Une rencontre pas si anodine

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Je marche dans les sombres rues de Paris, mes écouteurs vissés dans mes oreilles je me laisse emporter par la fraîcheur de cette nuit et les douces paroles de ma musique.

Je marchais depuis plus de 30 minutes, je décide de retourner chez moi et empreinta le chemin le plus court, soit la ruelle. Mais lorsque je pénétrais dans la ruelle, j'ai remarquer des personnes dans celle-ci. Au début j'ai eu un moment de recul parce que même si j'aime la nuit et qu'elle m'absorbe, elle me fait tout aussi peur, de par sa noirceur et de par tout les événements ayant lieu durant celle-ci.

Je vois malgré la noirceur 8-9 personnes, je suppose que ce sont des hommes, vu la disposition qu'ils adoptent je pense qu'ils vont se battre. Cela ne m'étonne pas, parce que c'est la face cachée de cette magnifique ville de l'Amour. La face que personne connaît, même moi je ne la connaît pas aussi bien.

Je reste dans mon coin pour qu'ils ne me remarque pas, même si avec ce lampadaire au-dessus de mon corps je suis totalement a couvert.

Il y avait huit personnes autour d'une seule personne, qui lui était seul, au centre de tous ces hommes.

Et sans que je ne m'y attende, un des hommes, je dirais même le plus baraquer pénétra dans le cercle et donna un coup à l'homme face à lui, qui lui avait l'air tout fin, je dirais même qu'il n'était point à sa hauteur. Mais ce n'est pas pour autant que cela l'arrêtera, car ils étaient 8 autour de lui, et plus celui-ci, ca fait 9, 9 contre 1 ce n'est pas juste. Et surtout vu leur carrure, j'aurais fuis directement si j'étais à la place de ce mec.

L'homme costaud remet un coup au brun au t-shirt blanc, ce coup était tellement fort que je n'ai pas pu m'empêcher de lâcher un cri de surprise.

C'est à ce moment là que Le Brun tourna le regard vers moi. Il fronça les sourcils, se demandant sûrement ce que je faisais dehors dans une heure pareille et surtout dans cette ruelle. Il avait toujours ce contact visuelle avec moi lorsqu'il a reçut un autre poing sur son visage.

J'ai sursauter et j'ai plaidoyer de le lâcher, même si je ne le connaissais pas il n'avait pas à subir cela, et je sais que si je n'interviens pas je vais le regretter et depuis quelques mois ma phrase c'est, de ne jamais rien regretter et en faire en sorte, soit de se donner les moyens, comme là.

-"Lâchez le, il ne vous a rien fait !!!" Dis-je en criant.

Les deux hommes au centre ne faisait plus attention à moi et continuer leur torture mutuelle.

Et les autres autour rigoler, applaudissait, conspué comme si c'était un ring de boxe ou comme si c'était deux chiens qui se battaient.

L'un des hommes formant le cercle, me poussa ce qui me provoqua quelques pas vers l'arrière, tout en me disant:

-" Dégage gamine, ne te mêle pas des affaires qui ne te regarde pas!!"

Je manifesta directement.

-" Mais vous rigolez ou quoi ?! Vous êtes 9 contre 1, et vous me dites de dégager ? Dégager pour le tuer tranquillement, c'est ça ? Vous vous foutez de ma gueule ou quoi ?!!! " dis-je à haute voix pour lui montrer mon mécontentement et pour lui montrer que je ne suis pas une flippète et encore moins une hypocrite.

-"Dégage !!"

-"N..."

Je n'ai à peine dis un mot que l'un des deux hommes était à terre, j'étais outrée Le Brun au t-shirt blanc a mis ce balèze à terre, il l'a littéralement mis ko, je suis plus que choquée, cette brindille a mis à terre le grand ours.

J'étais bouche-bée devant la force qu'il avait, c'est une brindille musclée.

Il n'eut à peine le temps de souffler qu'un autre s'attaqua sur lui, et ils recommencèrent leur jeu malsain, j'essayais tant bien que mal de les arrêtés mais c'est raté.

-"Les Gars, lâchez le, je vous en supplie laissez le tranquille, je ne sais pas ce qu'il vous a fait ou vice-versa mais vous ne réglerez jamais vos problèmes comme ça !! Arrêtez çaaa ! "

-"Non, non, non arrêtez " dis-je en me cachant les yeux avec mes mains.

Je n'avais même pas remarquer que depuis au moins 5 minutes un de ces garçons me tenait les bras derrière le dos pour m'empêcher de subvenir en aide à ce brun. Mais il m'a laissé lorsque j'ai cacher ma vue.

Ils n'y allaient pas de main morte en plus, j'ai mal pour lui, à chaque fois qu'il se prenait un coup mon cœur frissonnait, vibrait, et je sais que c'est lorsque je veux tellement aider les gens du fond du cœur et que je ne peux pas, j'ai mal au cœur et ça me rend malheureuse.

Je devait être la depuis au moins 30 minutes, ou je ne sais pas, même plus 1 heure peut être, ou même deux, je ne sais pas je n'ai même plus la notion du temps après ce que je vois.

Mais plus les minutes s'écoulaient plus les Gars s'écoulaient aussi, le T-shirt blanc les à tous battu, mais je vois qu'il est très faible, mais je vois aussi qu'il puise en son haine et sa rage pour résister, c'est indescriptible, il est vraiment hors du commun.

Un dernier coup et le dernier homme bien baraqué était vaincu par cet individu qui me sembler faible au début comme quoi il ne faut pas se fier à l'apparence.

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Chapitre non-corrigé.
J'espère que cette fiction vous plaira aussi, bisous mes chats 😘

SNZ ( EN PAUSE )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant