Un Jour Je Serais Prince

6. Le royaume change

Le lendemain, au déjeuner, toute la famille royale se retrouve dans la salle à manger royal. Le roi Duncan n'ayant pas passé une bonne nuit se leva, partit dans la cuisine et dit très clairement:

- Aller finir votre repas dans la salle à manger je vous ne supplie, annonça Duncan
- Mais, tu ne peux pas faire cela, c'est tout de même la Salle à Manger Royale, dit presque méchamment sa mère, Paige
- Mère, ils n'ont pas de chaise, et doivent toujours répondre présent dès qu'on les appels, répondit mécontent Duncan.
- Cher, ce sont des serviteurs c'est leur rôle de répondre n'importe quand, rétorqua méchamment Paige
- Mère, quand j'ai rencontré Léopold, je n'étais qu'un simple jeune homme tel tout le monde là-bas, je n'avais pas de personne pour me servir ou alors pour me conduire où je le souhaitait, et c'est cela la pure liberté, être libre de ce qu'on veut faire, mère, laissons les être qui ils sont tout en leur demandant de toujours répondre à nos besoin, ne leur demandons pas d'aller chercher la fourchette qui est à l'autre bout de la table, de prendre le sucre dans la sucrerie, de reprendre notre assiette pour l'amener dans la cuisine pour finir par passer par la cuisine et ne pas les regarder, pour qu'ils baissent le regard dès qu'ils nous voient.

La mère de Duncan resta sans voix, son fils qui avait toujours vécu et surtout grandit dans cet esprit-là.

- Ce sont des humains comme toi et moi, ce n'est pas la couronne qui décide de qui sont les hommes et les femmes qui nous servent, certes c'est leur rôle mais s'il vous plaît faites un effort, je ne veux plus qu'ils se fassent remettre à leur place s'ils placent le thé trop loin ou trop près de vous. Laissez-les vivre leur vie sans les remballer et surtout laisser les porter des habits, costume et robe si vous le souhaiter mais plus de vêtement de servants ou domestiques. Mère, pour la première fois je vais t'appeler ainsi, maman écoute moi, fait-moi confiance, la vie serra mieux après, je vous le jure, plus de malaise quand on les croise...

Duncan avait toujours rêvé de le dire à sa mère, mais n'avait jamais eu la chance et surtout le courage de le faire. Pour lui les servants et les servantes qui étaient et seront toujours à leur service étaient tous devenu des amis pour lui, ils s'efforçaient de le lui montrer le respect vu de leur basse place, mais Dun les reprenait toujours en leur disant d'arrêter les bonnes manières imposées par ses parents, il ne voulait pas être vu comme plus grands que n'importe quand. Prince il en est conscient, mais l'humain avant tout est son principe. Respecter le monde tel qu'il est. S'il est aujourd'hui ainsi c'est que les soit disant grands hommes de tous les pays, font comme bon leur semble alors que le bien peut être alors le pire qu'on puisse faire au monde. Duncan avait compris cela depuis ses quinze ans, mais jamais il n'eut le courage d'en faire part à ses parents, sa mère avait l'air d'être, pas forcément d'accord, mais compréhensible derrière son envie de faire part de sa vision du monde.

Au plus profond de son cœur, le Roi Duncan, avait pour mission de sa venue sur terre d'aider les hommes qui en ont besoin, de faire ressortir le bon chez les personnes traitées comme des moins que rien. Et il s'était dit, dès qu'il s'en rendit compte, qu'il le fera que sa plaise ou non.

Le chien de Léopold, le dalmatien qu'il avait reçu de Duncan à son anniversaire, vivait jusqu'à aujourd'hui dehors dans une niche. Certes c'est bien mais il n'avait pas la permission pour pénétrer dans le château bien que Léo le faisait entrer dans son appartement quelque fois la nuit. Alors, Dun, proclama que les animaux étaient les bienvenues dans le palais, à condition qu'il n'aille vers les personnes allergiques ou encore vers les gens qui en avaient peur.

Les célébrations qui avaient lieu seulement dans le jardin royal, auront la possibilité à présent de se tenir à l'intérieur dans la salle prévue à cet effet les jours de pluie ou de neige, à la place d'être reporté ou déplacé.

Tout le monde aura le droit, à condition d'être apprêter comme il le faut, de pouvoir se rendre au Palais. Une partie majoritaire restera évidemment privée mais le Roi Duncan veut à tout prix que le palais change sous son règne, que tout change. Il souhaite absolument le faire, car pour lui pour bien gouverner, ou même diriger une équipe, c'est en tout premier pouvoir savoir ce que l'équipe, ce que les personnes présentent veulent et, ensuite, faire de son mieux pour que tout se passe comme il le faut et juger si les idées sont bénéfice au groupe ou bien alors si on peut s'en passer. Être roi, souvent beaucoup pense qu'aujourd'hui ce n'est plus qu'une histoire de titre, mais non, au contraire, c'est la famille qui porte justement ces titres-là qui font tout pour le pays, si un roi s'en fiche complètement du pays cela se sentira et au contraire s'il s'en donne à cœur joie cela se sentira de même, gouverner en changeant des petites choses au fil du temps, c'est ça l'évolution du monde d'aujourd'hui.

Duncan se mit tout de suite au boulot, commençant par convaincre ses parents, ce qui n'est pas une tâche facile:

- Arrêtez cela tout de suite fils, ordonna Paige
- Non, mère, aujourd'hui c'est moi qui gouverne le pays, c'est à moi de faire les choix qui seront bénéfique ou pas à mon peuple, dis d'une voix forte et convaincante Duncan.

Une fois ses parents soient disant d'accord avec lui, il partit pour faire de son mieux, une chose à la fois bien sûr, mais le plus possible. Le dalmatien se vis attribuer une chambre où la porte se vit être changer en porte pour chien, c'en est une banale, mais avec la possibilité de partir et de rentrer n'importe quand avec la partie du bas qui fut modifié. Le jour de la mort du chien, la chambre se verra se faire attribuer son nom et les dates de sa naissance et de sa mort.
Le palais qui abritait la famille royale depuis beaucoup plus de génération qu'on en pense, se vit se refaire une beauté, mais seulement la partie à moitié séparé où tout le monde qui soit bien habillé peut rentrer. D'un bleu gris de départ, seulement la peinture aux pires endroits se voie refaite.
Trois jours plus tard, le Roi Duncan invita son peuple à fêter la rénovation:

- Je proclame ouverte la nouvelle face du royaume.
Suite à cette proclamation, le roi de sang royal, venait officiellement de déclarer la nouvelle réécriture des lois fondamentale qui formait le royaume depuis de plus ample génération qu'on en pense.

Cependant, dans toute évolution apparaissent des difficultés, de moindre ou non, importance. Ce qui est c'est réellement passé dans la famille royale.
Le premier ministre, le plus nul et le moins aimé de tous le royaume, venait d'ordonner de tout faire pour déjouer les plans de changement du roi, passer par tout faire le faire exclure d'un lieu où il est invité ou bien encore en donnant de faux scoop aux journaliste qui en raffolent. C'est pendant cette période que la famille de Duncan faillit se dessoudée, se séparé ou même se débarrassé de la couronne. Faire tomber la couronne signifie la fin de la royauté dans le pays concerné. Leur faire oublier la couronne est signification de meurtre royal, mais le premier ministre était prêt à tout pour faire tomber la nouvelle belle-famille de Léopold. La pire des actions fut presque entamée, mais le palais tout entier s'était permis de se voir en secret et de prendre la meilleure décision pour le peuple danois: faire licencié le Premier Ministre. Leurs majestés Paige et Edward eurent voulu plusieurs fois de le faire mais ils n'en virent d'avance pas la fin du tunnel pour redéfinir le rôle du premier ministre. Léopold qui, devait depuis le jour de couronnement, gouverner aux côtés de son mari le pays, proposa quelqu'un pour le poste, quelqu'un qu'il connaît très bien: son cousin.

- Mon cousin, a fini des études de droit et est passionné par le Danemark.

Après cette proposition, la famille toute entière décida de lui payer le voyage et de voir s'il ferait un bon premier ministre. Une semaine plus tard, le cousin fut arrivé au royaume. Sir Edward et la grande-Reine Paige, lui firent passer tous les tests qu'un futur premier ministre doit savoir faire pour, ensuite, le faire voter par le peuple.