Les cinq héritières-Le pouvoir de Lowna

journée fatiguante

Lowna venait de rentré de l'école, la journée à été difficile: -Les enfants sortez vos cahiers et ouvrez les à la page 136. Lowna, pouvez vous me citer les 101 départements français? La jeune fille parlait de nouveau avec Claire, sa meilleure amie. La professeur de géographie s'approcha des deux amies frappa sur le bureau avec sa règle en bois. Mes demoiselle qu'est ce que je vous ai demandé a mon dernier cour?! Lowna et Claire se regardèrent et baisèrent la tête. C'est bien ce qui me semblait... donnez moi vos carnets, vous aurez toutes les deux une punition pour demain. Tout les regards étaient fixés sur les deux amies. Alors, une page de dictionnaire en changeant de couleurs à chaque lettres.

Je pense que vous aurez compris pourquoi Lowna était de mauvaise humeur. Tout ce qu'elle redoutait c'était l'arrivée de sa mère, et, malheureusement sa mère arriva, les bras chargé de fruits, légumes et autres produits inutiles à son gout.

-Coucou ma puce, tout c'est bien passé à l'école? Lui demanda sa mère d'un air enjoué.

La jeune se leva du canapé, ses paupières légèrement fermées recouvrait des yeux de couleurs rouge.

Quoi, tu as eu une punition? gloussais sa Corine.

-Enfaite, ça te fait quoi si je te dit que j'ai VRAIMENT eu une punition. Le sourire sur les lèvres de Corine se transforma vite en grimace:

-Ah non, non Lowna, non, là c'est trop, je suis pas d'accord. Sa fille lui tendit le carnet avec hésitation.

Après une ou deux minutes de lecture, Corine fixa Lowna. "un, deux, trois..."

-Maman c'est pas ma faute c'est jus....

-L'école c'est pas un jeu, pourquoi tu parles tout le temps en cour, après c'est les mauvaises notes et les punitions... A l'école et à la maison. Lowna entendit une porte claquer, C'était son père. Cette fois-ci son heure avait sonné. "A dieux monde cruel et sans pitié je vous ai tous aimé."

-Bonjours, il salua les deux femmes, et, en voient le visage de Corine, il devina ce que Lowna avait fait: Lowna, tu as encore une punition? La jeune fille hocha la tête. Bon ce n'est pas trop grave, Mais j'espère que ça n'arrivera plus. Elles le regardèrent d'un air étonné. Quoi?

Durent le repas, Lowna n'osa rien dire. Et au moment ou elle devait aller se coucher elle se dit qu'il faudrait éventuellement qu'elle fasse sa punition.

Le matin suivant, Lowna partit à l'école normalement.

-Non mais je te jure, elle ma fait une théorie « Ah Lowna, tu sais lécole ça vas te servir toute ta vie » Non sérieux, je le savais pas. Claire, écoutais sa meilleur amie en riant : à chaque fois que Lowna avait une punition (assez souvent) cétait la même histoire. A force elle avait appris à rire.

-A part ça, tu as révisé le test de maths Lowna ne la laissa pas finir:

-Il y avait un test de maths pour aujourdhui ?! Mais moi je nétais pas au courant.

Son amie eu un sourire ironique en voyant le visage de la jeune fille se décomposé :

-Mais non, je voulais te faire marcher, et toi tu as sauté dedans on a cour de philo. Claire adorait la philosophie, mais les professeurs en ont mis que 2 dans lannée.

-Test pas drôle. Moi jai flippé ma race quand tas dit ça, bon et en ce qui concerne la philo, il faudra dabord que lon trouve la sale.

Comme avait prédit Lowna, les jeunes étudiants cherchèrent la sale ou auras lieu le fameux cour de philo. Lowna était très distraite, et, sans même sans rendre conte elle rentra dans une sale circulaire où pleins de tableaux était affichés. Après une courte réflexion elle se retourna, la porte était fermée à clé. La jeune fille tenta de louvrir, en vain. Lowna pris sa tête pour réfléchir.

« Que-est-ce que je vais faire. » Se demanda-t-elle. Lowna sassit sur un petit tabouret et posa ses coudes sur ses genou dans sa tête lui vint une idée :

« Et si je cassais la porte. » Lowna fut tirée de ses réflexions par une voix au plafond : cétait lalarme incendie ! Sans même prendre le temps de réfléchir, Elle se leva brusquement, courra vers la porte la frappant de toutes ses forces. La jeune fille sentit de la chaleur derrière elle. En se retournent, elle ferma les yeux. Une larme coula, et, elle les rouvrit. Des flammes apparurent dans son champ de vision. Le tabouret était toujours là, au milieux de la pièce, machinalement, elle sassit dessus.

« Réfléchis Lowna, réfléchis » Se dit-elle tout bas.

-Est-ce quil y a quelquun ? Sil vous plait !!! Cria-t-elle en pleurant !

-Lowna

-Qui est là ?! répondit-elle agressivement.

-Chut, chut, chut. Lowna, ne panique pas. Vien

-Non !!! Et qui êtes-vous dailleurs. La jeune fille ne contrôlais plus ses mots ni ses gestes.

La voix semblait calme malgré la fumée qui envahissait petit à petit la pièce. La prisonnière toussa et se frotta les yeux.

-Lowna, écoute-moi. Je ne te veux aucun mal. De toute façon tu nas plus le choix, donc que ça te plaise ou non, tu viens avec moi. Une flamme lui frôla la joue. Elle recula brusquement et se tapa la tête à un mur.

-Cest daccord. La jeune fille se dirigea vers le son. Il provenait dun tableau accroché par une ficelle qui brulait lentement.

-Prends le tableau VITE ! sécria la voie. Lowna obéit et arracha le cadre, derrière il y avait un petit creux dans le mur. Deux manivelles sy trouvaient, une était plus grande que lautre. Elle dirigea sa main vers la plus petite, sans la moindre hésitation, elle la tourna dans le sens des Eguilles dune montre. Le petit creux se transformait petit à petit en porte.

-Ouvre la, Tu verras ou mènera le chemin du destin

Le couloir au mur de bois et au sol en parquet gris semblait interminable. Bizarrement les flammes lavaient envahi mais la chaleur ne brulait pas autant que dans lécole. Mais elle se dépêchait quand même. Tout à coup, le couloir sarrêta net en laissent place à un mur complétement abimé : il y avait des traces de griffures comme si des personnes avant Lowna y avaient laissées leurs peau. La jeune fille examina attentivement cette maudite parois sans y voir le moindre indice, les flammes donnaient de plus en plus de lumières sans que, pour autant, Lowna y voie plus claire. Cette fois ci, cétait son heure : elle allait mourir...