Bip bip bip ... Bip Bip Bip ... Bip ...
Mon réveille sonne, je l'éjecte sans plus tarder à l'autre bout de la pièce, faisant cesser instantanément ce son horrible. Epuisé, je m'étale sur mon dos de tout mon poids, comme une étoilé de mer. A peine ai-je ouvert les yeux que la forte lumière matinal, m'agresse sauvagement. Merde Qui est ce qui a ouvert mes rideaux ? Je mettrai ma main à couper que c'est encore Assya. Il n'y a qu'elle qui trouve toujours le moyen de me mettre en colère à tout moment de la journée. Je pouffe, quand je réalise que je dois me lever pour aller à ce fichu lycée privée. Pourquoi faut-il toujours que mes parents m'envoi là où je veux le moins ? Merde, ça va faire presque 6 ans que je côtoie cet établissement et ça commence sérieusement à me les brisés. Je suis entourés d'idiot en tout genre, certains d'entre eux ose même se prendre pour des gangsters, alors qu'ils ne sont que des "fils à papa". Quel bande de con !
Je peux pas dire que j'ai toujours détesté allez là bas, y a eu une époque où Disons, que ça ne me dérangeais pas plus que ça. Autrefois, j'étais j'imagine plus doux, et surtout moins populaire. Les gens ne me connaissaient pas tellement, en même temps je venais à peine d'arriver. On ne construit pas la réputation que j'ai, en l'espace de quelques mois. Ces choses là prennent du temps, beaucoup de temps. Je me rappelle, je traînais avec une bande de pote, Lionel, Edhel, Enzo, Angela, Charlotte et Brenda. Brenda Sommons. C'est elle qui je dirais, m'a le plus marqué. Si vous saviez le bon en arrière que j'ai fais, quand j'ai aperçus son visage en plein cours. Je n'ai plus été dans sa classe depuis un bon moment, et c'est vrai que la revoir à quelques centimètres de moi, m'a fait vraiment bizarre. Il me semble que c'était avec elle, que je m'entendais le plus. Elle avait, ce truc en elle. Ce truc qui faisait que j'appréciais sa compagnie, mais que surtout je tenais énormément à elle. Je me souviendrais toujours, de cette emprise qu'elle avait sur moi. J'avais décidé d'y mettre fin, un jour comme un autre. Je ne l'avais jamais vu, si sensible. C'est limite si elle me supplier de rester, de revenir à nouveau avec elle. Bien, que nous ne sommes jamais sortit ensemble, comme je l'ai dit y avait un lien indescriptible qui nous unissait et ça n'avait pas de mots, ni de prix. Pourtant, j'ai décidé de tout arrêter. Elle m'en a voulu, elle m'en veut encore. Il n'y a qu'a voir ses regards qu'elle m'adresse et surtout son comportement. Je serais pas étonné de savoir qu'elle me déteste.
Quoi qu'il en soit, aujourd'hui je sais que jamais plus on ne pourra être de nouveau aussi proche. Avant, c'était différent, parce que j'étais différent. Cette époque est totalement révolu, j'ai mis un trait dessus depuis que Depuis que j'ai décidé d'être ce que je suis.
Cependant, je ne peux pas nier que l'avoir vu pleurer à la cafeteria la dernière fois, m'a piquer de plein fouet. Je n'ai pas pu cesser, de la fixer, n'écoutant même plus la discutions de mes compagnons de table. J'ignore ce qui l'a mise dans cet état, j'espère tout de même qu'elle va bien ou juste mieux.
**
A peine arrivé au bahut, que la majorité des regards se tournent vers moi, en particulier celui des filles. Ce charme que je porte auquel je ne donne pourtant pas trop d' attention, m'a valu une forte popularité ainsi que surtout une réputation de coureur de jupon. Bien, que je ne le comprends pas, j'imagine que c'est le revers de la chose. On me respect pour qui je suis, en revanche ça leur donne le droit de me critiquer et de raconter des ragots en tout genre sur moi et ma libido. Mais je vais pas vous mentir, j'en ai strictement rien à faire. Ils peuvent parler, je sais que 100% de leur conneries qu'ils balancent, sont fausses. Ils ne me connaissent pas, et encore heureux. L'inverser, aurait pour effet de me mettre dans une colère noire et je n'imagine même pas ce que je serais capable de faire. J'avance nonchalant vers mon groupe de "pote". Quoi ? Je ne vais quand même pas considérer ses trou du cul, comme des amis. Jamais. Ils sont juste un peu moins chiant que les autres, du coup je fais avec ce que j'ai. A peine arriver, que Louis, suivi des autres me tape un check.
VOUS LISEZ
Reste avec moi
FanfictionJe la garderai pour moi. C'est elle. Je l'ai toujours su. J'étais juste immature. Je captais pas que c'était ça l'amour. Il a fallu que je la vois dans ses bras, le sourire aux lèvres, les yeux qui brillent. J'ai eu mal putain. J'étais pas prêt. Mai...