Chapitre 10, Morte. ☻

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- Olympe. 

Ophélia s'assise en face de moi, j'étais toujours sur la terrasse du café à observer mon nouvelle environnement, les gens, leurs pouvoirs, leurs vies...

- Ophélia.

- Les anges on prévenu Cassiopée de ton comportement.

- Je suis déçu d'eux. Je les croyais plus aventureux !

- Tu ne comptes pas me donner le parchemin ? Demande-t-elle.

- Tu avais vraiment une relation caché avec lui ?

- Oui, oui, j'en avais une, mais on ne pouvait pas mélanger les espèces, on ne peut toujours pas donc on sait cacher, on allait se retrouver dans une partie de la ville fréquentée uniquement par les méta-humains, eux étaient au courant de notre secret, et jamais il n'avait parler, les méta-humains on toujours étaient un peuple très solidaire.

- Dans le parchemin, il dit que ses dernières pensées étaient pour vous et votre petite O'.

Je vu une larme silencieuse couler le long de son visage, les vampires peuvent pleurer ? Je lui lançais un regard désolée pour la perte de son amant, elle sera la mâchoire et me fixa.

- "O'" tu sais qui s'est ? Me demanda la déesse.

Oui, j'avais une idée de qui cela pouvait être mais je ne voulais pas le prononcer à haute voix, non je ne pouvais pas le prononcer à haute voix.

- Je ne sais pas. Répondis-je la voie serrer.

- Olympe... O' laisse moi t'expliquer depuis le début, je t'en pris ! Me supplia la vampire.

- J'ai déjà entendu cette phrase, sortie tout droit la bouche d'un ange. Je t'écoute. Répondis-je froidement.

- Il y a environ 25 ans Liam et moi avons commencé à nous fréquenter autrement que professionnellement, le peuple des méta-humains à toujours étaient discriminer, car ils étaient vraiment proches des humains, les autres créatures ne comprenaient pas pourquoi il était là, au paradis, alors nous ne pouvions pas assumer notre relation, en plus les lois interdises le brassage des espèces, on a le droit de sortir avec uniquement les personnes dans la même garde que nous, et de la même espèce ! C'est débile, mais ce son les lois de Cassiopée en tout cas mise en place par elle. Et puis il y a un 20 ans je suis tomber enceinte, je l'es cachée à tout le monde, mais une fois que j'ai accoucher les problème on commencer, l'enfant fessais trop de bruit, on ne pouvait pas le dissimuler et puis, le génocide des méta-humains à commencer, Liam m'a suggérer d'envoyer l'enfant sur Terre près d'humain de confiance, alors j'ai contacter une messagère des dieux, qui a emmener l'enfant sur Terre et a fuit son rôle en même temps, elle a livrer l'enfant à sa sœur et son mari qui l'on élevé comme leur propre fille jusqu'à ses 6 ans, à se moment là ici au paradis, les dieux était plus qu'énerver que on leur refuse le droit de prendre la petite fille, le hasard à fait qu'il avait décider qu'elle serait messagère des dieux, mais ses parents adoptif savaient que si elle revenait elle allait mourir alors il sont mort pour la sauver, ils sont mort pour sauver la vie de la fille d'une autre qui était piéger au paradis, et cette petite fille, Olympe, c'est toi..

Ophélia était en larmes, elle pouvait pleurer, oui, elle pouvait ! Elle ne méritait pas mieux, que d'être triste et seul toute sa vie ! Elle avait fait la pire chose au monde, abandonner son enfant, comment un parent peut faire cela ? Sans se poser de question ? Comment un parent peux dire que la meilleure solution était d'abandonner son enfant, de ne plus être présent, ne jamais venir à la remise de diplôme, ou aux fêtes d'anniversaire, à Noël, aux nouveaux ans, à pâques, comment un parent peut imaginer un seul instant vivre sens son enfant ? Abandonner son enfant, c'est comme s'arracher un bras, une jambe ! On ne peut juste pas le faire, sinon on ne veut pas mieux que les tuer en série, ou pire encore.

- Tu m'as abandonné. Dis-je froidement.

- Je sais et je m'en voudrais toute ma vie.

- J'espère que tu ne t'en remettras jamais, que tu souffriras toujours, comme moi, j'ai beaucoup pleurée quand j'ai perdu mes parents, ceux qui m'ont élevé et quand j'ai perdu ma tante, qui ne m'a jamais dit la vérité ! Je suis pose que c'est toi qui lui as demander de garder le silence ? M'énervais-je attirant quelques regards indiscrets.

- Non, je ne lui ai jamais demandé une chose pareille ! Mais quand je t'suis vu arriver, j'ai compris qui tu étais, j'ai compris que tu n'étais pas au courant...

- Alors tu n'as rien dit ! Tu pensais quoi ? Criais-je en me levant.

Les gens autour de nous savaient que je parlais à l'une de leur déesse, il savait qui j'étais, la petite nouvelle qui veut tuer tout le monde, la créature inconnue ! Une bête de cirque !

- Quoi ? Crachais-je au gens qui me regardait. Vous voulez quoi ? Me faire chier peu, être ? Ben c'est réussi !

Tout le monde nous observait, ils nous fixaient tous, mais pour qui se prenaient-ils ? Tous ces gens débiles, ce croyant supérieur au Hommes alors qu'ils ne valaient pas mieux !

- QUOI ? Criais-je en direction de la foule qui me regardait toujours.

Olympe Avril (TERMINÉ)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant