Le vent souffle dans les Landes.
Une liberté personnifiée qui hurle à qui veut bien l'entendre
Que ce monde est futile
Et inutile.
Les brises courent sur les proues
Des bateaux de pirates.
Coiffant les sirènes qui les ornent
De chevelures frivoles et folles.
La tempête frappe les falaises
À grands coups de rafales sauvages.
Elle anime la mer et casse la roche
Aidée de grands doigts salés.
L'orage, aussi magnifique que dangereux,
Du haut de son nuage gris,
Donne aux enfants apeurés
Un spectacle bruyant et lumineux.
Madela🎶
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Et le ciel pleura pour nous
PoetryJ'écris pour rire. J'écris pour pleurer. J'écris pour partager. J'écris pour aimer mais aussi pour détester. J'écris simplement pour dire l'inavouable ou l'informulable. Bienvenue à bord, bonne lecture!
