COUMBA | de l'ombre à la lumière.

Trois.

Salam Aleykoum
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COUMBA

J'étais à présent seul dans cette grande maison. Dois-je fuguer pour sortir de ce cauchemars ? Je pense bien, qui ne tente rien, n'a rien.

Mais avant toute chose, il faut que je reprenne mes cartes d'identité, passeport, fin bref, tout mes papiers, surtout les plus important.

[...]

J'étais a présent devant la chambre de Monsieur & Madame. C'est sûrement là-bas que sa soit être cacher. Je rentra dans leurs chambre, je cherche d'abord dans le placard, les tiroirs de Madame, mais je ne trouve rien. Je chercha du coter de Monsieur, et comme par magie je retrouve ma carte d'identité. AL Hamdullillah. ✨

Donc je chercha encore et encore, et je retrouve tout mes papiers qui étaient cacher dans une pochette. Je regarda tout les papiers pour en être sur, et c'était belle et bien mes papiers. Il y'avais même ma carte bleu. Donc comme je disais, je prie immédiatement la pochette, j'enfila un bas et un haut, et une paire de baskette & une veste. Il ne fait pas trop froid dehors.

[...]

J'étais enfin prête, prête à fuguer, prête à sortir de se sale cauchemars que j'ai endurer, et surtout prête à recommencer un nouvelle vie.

Donc comme je disais, j'étais enfin devant la porte. Je vois là poignet de la porte s'ouvrir. J'ai vite compris que c'était Issam.

Issam - qu'es-ce que tu fous la ?!

- euh ... bah ...

Issam - ferme ta gueul, ta tenter de t'enfuir grosse keh ? Ahahaha - rire nerveux, t'aurais jamais du faire sa.

Il ferma la porte à clé derrière lui, et posa la clé sur la commode qui était près de la porte d'entrée. J'ai même pas le temps de réagir, qu'il ma déjà porter et me posa sur le fauteuil.

Issam - tu te rappelle quand ta tenter de fuir, tu te rappelle de se que je t'ai fait ? Sa sera la même chose, mais en plus pire, t'inquiète, sa fera pas mal.

La j'ai vite compris qu'il voulait encore me violé. Mais la, c'est mort, je me laisserais pas, même avec ma petite force.

- laisse moi, je ne voulait pas m'enfuir.

Issam - mais oui, tu va rejoindre tes parents, tu va crever comme eux, attend tu verra.

La c'était les mots de trop. Je déteste qu'on parle de mes parents. La je sais pas qui m'avais donner la force, Mais j'ai réussis à le pousser. Il était maintenant au sol. Je lui fous un gros coup de pied  au bas du ventre, et ensuite dans ses bijoux de familles. Il criait de douleur, mais je m'en fous ! Je prie la pochette, le téléphone qu'il m'a acheter, et je courus vers la porte, mais il me rattrapa.

Issam - tu crois tu va partir comme sa ?

Je le laisse même pas finir, je lui fous encore un gros coup dans ses bijoux de famille. La je pense qu'il a bien était assommer la.

J'ouvre la porte, et je cours, cours, cours pendant très longtemps ! J'ai jamais autant courus. Je me disais enfin, enfin j'ai réussis à m'enfuir.

[...]

J'étais maintenant bien loin de chez eux, je voyais Issam il m'harceler, donc j'ai mit mon téléphone en mode avion. 📴

A SUIVRE ...