IL MAFIOSO

CHAPITRE 1 : Passé

VINCENZO

10 Octobre 2016,
Province de Trapani en Sicile.

Le sang gicle sur mon visage mais je reste de marbre. Sa main était tomber a mes pieds
Il hurla en ce tordant de douleur il me supplier l'épargner. Sans cesse des pleurs, accompagnés de prières bla bla bla... Un sourire se dessina sur mes lèvres j'adorais cette atmosphère de folie

Les hommes sont tellement prévisible c'est toujours la même histoire ainsi que les mêmes excuses qu'ils me donnent c'est toujours pareil . Personne ne change les hommes en sont incapable. Les bons le restent et les mauvais quand a eux sombres.

C'est ainsi qu'est faite cette putain de vie.

Dans un coin de la pièce la femme hurler en implorant le pardon de son mari, elle suffoquait dans ses propres larmes. Mais à mes yeux elle n'était qu'un bourdonnement incessant. Un parasite que j'aller bientôt écraser si elle fermer pas sa putain de gueule.
Je répondis a ses lamentations en l'attrapant par le cou, surprise elle cesse tout mouvements et tout bruits à mon plus grand bonheur.
Mes hommes était tout autour de maison, seul mon bras droit Daniel Booth était présent.
Je profiter alors de se moment de calme pour lui susurré a l'oreille

- La prochaine fois que j'entends ne serait-ce qu'un son sortir de ta putain de gorge je t'arrache la langue pour la donnée à bouffer à mes chiens capito signora?

Pour celle réponse je n'est eu le droit qu'a un signe de tête. Je la relâche sur le sol et Dan s'approcha d'elle pour l'empêcher de bouger pour ceux qui aller suivre. A mon tour je fis face au misérable qui était au sol en train de ramper a mes pieds. Je m'accroupis a coté de lui

- A présent a nous deux

-Signore Vincenzo par pitié, je vous en prie, je... je ne compter pas vous voler je...je vous respect trop pour cela je voulais juste...

-Chuuut chuuut mio amico chut je t'est déjà dis que je supporter pas qu'on me mente non ? Tu as été un méchant garçons et tu sais ce qu'on fait au voleur de ton espèce ?

-Par pitié non vous m'avez pris ma main et et je vous est rendu la marchandise je...je

-N'est pas peur, car mon visage sera la dernière chose que tu verra Amico

Son vissage était livide il savait ce qui aller suivre. Et en un instant je renversa sur lui le bidon d'essence que j'avais apporté et m'empara d'une allumette puis sans aucune hésitation je lui jeta dessus. Sa femme ce débattit mais ne prononça aucun son ou alors ma trance ne me permit pas d'entendre les bruits autour. Rapidement l'homme prit feu, je regardais attentivement l'insecte ce débattre comme si il pouvait tromper la mort et échapper a son destin.

Les secondes passèrent puis il cessa de bouger. J'attendis un instant et Dan lança un seau d'eau sur le cadavre pour éviter la propagation du feux dans la maison. Nous étions ce que vous pouvez qualifier de "monstres" mais nous avions un sens morale un code, un honneur. L'homme avait fauter et en avait payé les conséquences. A présent la dette avait été acquitter et la femme devait avoir encore un endroit ou vivre. Elle se précipita près du cadavre carboniser de son époux. Je rabaissais mes manches de chemise et remit ma veste de costume en me dirigeant vers la porte de sortie suivit de Dan. Quand des paroles a voix basses me fut adresser. Un rictus ce dessina sur mon visage et je m'adressa a Dan

- Dan, la signora veut nous dire quelque chose je crois

Mon ami m'adressa un sourire aussi faux que la salope qu'il avait ramener hier. Mais ici pas de sentiments, pas de remord ni de regrets. Mon père souhaiter que les femmes assiste a la mort de leurs époux. Nous devions faire ressentir la peur pour qu'elles puissent mettre en garde leurs entourages. Les femmes parlent beaucoup autant utilisé cet insupportable défaut a notre avantage .

-Elle doit surement nous jeter un sort

- Répète ma jolie

- Vous vous croyez puissant? Vous pensez avoir un droit de vie et de mort sur nous? Vous vous sentez intouchable mais sachez Monsieur Vincenzo Cassano qu'un jour l'ange de la mort toquera a votre porte. Je vous le promet. Un jour on vous arrachera la personne que vous aimiez le plus, dans le but de vous punir

Je m'approcha d'elle tout doucement et lui chuchota

- Sachez une chose, signora je suis l'ange de la mort

Sans aucun autre regard pour elle, nous avons regagner la voiture.

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Hey mes GO !
On avance a pas a pas mais surement!
Il me tarde d'avancer dans la suite et de découvrir vos théories

XOXO
- BlackBerry✨