[Chapitre 4]

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Ça faisait longtemps que je n'avais pas dormi sur mes deux yeux, ça m'avait manqué et j'ai pu rattraper mon sommeil qu'il me manquait. En me réveillant, j'avais aperçu sur la commode à ma gauche un plateau repas, dessus il y avait du pain et .. Du café? Des petites madeleines étaient disposés avec une bouteille d'eau. Cette petite attention m'avais faites sourire, la dernière que j'ai souris, c'était la vieille avec mes amis, Aïden, Heather et Zed, nous étions le trio parfait , c'était encore trop frais pour que je puisse en parler. Je me levais en étirant chaque parcelle de mon corps, et commença à déguster mon petit-déjeuner. Je le remercierais quand je partirais.

Après m'avoir préparer correctement je descendis et Hardin était assis en train de feuilleté un livre. Quand il m'avait aperçu il se retourna directement puis se leva en se dirigeant vers moi à toute allure. Je restais sur mes gardes.

«Tu comptes partir ? Me questionna-t-il.

- Oui, il le faut.

- Très bien, tu peux prendre quelques réserves de nourriture et des munitions si tu le désires.

- Merci, Hardin.»

Malgré ce qu'il m'a fait, il restait tout de même gentil, je n'allais pas partir les mains vide bien entendu, il m'avait montrer la réserve de son doigt puis il me fit signe de le suivre, c'était une porte verrouiller. Hardin sortie la clé de sa poche et l'ouvrit, mes yeux se sont ouvert en grande suite à la merveilleuse vu que j'avais devant moi. La pièce était plongé dans le noir, il alluma la lumière et plusieurs étagères étaient remplis à rat bord, comment a-t-il fait pour avoir tout ça? Je m'avançai avec son accord et observa minutieusement toutes cette belle nourritures, je n'en avais jamais vu autant réuni dans une seule et même pièce. J'en resta bouche bée. Hardin pris mon sac à dos de mes mains et l'ouvrit puis il commença à déposé plusieurs choses, des boites de conserves, ravioli, haricot, petit pois.. Des petites bouteilles d'eau ainsi qu'une gourde, et des barres de céréales chocolatée, j'en avais la bave à la bouche. Il avait remarqué et ses lèvres rosé pulpeuse s'étira pour en faire un rictus, gênée, je baissa la tête. Un élan de vertige me prit tout à coup, j'étais obligée de me tenir aux étagères pour pouvoir me garder sur pieds, qu'es qui m'arrivais? Ma vue se brouillait et devenait flou à chaque clignement et un mal de crâne me frappa aussitôt, Hardin alertait par mon malaise posa immédiatement mes affaires au sol avant de me prendre par le bras et de me porter jusqu'au fauteuil.

«Mia, tu es toute pâle! Ne bouge pas je reviens.

Il partie et réapparu avec une seringue, il prit mon bras et enfonça l'aiguille dans ma chair.

- Avec ça tu ira mieux. C'est comme un anti-douleur, tu ne sentiras plus rien. Ne t'en fais pas !

- J'ai mal ! Qu'es qui m'arrive ?!

- Repose toi, ne parle pas trop tu pourrais t'affaiblir.»

J'avais arrêté de parler mais je restais tout de même dans le brouillard.

Il me déposa une petite serviette imbibé d'eau froide sur le front. Et je sentais que mes paupières devenaient lourde, et je m'endormis sur les paroles devenues lointaine d'Hardin, «Non ! Mia, ne me laisse pas !» je n'avais pas pu cerné si c'était un rêve ou bien si il le disait réellement...

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Je commençais à reprendre conscience, un élan de frayeur me prit où étais-je ? Je regardais autour de moi précipitamment et vu la même chambre fade où j'ai passé la nuit, que s'était-il passer? J'observais à ma gauche et le vit. Il était assis sur une chaise les yeux fermés, le coude posé sur l'accoudoir et sa main tenant maintenant sa tête, ses jambes étaient l'une sur l'autre, je remarquais qu'il s'était changé, il portait seulement un jean bleu délavé et un sweet gris.

«Hum hum. Fis-je.

Il se réveilla en sursaut.

- Tu m'as fichu une de ces trouilles ! Tu vas mieux ?

Je rigolais.

- Oui, j'ai la tête lourde..

- Normal tu as dormis un jour entier.

Quoi ?

- Non ! Il faut que je m'en aille mes parents doivent m'attendre, je ne dois pas perdre de temps !

Je me leva précipitamment et retomba.

- Tu dois d'abord te remettre sur pied, Mia.

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