J'ouvre un oeil. J'oublie pendant un instant où je me trouve mais la vérité vous ratrappe toujours au galop. De faibles rayons de soleil trenspercent les troux de la charpente. Je vois enfin l'endroit où je suis depuis enciron 24 heures. Je suis assise dans un coin d'un immense grenier poussiéreux recouvert d'un toit minable, mal entrentenue qui tombe en ruine. La chaine qui me retient à la poutre n'est pas grande mais me permet de déplacer dans un rayon de 2 mètres. En me relevant avec plus ou moins de difficultés j'apercoit plusieurs coups et égratignures qui recouvrent les parties visiblent de ma peau ,c'est a dire mes bras et le bas de mes jambes. Je me demande comment doit etre mon visage à cet instant même. Je détourne vite le regard pour trouver n'importe qu'elle issue possible mais rien de tout cela ne parvient à mes yeux. Je reste debout au millieu de cette pièce, assoifée et ronger par la faim. Une brise d'air frais vien me glacer le sang. C'est à dire que je ne suis pas bien couverte : vêtue d'un simple t-shirt gris avec quelques accros et un leggings noir troué aux genoux. M'approchant d'un trou dans la toiture, je regarde l'extérieur et découvre que je suis toujours à Paris mais dans cet endroit qui m'effraye depuis toujours: L'ancienne Usine.
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Somewhere in the dark
RastgeleJe ne me souviens de rien, j'ai une forte douleur au poignet, une chaine l'entoure,elle me retient prisonnière.Une pièce sombre, juste un petit trou dans la toiture laisse passé la lueur de la lune. Je ne connait ni la date, ni l'heure, ni même l'en...
