CHAPITRE 3

25 2 0
                                    

Lundi à seize heure quarante-cinq, je le voyais là posté devant l'arbre qui surplombait la grille, les yeux rivée sur moi dès que j'ai mis un pied en dehors du lycée.
Mon coeur battait à cent à l'heure, à son approche je sentais mon estomac se nouer.
Il me regarda l'air confient et sûr de lui et il me lança :"hey" avec un rictus
au lèvres, je lui répliqua:"hey".
Nous marchions ensuite ensemble en direction de la gare. On entendait ses pote siffler etc... Vous voyez le genre !
Nous discutons de choses banale enfin il y avait que moi qui parlais, mais lui ne cessait pas de me regarder, de me fixé: " Pourquoi tu me regarde?" demandais-je , il réplica : " parce que tu parles trop "
-" non, je comble le vide, vu que tu ne parles pas ! ", je m'arrêtais à l'entrée du chemin entre la route menant à gare et le parking.
Il me fixait toujours, ensuite il prennait​ mes mains, me poussa contre un mur derrière moi, il approcha son visage du mien. Je senti en moi le désir, le feu de l'amour, l'embrasser était devenu a cet instant essentiel. Mais soudain, il s'arrêta net à quelques centimètres de ma bouche. Mon envie n'était plus que poussière, il tapa du poing sur le mur derrière, je voyais de la haine, de la colère, du mal être dans ses yeux . Sa main saignait un peu. J'étais dans l'incompréhension la plus totale.
- "tu vas bien ? " demandai-je
Il me regarda droit dans les yeux, je le sentais froid et distant. Il parti sans un mot.

          Le lendemain à la récréation du matin, je le voyais me regarder, mais son beau sourire avait disparu. Je décida donc de lui envoyé un message:
- " Charlie "
- " Si c'est par apport à ce qui c'est passé hier, je suis désolé je voulais pas"
- " je n'ai pas vraiment compris ce qui c'est passé sur le coup, mais j'aimerais avoir quelques explications "
-  " non "
-" comment ça ?  "
- "non!"
-  " je veux savoir Charlie! "
- " ne me donne pas d'ordre Allena!"
- " Sinon quoi !?"
- " j'arrive !"
Je le voyais laissée ses amis, puis emprunté l'escalier entre la cantine et l'entrée du lycée qui mène là ou je me situe.
-" couvrez-moi !? " demandai-je aux filles
-" pourquoi?" me répondaient- elles
Je parti en courant,mais trop tard il était déjà derrière moi. De part sa grande taille et ses grande enjambé, il a su me rattraper. Il empoigna mes bras, me coinça dans un coin au fond du couloir. Je riais aux éclats, quand il posa sa main sur ma joue puis posa ses belles lèvres sur les mienne, un bonheur immense m'envahissait​ , mes jambes était prête à cédé. Il relâcha ensuite son étreinte de mes bras et ses lèvres de ma bouche,il me chuchota près de mon oreille gauche d'un voix rauque :" à demain midi trente devant le parc de la poudrerie "
Je suis restée bouche bée.
          J'aurais tellement aimé rejouer cette scène encore et encore ressentir encore ses lèvre sur les mienne.

          

          Je ne dormais plus je ne cessais de pensée a Charlie de son baisé, rien d'y pensée le désir montais en moi. Et là je savais que j'avais succomber à son charme.
Maintenant il fallait que je découvre pourquoi il était si bizarre la dernière fois. 

 L'INNOCENCE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant