'était tout de même plus polie.
Il ce baisse doucement tout en laissant l'arme braqués sur moi, puis il l'ouvre et la lis.
- C'est toi qui m'a envoyer la lettre je me trompe?
En réalité j'attendais aucune réponse de sa part, je savais que c'était lui.
- Donc moi je suis ta pute? Je galère, mon état ce dégrade, mes vieux démons ressortent me déclenchant mes souvenirs et mes putain de migraine qui me rendent folle, pour ta vieille gueule? Tu me dégoute, à moi tu me fait ça hein? T'ose me faire ça à moi? Me faire des promesses et me planter un couteau dans le dos après? Mais qu'est-ce que je raconte moi c'est plus un couteau là, c'est une balle en plein coeur et une entre les deux yeux! J'ai tellement envie de t'insulter mais la vérité j'ai encore du respect pour les darons des gens. J'ai toujours tout fait pour toi, jamais je t'ai trahi, jamais un coup de travers, j'ai toujours était droite avec toi et toi tu me détruis en un claquement de doigts sans aucune gêne. J'espère que tes collègues c'est des vrai de vrai parce que la vérité compte même plus sur moi. Tu me dégoute à un tel point.
Je retourne prête à partir..
- Attend Sash..
- Ferme ta putain de gueule Noah. Plus jamais tu prononce mon prénom.
J'ouvre la porte est là..
BAM BAM BAM
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Excuser moi pour les fautes d'orthographe.
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《 Et après? 》
Tienerfictie*Appel entrant; Jhayson* Moi: Ouai? Jhayson: T'a un endroit où t'assoir? Moi: Qu'est-ce tu raconte? Jhayson: Assis toi putain. Moi: Ok,ok *je m'assois* va si qu'est-ce t'as? Jhayson: C'est ton frère.. Moi: *Je me lève d'un bond* Qu'est-ce qui l'a mo...