Une nouvelle journée

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Ne me jugez pas, j'étais à court d'idées pour le nom du chapitre. J'espère qu'il vous plaira quand même😆. (Si vous avez une meilleure idée pour le titre du chapitre, n'hésitez pas à me le dire en commentaire. Parceque là, franchement, je sèche.)

Abasourdi Karl resta un instant sans bouger dans son lit. Il se remémora la discussion qu'il avait entendu, quelques minutes plus tôt. Qu'est-ce que ça signifiais? Se pourai-t-il qu'il ai une "connexion" avec l'extérieur? L'adolescent avais besoin d'explications. Comme toujours, depuis qu'il était arrivé ici. Sans Ayako, il serai perdu. Karl soupira. Soudain, il se rendit compte qu'il n'étais pas seul, il sentais une présence chaleureuse à côté de son lit. Il tourna la tête et vis Ayako, qui le regardais avec curiosité. Ils restèrent un long moment à se fixer dans le blanc des yeux. Puis, la jeune fille se décida la première à parler.

-Ce n'étais pas un rêve.
-Pardon?
-Ça s'appelle la zone noire. Les gens dans le coma se retrouvent dans cette zone, livrés à eux même. Ils ne peuvent ni appeler à l'aide, ni bouger. L'image qu'ils renvoient au monde extérieur est celle d'une personne endormie. Il est fréquent que les personnes qui ont un sanctuaire se retrouvent dans cette zone. Cette zone a un atout: elle permet d'entendre ce qui se passe dehors.

Karl hoche la tête, puis se met à sourir. Bêtement. Ayako fronce les sourcils, mais ne dis rien. Elle s'apprête à se lever, mais Karl attrape son bras et l'arrête.

-Je suis désolé pour tout à l'heure. Tu ne cherches qu'à m'aider depuis le début, et moi je t'engueule...

Il n'a pas le temps de finir son discours. Ayako se penche sur lui, et effleure sa joue de ses jolies lèvres roses.

-Ce n'est pas grave. Tu es mon koun, après tout.

Elle sourit et sort de la pièce.

¤¤¤¤¤

Peu de temps après, une délicieuse odeur s'échappa du rez-de-chaussé. Karl, qui était rester jusqu'à là dans sa chambre afin d'éviter Ayako, ne pu résister. Il descendit les escaliers et découvrit la jeune fille en train de  fredonner pendant qu'elle  coupais des carottes.

-Hum hum...

Surprise, Ayako fit tomber son couteau. Heureusement pour elle, il atterri à peine à 5 centimètres de son pied. Elle leva les yeux, et ses prunelles d'un bleu océan captivant rencontrèrent celles de couleur noisette de Karl. Quand l'adolescent vit l'air déboussolé d'Ayako, il ne pu s'empêcher d'éclater de rire. C'était la première fois qu'il riait depuis qu'il était ici. Ayako, en le voyant rire aux éclats, fut encore plus perdue qu'elle ne l'était déjà, ce qui intensifia les rires de Karl. Enfin, elle compris qu'il se moquais d'elle. La jeune fille pris une moue enfantine et essaya de se faire entendre par dessus les rires de Karl.

-Ce n'est pas très gentil de te moquer de moi. Qu'est-ce que j'ai fait de si drôle?
-Hahaha!!! Tu aurai dû voir ta tête quand tu m'as vu! Quand je suis arrivé, tu ne m'avais pas remarquer, tellement tu étais concentrée et puis... pfff... Hahaha!!!

Ayako finit par sourir. C'était la première fois qu'elle le voyais aussi heureux. Et il fallais avouer que sa bonne humeur était contagieuse. Mais, pendant qu'ils s'amusaient, dehors, de l'autre côté de ce sanctuaire si accueuillant, un désastre se préparai. Et beaucoup de personnes redoutaient ce moment.

Et voilà! Alors, qu'est-ce que vous en pensez? Les personnages, dans ce chapitre, sont un peu moins coincé du cu, vous trouvez pas? (Excusez moi si j'ai pu paraître vulgaire). Suite au prochain chapitre, mes p'tites pastèques🍉😆

Seven years with you Où les histoires vivent. Découvrez maintenant