Chapitre 3: Partie de Plaisir

23 2 0
                                    

Le club de bowling se trouvait à quelques kilomètres de ma maison. Situé dans un centre commerciale des plus vaste de la région. Il y contenait des magasins de toute sortes tel de vêtements ou bien de pièces d'électroniques. Le centre de celui-ci, était le centre de divertissement. Le club y était tout comme un cinéma et d'autre activité de plaisirs. Mes amis m'y attendaient, impatients de jouer au bowling.
Alex me lança:
-Dépêche toi fenian!
Je lui répondis aussi poliment que lui, en lui disant qu'il n'était qu'un citron pressé. Mélina éclats de rire tout comme quelque personnes dans la file d'attente.

Après d'interminables dizaines de minutes, nous peuvent enfin avoir notre piste à nous. Alors que nous commencions de jouer, un gang d'adolescent constitué de six membres d'environ trois ans de plus que nous s'énervaient car nous avions prit leur piste alors qu'ils l'avaient réservé la journée d'avant. Mais les employées du club nous avaient laissé y jouer car ils n'étaient pas là à leur heure de la réservation. Pris de colère, l'un des partisans du groupe balança toutes les insultes du monde a l'employer qui nous a servit.
- Je vais vous demander de sortir du club de bowling et sans autre insultes je vous prie! Avertissa l'employer.
-Alors, si c'est comme sa! Répliqua le meneur du groupe.
Puis ils tournèrent le dos en nous adressent un doigt d'honneur. Au fond de moi je savais que ce n'était pas fini et j'avais raison. L'un d'eux, probablement le meneur cria:
-Vengeance!
Il s'empara d'une queue de billard et lui asséna un coup direct à la tempe droite de sa tête. Tout finissa en anarchie.

Caché derrière un banc, j'étais apeuré du sort que les malfaisants me réservaient à moi et mes amis. Mais pourquoi une telle rage pour seulement un retard d'une réservation? Pour le moment mon seul but était de fuir la salle sans être repéré, sinon le châtiment risque d'être douloureux. Mes amis eux était dans une position plus délicate. Eux aussi cachés derrière un banc, ils étaient à cinq mètre de quelques membres du groupe. J'essayais de leur faire comprendre mon plan pour nous faire sortir de cette situation désastreuse pendant que le gang détruisait tout. Sans s'y attendre nous fument plongé dans un noir total. Un noir ou même le diable incarné ne pouvait y distinguer une forme. L'obscur était un atout idéale pour une fuite, mais cet atout fut vite éliminer car tout les membres avaient une lumière intégré à leur téléphone cellulaire. C'est définitif, nous étions leur cible principale. Nous nous étions réfugiés dans le fond de la pièce en espérant une opportunité pour sortir dehors sans être vue. Alors, je tenta de me rapprocher de la sortie mais l'un d'eux se rapprochait alors je pris un comptoir comme cachette. Cette situation me faisait penser à un jeu vidéo, par contre si je me faisait attraper je n'aurais pas d'autres chances. On ne pouvait se cacher éternellement car un jour ou l'autre ils nous trouveraient ce ne serait pas une partie de plaisir. Alors que je patientait le bon moment pour m'évader, l'un d'eux se rapprocha de mes amis et de Mélina. Si je ne fessais rien ils les trouveront! Je devais agir et à tout prix! Je ferais tout pour elle je sacrifierais ma vie pour la sienne. Il se rapprochait et il n'était plus qu'à quelques mètres d'eux. Alors sans réfléchir, je fonça dans sa direction, le pris par les anches et le plaqua contre le mur le plus près. Mes amis, pris de surprise, coururent vers la sortie prenant mon action héroïque comme diversion. Sauf que à ce moment la, j'étais désormais seul contre six presque adultes armés près à me démonter en pièces. Par contre celui que j'ai plaqué n'était pas en mesure de combattre. Il saignait du nez et le choc fut si grand que le mur était défoncé. Alors que les cinq partisans approchaient de moi, je me demandais où était la police locale. Elle ne devrait plus tarder à venir. Mais pour le moment j'étais dans une mauvaise passe, entouré, ils allaient me battre à mort. Je n'avais plus aucun espoir, si je tentais quoi que se soit je serais attrapé. Alors que je ruminais des idées noires sur mes prochaines souffrance une brique fut lancé sur le dos d'un des membres. Pour moi, cette brique était le mot pure de l'ultime espoir. Mes amis étaient caché derrière un banc avec diverses objets à leurs dispositions comme projectiles. J'étais sûr que j'allais m'en sortir en une seul morceau. Mais parfois, la vie nous réserve quelques inconvénients. Car après être touché par la brique rouge, un membre du groupe m'assena un coup à la jambe droite qui me fit regretter d'être aller à cette soirée. Tous les membres se ruât vers Alex, Mélissa, Jordan et Marina sa petite amie. J'était mal en point, mais je devais les rejoindre. Alors, je me releva et essaya de marcher en m'appuyant sur tout ce qu'il y avait. Je n'était plus qu'à mi-chemin alors que mes amis prirent leurs jambes à leurs cou en direction de la sortie. Tout se passait si rapidement que je n'y comprenais plus rien. J'était troublé, apeuré et exténué. Mais je ne devais pas lâcher prise je devais les rejoindre. Il était tard et les effets de la fatigue commençaient. Perdu dans mes pensés, je ne prêtait plus attention à derrière moi. Ce qui me coûta un coup de pied de table dans le dos de la part du gars à qui j'ai enfoncé la tête dans le mur. En me frappant, il me cria:
- Salaud!
La douleur était vive et brûlante. Elle longeait tout le long de mon dos.

À moitié mort étalé sur le sol, je pensait mourir. Cela faisait seulement une dizaine de minutes que tout s'était déclenché. Les autorités était sur place depuis presque une minute. Les forces de l'ordre arrêta les délinquants un à un en leur assénant des coups de matraque télescopique. Finalement, l'un d'eux s'approcha de moi. Enfin un sauveur! me suis-je dis en le voyant arriver. Alors qu'il prononçait quelques mots, ma tête se mit a bourdonner et je n'arrivais plus à entendre le policier parler. J'étais toujours couché face contre terre. Puis, je n'entendais plus rien le silence complaît. La fatigue s'élevait de plus en plus jusqu'à brutalement je m'endorme de fatigue.

Le dernier d'entre nous (en pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant