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BONJOUR, SALEM 🌹

« J'veux des millions j'ai l'coeur brisé, immunisé. »

*17 ans plus tard*

- N Û R A -

Je me réveilla avec un petit rictus en m'étirant.

C'était mon anniversaire, et j'avais à présent 18 ans.

Si j'faisais une connerie légalement c'est plus mes parents, enfin mon père qui paiera les peaux cassés, mais moi.

Je me sentais, plus femme.

Même si je dois l'avouer que j'étais encore une enfant, j'ai toujours besoins de mon père.

Je me leva de mon lit et alla directement dans la salle de bain me préparer.

Je m'habilla comme d'habitude..

Après tout, c'est un jour comme un autre, il y a juste 1 an de plus au compteur.

Je pris ensuite mon téléphone.

Quelques notifications apparaissaient sur mon téléphone.

Don ma « meilleure amie » Amélia.

« Joyeux anniversaire ma chérie, on se voit tout à l'heure ! ».

Je lui répondis et répondis aux quelques autres personnes qui m'avaient souhaités mon anniversaire.

Je reposa mon téléphone et descendis en bas avec mon père et ma belle mère.

Je leurs fis tout les deux un bisous et j'alla prendre mon petit déjeuné.

Armell - Joyeux anniversaire ma belle, tu deviens grande. 

Elle me fit un gros câlin.

Je la serra aussi contre moi.

- Merci Armell.

Mon père se montrait plus distant, mais vient quand même me voir.

Papa - Joyeux anniversaire ma fille.

Il me prit dans ses bras et me fit un petit bisous sur le front.

Papa - 18 ans maintenant, tu deviens une femme.

Je lui fis un sourire qui me rendait avec un visage un peut triste, ce que d'ailleurs je ne comprenais pas trop..

C'était mon anniversaire et il était triste..

J'avoue que ça m'avais fait un peut mal au coeur, mais bon, ça devait être un problème dans son entreprise..

Armell - J'ai invité du monde ce soir pour ton anniversaire, tu ne sors pas hein ?

- Non, j'aime pas trop sortir le soir.

Papa - Elle a raison.

Armell - Bien, tu vois Amélia aujourd'hui ?

- Oui normalement cet aprèm.

Papa - Comme d'habitude 18h30 à la maison.

Je lui souris et remonta en haut.

Je n'ai pas été élevée à la dur.

Au contraire j'ai toujours eu la liberté de sortir à l'heure que je voulais, et d'autres choses.

LES YEUX SONT ROUGES ET LE CŒUR EST NOIR.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant