Alicia Jenks, une brillante docteure, et Samuel Mullighan, un homme d'affaires prospère, mènent des vies totalement opposées. Alicia consacre ses journées à sauver des vies, tandis que Samuel navigue dans le monde impitoyable des affaires.
Leurs ch...
Après que mon réveil m'ait indiqué l'heure de me lever pour aller au travail, je me suis mis à courir dans tous les sens dans mon appartement à la recherche de ma tenue. Je me suis habillé en vitesse, j'ai pris un verre de jus et je me suis dirigé vers mon lieu de travail.
En arrivant à l'hôpital Grey Sloan, où je travaille en tant que médecin en oncologie, j'ai salué ma secrétaire, Rosa.
« Bonjour Rosa ! » lançai-je.
« Bonjour Alicia », répondit-elle.
Je suis entré dans mon bureau, j'ai enfilé ma blouse, je me suis assis et j'ai commencé à traiter des dossiers. Tout à coup, on a toqué à ma porte. J'ai dit d'entrer et c'était Rosa.
« Excuse-moi Alicia, mais il y a quelqu'un qui aimerait te voir », dit-elle.
« Si c'est un patient, dis-lui de patienter 5 minutes le temps que je termine », dis-je sans détourner mon regard des papiers.
« Ce n'est pas un patient, il dit que c'est urgent », répondit Rosa.
« Très bien, fais-le entrer », dis-je.
Elle ferma la porte et deux minutes plus tard, quelqu'un entra. J'avais toujours la tête plongée dans les dossiers.
« Prenez place », dis-je.
« Merci », répondit l'inconnu.
Je rangeai mes dossiers et enfin, je portai mon attention sur le visiteur. C'était un homme assez élégant, les cheveux bruns et d'une taille moyenne, environ 1m80.
« Alors, Monsieur... », commençai-je.
« Charles Barnes », répondit-il.
« Bien, que puis-je faire pour vous, Monsieur Barnes ? »
« J'aimerais que vous me suiviez quelque part, c'est assez urgent », dit-il.
« Comme vous le voyez, je suis en plein travail, donc je crains que ce ne soit pas possible. De plus, je ne peux pas suivre quelqu'un que je ne connais pas », répondis-je.
« C'est vrai, mais nous avons une connaissance en commun, Monsieur David Mulligham. Vous le connaissez ? »
« Oui, en effet, j'ai connu une personne de ce nom. Malheureusement, je ne peux pas vous dire dans quelles circonstances. De plus, cela fait assez longtemps que je ne l'ai plus vu », dis-je.
« Madame... »
« Mademoiselle Jenks », rectifiai-je.
« Mademoiselle Jenks, j'ai le regret de vous annoncer qu'il est décédé il y a une semaine, suite à un cancer ».
La nouvelle me pinça le cœur. David était mon patient, nous avions développé une bonne amitié au fil de ses multiples rendez-vous.
« Je suis désolé, je ne savais pas », dis-je.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
« Je suis son avocat, et mon client a voulu que vous soyez là le jour de la lecture de son testament », expliqua-t-il.
« Moi ? Et pourquoi donc ? », demandai-je.
« C'est la raison de ma venue ici. Nous devons nous rendre à la maison familiale pour la lecture du testament », dit-il.
« Très bien, si c'est urgent, je vous accompagne ».
Nous sommes sortis tous les deux et j'ai demandé à Rosa de repousser mes rendez-vous. Nous sommes sortis de l'hôpital, nous sommes montés dans sa voiture et nous nous sommes dirigés vers la maison familiale.
