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Ils étaient tous choqué de ce que je venais de dire. Francis intervient en premier:

- Est ce que j'ai bien compris ce vous venez de dire, vous voulez tuer les sorcières ?

- C'est tout à fait cela.

Joshua prit la parole:

- Vous savez quoi moi et Charles allons nous occuper d'accueillir nos invités, j'en ai assez d'écouter ses bêtises.

Et sur ces mots il s'en alla saluer un groupe de gens venant d'arriver, Charles sur ces talons. Francis me proposa alors son bras:

- Et si nous allions en discuter à l'intérieur ?

- Je vous suis.

Je passais ma main sous son bras et nous rentrions à l'intérieur. Nous nous dirigions vers l'étage, j'en profitais pour attraper une coupe de champagne en passant:

- Vous buvez ?

- Seulement quand je suis stresser.

Je bus une gorgée pour appuyer mon propos. Francis me regarda sans rien dire, nous finîmes par arriver dans un bureau assez austère, il ferma la porte derrière nous.

- Bon et si vous m'expliquer cette histoire, depuis quand les sorcières s'attaquent entre elles ?

- Depuis qu'elles entrent dans la tête de mon frère.

- Vous pouvez être plus claire

- Mon frère est comme obséder par le fait de vous tuer.

- Jusque la rien de nouveau

- Oui sauf que depuis peu cela est devenu encore plus intense, il souhaite même utiliser mes pouvoirs contre vous ...

- Comme les sorcières souhaitent le faire depuis le début.

- Tout à fait. Est ce que vous vous souvenez de l'altercation entre nos 2 frères ?

- Oui mais qu'est ce que cela à a voir avec notre histoire ?

- Vous rappelez vous de la réaction de mon frère ?

- Il ne voulait pas que vous interveniez, pour que vous ne soyez pas blessez ...

Il dit sa phrase dans un souffle comme si il commençait à comprendre.

- Mais cela ne reste que des suppositions.

- Peut être bien, mais je vais vous faire part de ma théorie. Lorsque votre frère à tué cette fameuse Rose, Bô à ressentie une grande colère envers lui et pourtant il ne l'a pas attaqué, il à préféré s'éloigner de vous. A mon avis il ne l'a pas fait car pour lui Joshua était ce qui ce rapprochait le plus d'un père pour lui.

J'allais m'assoir sur l'un des sofa tout en continuant mon récit, Francis s'étant placé à coté de la cheminé :

- Mais peu après votre arrivée en ville, les sorcières ont commencé à vouloir vous éliminer, mais toute seules elles n'y arrivaient pas, Bô à donc été leur solution. Elles sont entré dans sa tète et ont peu à peu transformer cette colère en haine. Mais la encore la situation avançait lentement. Et puis " heureux hasard", mon cercueil à été découvert. Du jour au lendemain je suis devenu leur arme secrète, sauf qu'elle n'avait pas prévu que j'allais les haïr plus que tout pour m'avoir ramener.

Je fis une pause dans mon récit pour boire une gorgé de champagne. Francis ne disait rien mais je sentais la curiosité dans son regard.

- J'ai finalement dis aux sorcières qu'elles ne réussiraient pas à avoir le contrôle sur moi. Et aujourd'hui mon frère ne ressent plus de haine envers vous mais une folie meurtrière. 

Francis vint s'assoir à coté de moi :

- Pensez vous que ma théorie soit fausse ?

- Elle pourrait être vraie mais dans ce cas là, pourquoi demander notre aide ?

- Et bien j'avais 2 possibilités, soit je rentrais dans leur jeu soit je les contrais. Dans le premier cas il m'aurait fallut du temps pour trouver un moyen de vous atteindre, et pendant ce temps la folie de mon frère n'aurait pas diminuer et au final il aurait risquer sa vie pour vous tuer. Il ne me restait plus qu'à éliminer les sorcières, mais si jamais elles découvrent que je suis au courant Dieu seul sait ce qu'elle pourrait faire à Bô.

- Donc votre solution, c'est nous.

- Elles cherchent des moyens pour vous tuez, elles nous gâchent la vie à tous donc oui j'ai pensé à vous.

- Comment savoir si ce n'est pas un piège ?

- Vous ne pouvez pas le savoir, vous pouvez juste croire en moi.

Il me regarda dans les yeux pour voir si je mentais, cette proximité me troublait mais je n'en fis rien voir

- Est-ce que vous êtes décidé à m'aider ?

- Euh ... Il faut que j'en parle avec mes frères avant de vous donner une réponse.

- Je comprend.

Un léger silence s'installa entre nous, Francis finit par le briser:

- Et si on profitait tout de même de cette soirée ?

Je souris,

- Je n'est pas mis une telle robe pour ne pas la montrer.

- Est ce qu'il y aurait un sous entendu dans vos paroles?

- Mes paroles sont totalement innocentes .

Il rit et me proposa son bras.

- Vous êtes ravissante ce soir

Je souris, pris son bras et nous nous dirigions vers la salle de réception. Mais pourquoi est ce que son avis m'intéresse, je le connais à peine.



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