LES YEUX SONT ROUGES ET LE CŒUR EST NOIR.

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BONJOUR, SALEM 🥀

"À trop faire du mal au tour de toi poto, crois moi que tu vas le payer."

1 semaine c'était écroulée.

J'avais vendu le reste de ma came, ce qui m'avais rapporté quelques billets, rien de bien passionnant, la routine.

Anas avait complètement disparu de la circulation.

L'offre de Bilal marchait toujours, 16 000 balles pour un braquage, que du bénef.

Jade je ne l'avais plus revu depuis, tant mieux d'ailleurs.

Il ne c'était rien passé d'autre d'ailleurs, tout était calme, même un peut trop à mon goût.

Plusieurs personnes étaient au courant que c'était moi qui avait tiré sur le frère de leur patron, je le savais qu'il y aurait des fuites.

Personne n'avait essayé de me kidnapper donc tant mieux.. mais j'étais déjà préparée mentalement.

Je restais cloitrée chez moi si je ne vendais pas.

Mais il fallait bien que je me prépare pour le braquage.

J'avais déjà les affaires, mais physiquement parlant, il me restait quelques petites choses à faire, j'avais pas vraiment envie de faire ralentir le groupe car mon corps de brindille je suivait pas.

Je n'allais pas parler dans le braquage, je devais simplement prendre l'argent des caisses et de la réserve.

En parlant de ça Bilal m'avait appelé au moment ou je pensais à cela.

- Oue.

Bilal - T'es prêtes ?

- Encore un peut de musculation et c'est bon à mon avis.

Bilal - Tant mieux parce que les sacs de pèseront pas 5 kilos !

- Je le sais ça.

Bilal - Bon, le plan est totalement finit, tu sais ton emplacement et ce que tu dois faire. Le braquage aura lieu mardi prochain vers 18 heures.

- D'accord, je me rend directement à la banque ?

Bilal - Non, rends toi chez moi avant.

- D'accord.

Bilal - Attention à toi Faiza.

Et avait raccroché ensuite.

Ce braquage avait lieu plus tôt que prévu mais ça me convenait, plus vite j'avais mon argent, mieux j'allais.

Vous vous demandez sûrement pourquoi et comment j'avais pu tomber dans le vice de la rue ?

Non pas parce que j'avais eu de mauvaises fréquentations, non, pour ça il fallait déjà que je fréquente du monde.

Enfaite comme je l'avais déjà dis, j'étais plutôt attirée par l'interdit.

Et l'argent me charmait.