Chapitre 2, le loup. ☻

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C'est vrais, je me demandais réellement qu'elle fût le vrai du faux, Pierre modifiait souvent ses histoires de surnaturel, mais il semblait tellement sérieux. Pierre ne se serait jamais permis de parler de mes parents si leurs noms n'avaient pas était évoqué bien que Jeanne n'arrêtait de me dire le contraire, je n'arrivais pas à ne pas penser au blond, il était venu dans ce bar, prendre un simple verre et l'avait payé. Rien de bien extraordinaire, mais les paroles de Pierre, mon ami m'avait intrigué, pourquoi avait-il voulu arrêter de tabasser Jean quand ce dernier lui avait dit que mes parents étaient morts dans un accident de voiture ? Pourquoi Pierre pensait qu'il existait deux versions de leurs morts ? Ces deux questions étaient gravées dans ma mémoire ne voulant pas quitter mon esprit une seule seconde. Puis il y avait aussi cette histoire de "dieu" pourquoi parler de dieu ? Cela Pierre, c'était des démons et un ange, mais les démons et les anges n'étaient normalement pas amis, ils ne travaillaient pas ensembles. Mais de toute façon, ils n'existaient pas ! Enfin, je crois.

Le reste de la soirée se passa doucement, les clients allaient et venaient, mais Jeanne restait avec moi, elle m'écoutait parler de mes parents, et me réconfortais. J'aimais bien Jeanne, elle et Pierre étaient les clients les plus anciens d'Andor, même quand j'avais six sept ans, ils étaient déjà des habituer ! Elle ne comprenait pas pourquoi Pierre avait inventé cette histoire avec mes parents, c'était incroyable ! Ils ne parlaient jamais d'eux de peur de me détruire le moral, mais là, il en avait parlé devant tout le bar ! J'étais habituée aux histoires de Pierre, lui qui avait toujours baigné dans le surnaturel, il m'avait raconté que quand il était plus jeune sont père était chasseur de monstre, mais il a dû changer de métier, les monstres avaient soudainement arrêté de venir vers chez eux. J'étais habituée aux histoires de Pierre, lui qui avait toujours baigné dans le surnaturel, il m'avait raconté que quand il était plus jeune sont père était chasseur de monstre, mais il a dû changer de métier, les monstres avaient soudainement arrêté de venir vers chez eux. L'heure tourna de plus en plus, et les 1h50 du matin était déjà arrivé, je saluais Jeanne et éteignis la musique, je me dirigeais dans l'arrière-boutique, mais me ravisais et alla tourner la pancarte de la porte pour qu'elle affiche "FERMER" dans la rue. J'étais dans l'arrière-boutique à finir de conter mes bouteilles quand la musique du bar recommença, "When I Was Your Man" de Bruno Mars retentissait alors dans tout l'Andor. Je me figeais, comment quelqu'un avait pu entrer ? J'attrapais alors une bouteille en verre vide et me dirigeais à pas de loup vers le comptoir, j'écarquillais grand mes petit yeux bleue quand je vue le blond se tenir devant moi. Je n'osais plus bouger.

- Il faut que tu m'écoutes. Dit le blond.

- On ne se connaît pas ! Sortez de mon bar ! Dis-je d'une voix tremblante.

- Pierre a dû te raconter sa version des faits ! Laisse-moi racontez ma version ! Dit le garçon, on s'avançant vers moi.

- Ne bouge pas ! Dis-je avec force pour lui faire comprendre qu'il n'avait pas intérêt à s'avancer plus.

- D'accord ! Regarde j'avance plus, et je n'avancerais plus ! Mais laisse moi te racontez ma version, j'en t'en pris !

Je pausais ma bouteille sur le comptoir, je ne savais pas si je pouvais l'écouter, il a tabassé Jean, un pauvre sans-abri pour pouvoir avoir des informations sur moi. Mais d'un autre côté, il l'avait sauvé, avec cet éclair.

- Je t'écoute. Dis-je d'une voie fermer.

- Génial ! Je m'appelle Luke, et je travaille pour des personnes qui ne tolèrent pas qu'on ne respect pas leurs intentions à la lettre près. Il m'on demander de te retrouver, chose que j'ai faite puisque tu es devant moi. Mais mes chefs m'on demander d'avoir des informations sur ta famille avant de t'emmener avec moi les voir. Alors j'ai demandé à Pierre, et à Jean, mais deux collègues à moi sont arrivé, ils sont bien plus costauds que moi, et sont plus puissant, ils se sont mi à tabasser Jean, j'avoue que je l'ai aussi frappé. Mais quand il m'a dit que tes parents étaient mort dans un accident de voiture, j'ai compris que ta tante n'avait jamais dit la vérité, cette information pouvais suffire pour mes chefs, mais mes collègues aiment bien tabasser les gens, alors ils ne voulaient s'arrêter, je suis intervenue en fessant une distraction pour que Jean puisse s'enfuir !

Olympe Avril (TERMINÉ)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant