Le soir même, Marinette attendait la venue de chat noir sur sa terrasse.
Il était 23h quand Chat Noir arriva. Il remarqua tout de suite le voile d'ombre qui planait sur le visage de la jeune fille habituellement si lumineux.
Il atterrit souplement sur la terrasse, faisant sursauter la belle.
- “ Ah ! Bas te voilà enfin ! Je t'attendais.” Dit Marinette.
Gloups. Chat Noir déglutit difficilement. Elle avait l'air en colère.
- “J-je t'écoute.” Bégaya Chat Noir.
- “Alors, comment te dire … Il y a un nouveau ma classe qui se permet de me draguer lourdement en public ! En plus devant le garçon que j'aime ! Et il se peut que j'ai laissé échapper que l'on sortait ensemble … tout les deux … Dans le but qu'il me laisse tranquille évidement ! Et là il me laisse jusqu'à demain matin pour lui prouver la véracité de mes propos.” Déblatéra Marinette à une vitesse ahurissante.
Draguer. Garçon que j'aime. Sortir ensemble.
Houla ! Bien qu'il était déjà au courant de la situation, quelques éléments lui étaient inconnus.
- “Heu, très bien, et en quoi puis je t'être utile ?” lui dit Chat Noir.
- “À ça”. Répondit Marinette, avant de plaquer ses lèvres contre celles de Chat Noir.
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Tout d'abord surpris, Adrien ne bougea pas. Puis trouvant leurs baiser fort agréable, il décida d'enlacer la jeune fille.
Clic.
Marinette venait de prendre une photo. Ils arrêtèrent de s'embrasser surpris par le bruit.
Mais Adrien ne comptait pas s'arrêter là. C'était bien trop agréable d'embrasser sa jolie camarade.
Alors, dans un geste doux, il saisit le menton de la jeune fille et il approcha sa bouche de la sienne.
Il ne restait que quelques centimètres dont il réservait à Marinette, le choix de les franchirent, ou pas.
Dans la tête de Marinette tout se bousculait. Elle aimait Adrien. Enfin … Oui elle l'aimait, mais sont précieux compagnon ne la laissait pas indifférente non plus !
Se sentant perdre la tête. Elle franchit les derniers centimètres la séparant des lèvres de Chat Noir.
Leurs souffles s'entremêlaient, leurs étreintes se firent plus forte. Ils restèrent là pendant plusieurs minutes à s'embrasser, jusqu'à ce que le bip d'alerte du miraculous de Chat Noir ne les réveillent de leurs étreintes plus que ardentes.
- “Je ...T-tu devrais partir.” Lui dit Marinette, les pommettes rosées.
- “Heu, oui-i je vais y aller”. Bégaya Chat Noir avant de s'élancer sur les toits de Paris.
