Erza et son histoire douloureuse

chapitre 19: Morts?

Pdv Erza:

Si j'ai bien compris, je dois me concentrer sur mes sentiments et les transmettres au sabre, mais après qu'es qu'il ce passera? Je décide de lui demander:

Erza: après avoir transmis mes sentiments au sabre que va t' il arriver?
Victor: le Katana reconvertira tes sentiments en une force que tu devras contrôler verre la lumière et non verre l'obscurité-

Je le coupe alors.

Erza: lumière et obscurité?
Victor: oui tu devras penser à des choses positives et pas à des choses négatives. Ensuite un rayon de lumière apparaîtra puis nous effaceront de la surface de ma terre et de l'univers en gros nous serons morts.
Erza: oui!!!

Après m'avoir tout expliqué, ma mère se jette littéralement sur mon coup, elle pose sa tête au dessus de la mienne et me murmure:

Eileen: je suis désolée de ne pas avoir été à la hauteur de mon rôle de mère...
Erza: ne dis pas de bêtises tu l'as plus qu'était!

Sans m'en rendre compte une larme coula sur ma joue, ma mère l'essuya d'un très, et me dit:

Eileen: ne sois pas triste... je t'aime ma fille...
Erza: tu pleure aussi je te signale...

Nous rigolons un peu avant que je lui dise:

Erza: moi aussi.... je t'aime...

Elle me sourit une dernière fois puis recule.
C'est autour de mon père.

Victor: Erza ... sache que même si je n'ai jamais était au près de vous je vous aime toi et ta mère.

Après ça, il m'embrassa gentillement sur le front sous le regard intrigué des autres (et du coin de l'oeil je vois Jellal jetait un regard noir à mon père)

Ils étaient à proximités l'un de l'autre et bien en face de moi, ils avaient les mains et les doigts liés et ils s' embrassèrent une ultime fois, et ils me regarda fixés.
Je les regarda et déguéna mon nouveau sabre.
J'y concentrais tout mes sentiments et toute mes émotions. Une lumière éclata, elle aspira alors sous mes yeux et ceux des autres, mes parents.

C'était bel et bien finit mes parents étaient quant à eux morts et moi je restais FIGÉ, ne savant pas quoi dire ni faire et mes larmes coulaient seules...

A suivre...