Onze

12 2 0
                                    

Du coté de Naya

- Fermes ta gueule sale pute et ne redis plus jamais ceci.

KPA

Oh non, elle a pas osé... Genre elle m'a giflé ?? J'y crois pas je suis pas sa pote.

- Mais putain pourquoi m'a tu giflé ?

Prêtresse Nigafu : Parce que tu me manques de respect. Je suis ta mère.

- Tais toi *me bouchant les oreilles* Arrête de mentir *mes larmes se mirent à couler* non ce n'est pas possible *prenant un souffle* tu ne peux pas être ma mère.

Prêtresse Nigafu : Tais toi et laisse moi t'expliquer.

Elle me toucha la tempe. Puis trou noir...


Du côté de Laya

- Mais comment pouvons nous expliquer ça ? Tu peux pas avoir fait une fausse couche. Qu'est ce qui se passe ?

Eydan : Je suis aussi choquée que toi. Je ne comprends plus rien. Peut être j'ai été violée...

- Ooh, pas jusque la.. Il faut découvrir ce qui s'est passé. Le docteur a dit que tu étais enceinte de deux semaines donc on dira que cela remonte à ton altercation avec Naya...

Naya : Pourquoi me mentionne tu ? Je ne sais pas quel problème tu as avec moi mais arrête de parler de moi.

- Genre t'es trop famous ou je ne sais quoi ? La prochaine fois si tu veux pas entendre parler de toi *en criant * sors.

Naya : Toutes façons je comptais le faire.

Eydan : Ouais, c'est ça. *quelque minutes plus tard* suivons la.

Je crois que c'est elle la source de tous nos problèmes. Elle doit être découverte. Elle doit être éliminée s'il le faut. J'avais promis a sa mère d'aider sa fille mais s'il le faut, je la tuerais.

Du côté de " Naya "

Je me demandes bien pourquoi la prêtresse m'a envoyé usurper le rôle de cette prostituée. C'est vrai j'étais censé le faire pendant trois jours puis disparaître sans laisser de traces c'est-à-dire retrouver mon apparence normale mais je peux plus continuer. Ma famille me manque. J'ai besoin de voir ma femme. Je sais bien que la fille qui étais aveugle me suit. Il faut que je trouve un moyen de me débarrasser d'elle. Et de sa copine chien aussi. Je décidais d'emprunter donc une ruelle sombre. Je la connais bien. C'est ici que j'ai tué pour la première fois. Je ralentis la cadence. Je les savais derrière moi. Je savais qu'elles avaient peur. Je sentais leur peur d'ici. J'aime faire naitre ce sentiment. J'aime faire peur.

- Je sais que vous êtes derrière moi.

J'aime être maitre de la danse. Je me retournais. Pris mon apparence normale. Elles avaient peur. J'adores.

Copine chien : tu tu es un homme ?

- Ça ne se voit pas ?

Ancienne aveugle : Si on se fiait à ta voix on y croirait pas...

Elle et son amie se mirent à rire. Ma voix. Ma voix. Ma voix. Toujours ma voix. Toute ma vie j'ai été frustré dessus. Et aujourd'hui encore on se moque de moi. Encore et encore et encore et encore. Mais ce n'est plus grave. Je peux obtenir ma vengeance maintenant. Les gens te méprisent, rient de toi et se sentent supérieurs. Mais lorsque tu tiens leur vie entre tes mains te supplient et espère être gracié. Ils oublient alors tout le mal qu'ils t'ont fait. Ne se rappelle plus de toi quelques fois. Mais toi, toi tu te souviens d'eux. Parce que chaque nuit tu rêvais d'eux. Tu les regarde te supplier. Tu leur fais croire que tu vas les laisser. Puis tu les tue. Sans scrupules. Et tu l'as ta vengeance.

- Vous êtes aux portes de la mort. Vous savez. Mais. Je ne vais pas vous tuer.

Je les fis tomber dans un sommeil profond. Puis les emmener avec moi.

NAYAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant