L'INNOCENCE

CHAPITRE 4

En cours de physique-chimie, je ne pensais qu'à lui et à comment je pourrais savoir ce qui c'est passé. À la récréation du matin je le voyais il n'était pas dans son assiette.

Je patienta près du grand portail de la poudrerie, il étais midi trente passé, je regardais de gauche à droite mais je le voyais toujours pas. Je décida de lui envoyé un message avec le peu d'Internet que j'avais.
-" Mais tu es ou Charlie"
- " J'arrive ! "
Je commençais a m'impatienter.
Il arrivait au loin, mais pas seul, il était en compagnie d'une autre fille, je voyais rouge, la colère montais en moi. Charlie lui fait la bise pour un au revoir puis il arriva comme si de rien était. À son approche je pénétra dans le parc sans un mot en colère. Il essaya de me rattraper, mais je suis retourner en lui disant : " c'était qui cette fille ? "
Il me répondit d'un ton grave : "une connaissance" il prennait​ mes mains entre les sienne, je le repoussa violemment en lui disant :" ne me touche pas ! " lui sur la retenu :" ne me donne pas d'ordre Allena "
-" sinon quoi hein ! Sinon quoi ! Tu n'a que cette phrase dans la bouche ! "
Il me regarda droit dans les yeux , il ressenti de la colère mais je n'y est pas prêté attention :
- " je le savais !" lui dise-je énervée
Je reparti en direction de la sortie d'un pas vif et déterminé. Alors que j'étais dans mes pensée je me senti d'un coup soulever, en deux trois mouvement je me suis retrouver sur l'épaule à Charlie. Je me débattais​ comme je pouvais , je le tapa mais rien. Il marchait très vite. On sorti du parc, je ne savais pas là il m'emmena , on parcourait une ligne droite qui menait vers une zone pavionnaire pas loin du lycée. Les gens nous regardaient étrangement dans la rue, mais je n'y prêta guère attention. On arriva devant une belle maison fleuris, je n'ai pas eu de temps de la décortiqué un peu plus. On emprunta un escalier.
On entra dans une chambre assez grande et me jetta sur un lit.
Je rendu compte que c'était sa chambre. Il referma la porte derrière lui avec son pied d'un coup sec. Je le voyais, je le sentais sa colère, mais il y avait autre chose dans son regard, peut-être de l'envie. Charlie s'approcha de plus en plus de moi, mon cœur s'apprêtait à me lâcher. Il se tenait debout face à moi, il me donnais une impression de puissance de part sa grande taille. Il porta ensuite sa main sur ma joue, la caressa tendrement. Son sourire revenait instantanément, j'avais une envie irrépressible de l'embrasser, mais ma conscience ne disait '' non''.
Il se dirigeai vers sa commode au coin gauche de sa chambre, elle était dans une déco très simple sur les tons bleu canard très foncé qui lui donnait de la classe. Il y avait pas de poster comme dans les chambres d' ados normale. Il possèdait une petite statuette magnifique posée au bord de son étagère, c'était un corps de femme finement sculptée dans du bois je dirais à vu d'œil. Mon regard ensuite descendais vers lui, il se retourna mais avec un objet dans sa main droite. Il tenais de nouveau en face de moi devant mon corps immobile. Cet objet qu'il tenais s'avérait être un tissu de couleur noir velours. Je paniqua sur le coup je savais ce qui comptais faire, mon cœur s'accélèrat , je voulais prendre la fuite mais mes sentiments pris rapidement le dessus. Il me dit d'une voix rauque : "détent toi Allena" je lui réplica inquiète : '' que vas tu faire avec ça ? "
Il me fixa pendant quelques secondes, et je lui dit:'' si tu comptes le faire avec moi, je tiens à t'informer que je suis encore vierge '' il esquissa un rictus. Je ressentais de l'excitation, de l'envie, mon corps ne voulais que lui. Il me dit : '' mets toi au fond du lit. ''
Je lui obéis sans hésiter. Sans un mot, Il commença à retirer son t-shirt doucement sans se presser, je vis alors sa musculature très bien dessinée, je savourais ce délicieux moment. Ensuite, il défit sa ceinture, il s'approcha de moi tout doucement, grippa sur le lit à quatre pattes, il continua de se rapprocher de moi, avec grâce. Je commençai à me tortiller sur le lit, mon excitation devenait intense, je voulais juste qu'il m'embrasse avec ses douce lèvres. Il s'arrêta au niveau de mes genoux, il me dit: '' approche toi. '' je continuais à lui obéir comme un patin. Il sorti alors le tissu noir et le posa sur mes yeux. Il me chuchota dans l'oreille :'' détend toi et ne bouge pas''je l'écouta sans protester. D'un coup brusque il me tire sans prévenir, je me retrouvais allongé. Je le sentais me caresser les jambes, puis le ventre, je sentais sa main froide caresser délicatement mes formes. Il montais de plus en plus jusqu'à atteindre ma poitrine. Il retira ensuite mon haut, qu'il remonta à mes poignées qu'il coinça volontairement . Ensuite, il déposa des baisers à la base de mon cou jusqu'à mon bas ventre. Puis, il retira mon jean avec sensualité et ma culotte préférée avec. Il me regardais, m'analysai, m'admirais avec ses yeux plein de désirs. Je me sentais belle à cette instant.