Chapitre 5

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Dans les tribunes, Nastya et Django regardaient les combats en attendant leur tour
Nastya regardait le combat avec attention tandis que Django regardait le ciel, l'air distrait
Nastya soupira en voyant à quel point Django était détendu
"Tu pourrais au moins analyser le style de combat de nos adversaire ! On dirait que tu considère nos futurs combats comme des balades de santé"
Django ne put s'empêcher de rire

"Premièrement ma chère Nastya : je considère en effet nos combat à venir comme des ballades de santé ; deuxièmement : je peux t'assurer que le seul combat qui pourrait éventuellement nous poser problème est la finale où nous n'aurons pas besoin de combattre et ou nous abandonnerons ...
- QUOI ?!
- Ben ... Tu veux vraiment qu'on combatte en final ?
- EVIDEMMENT !"

Une ombre passa dans son regard et il répondit simplement "d'accord ..."
Il semblait préoccupé mais une voix bourrue le tira de sa rêverie
"Eh les mômes ! C'est a vous !"
La voix provenait d'un homme mal rasé encastré dans une armure de plaque bien trop petite pour lui
Il fit signe à Nastya et Django de le suivre, ils le suivirent donc.
Ils arrivèrent dans l'arène.
Face à eux, deux hommes en armure lourde avec une grosse épée chacun étaient en position offensive, ils étaient prêt à charger.
Un sourire apparu sur le visage de Django. Il fit signe à Nastya de rester en arrière et elle recula, ayant totalement confiance en lui.
Le son du cor de chasse retentit.
Les deux hommes prirent appuie sur le sol et s'élancèrent à une vitesse prodigieuse en direction de Django, une trainée de flammes magiques derrière eux.
Ils chargeaient Django qui souriait.
Ils tenaient leur lame comme on tiendrait une batte de baseball prête à frapper une balle de baseball.
Ils frappèrent la ou se trouvait Django de toute les forces.
J'ai bien dit trouvAIT, car il n'y étais désormais plus vu qu'il avait glissé entre eux pour se retrouver dans leur dos.
Les épées s'entrechoquèrent, les deux hommes ne comprenaient pas ce qu'il venait de se passer.
Ils ne comprirent pas non plus d'où venait le coup qu'ils reçurent dans la tempe et qui les assomma.

La garde royaleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant