À bout de souffle. (Dramione)

Chapitre 1

Poudlard avait connu des jours très sombres, les jours ou Le seigneur des ténèbres et nous avons fait régner le mal et le cahot partout où nous passions. Mais aujourdhui, pour notre dernière année, officiellement, le château rayonnait. Le bonheur était de retour à Poudlard et ce pour tout ses occupants. Sauf moi. J'étais entré dans le train laissant ma mère seule avec mon affreux père qui ne nous aimait même pas. Il ferait mieux d'etre derrière les barreaux, d'ailleurs c'est ce qu'il va se passer tôt ou tard mais seul moi le sait car bien sûr c'est lâche ce que j'ai fais mais je me suis plains, plains d'avoir été forcé à succomber aux ténèbres à cause de mon père. Personne n'était au courant à part ma mère qui était de mon côté. Cette marque sur mon Bras que j'aurais à jamais je ne la supportait plus, il fallait qu elle s'en aille or elle ne pourrait plus d'en aller. Ce tatouage était incrusté dans ma peau et rien ni personne ne pouvait l'enlever. Je n'en pouvait plus de tout ce que je vivais. Je m'avança dans la grande salle ou des rires venant de toute tables fusaient. Tout le monde portait un sourire aux lèvres, y compris mes amis que je voyais me saluer au loin. Mais je décida de m'asseoir seul, Pas loin de la place que devrons utiliser les premières années après avoir été sous le choixpeau. L'année n'avait pas encore commencer, que je la détestait déjà. Apres le discours du professeur McGonnagall ainsi que la célèbre cérémonie de répartition des premières année, un festin apparut sur les tables, je regarda mon assiette vide avec autour des Millers de bonnes choses à manger. Je n'avais pas faim du tout. Les rires s'estomperent peu à peu, les gens mangeaient à leurs faims, toujours le sourire aux lèvres. Plongé dans mes pensées je n'entendais Pas que le petit garçon de 11 ans installé à mes côtés me parlait. La seule chose que j'etendais était la voix de mon père dans ma tête: "aller Draco, tu ne vas quand même pas faire honte à ton père, rejoint nous. Il a besoin de toi". Une jeune fille à la table des Gryffondor éclata de rire et je reconnu sa voix. Hermione Granger. Elle était resplendissante et pourtant je la détestait, mais La savoir heureuse me faisait tellement plaisir, grâce à elle et ses deux acolytes que par ailleurs je ne supportait pas, Voldemort avait disparu et le calme et la bonne humeur étaient revenus. En réfléchissant, je n'avais jamais vraiment été heureux dans ma vie, tout le monde me tournait le dos, mon père nous frappait ma mère et moi. La meilleure époque est quand j'ai eu cette nourrice autrefois elle me manquait terriblement. Elle s'etait tellement bien occupée de moi... plus que mon père. Ma mère aussi, elle me manquait beaucoup. C'était en quelque sorte ma seule raison de vivre 
désormais. Je balaya la salle du regard et croisa celui d'Hermione. Lorsqu'elle vit mon visage, mon sourire, le siens pourtant si radieux s'estompa. Elle me regarda avec un visage qui éprouvait de la colère, de la haine mais pas uniquement, il y avait une pointe de peur. Je remarquis également que son regard me demander de l'aide lorsque Ron mit sa main sur l'epaule d'Hermione et la pressa. Il arborait un sourire mesquin er je ne comprenait pas trop ce qu'il se passait, mais quand la suite arriva, je compris, je compris pourquoi elle m'avait appeler à l'aide. Mais nous reviendrons là dessus. Je prit un peu de poulet accompagné de pommes de terres et mangea.
"Draco, pourquoi ne viens-tu pas avec nous ? Fit une voix dans mon dos. Pansy Parkinson.
- Oh, je ne vous avait pas vu, mentais-je, où étiez vous ?
- Au bout de la table comme d'habitude. Viens."
Je la suivis en soupirant légèrement. Ils riaient tous et étaient tous très content de me revoir. Mais ce n'était pas le cas pour moi. J'avais envie d'être seul, j'avais toujours été seul. Blaise riait avec Miliscent Bullstrode. Son regard croisa le miens et il m'interrogea du regard. Je secoua la tête et il soupira légèrement. Tout le monde respirait la joie de vivre, le bonheur. Mais je commence à croire que le temps de Voldemort était mieux. On vivait au jour le jour sans se soucier de ce qu'il allait se passer le lendemain. Et étrangement, ca me manquait. Je ne savais pas ce que j'allais faire demain ou encore dans une semaine, un mois, un an...
Un Hiboux s'engouffra dans la salle, suivit d'un milliers de ses semblables. Le courrier. Je vis celui de ma mère au milieu de tous les autres, il tenait entre ses serres un petit paquet avec in noeud rouge et une lettre. Je pris les deux dans les mains et écrivit sur un parchemin que je dis apparaître à l'aide de ma baguette:
"Bonjour Maman, merci pour votre lettre ainsi que votre présent. Je vous écris dès que possible"
Je mit la lettre enroulée dans les serres de l'oiseau qui s'envola. J'ouvrit Alors la lettre que m'avait envoyer ma mère, c'etait une lettre de Poudlard. J'avais du la laisser chez moi, je je l'avait pas vu, peu importe, cette lettre disait que j'etais invité en compagnie d'un élève de Gryffondor, d'être préfet en chef. Bien sûr au début cette nouvelle me réjouissait mais au final, en y réfléchissant, pas tant que ça. Tout ce que j'esperais c'est que je tombe sur quelqu'un comme Granger ou encore Potter. Je ne supporterai pas d'être avec Weasley. N'importe lequel d'ailleurs. Blaise me regarda, je lui tendi la lettre. Il La lu et me dit qu'il avait eu La même. Tant mieux, je pourrais au moins avoir quelqu'un à qui parler... Le professeur annonça qu'il était temps pour nous de nous rendre à nos salles communes. Donc nous préfets devons raccompagner les premières années aux dortoirs et les faire visiter. Blaise et moi nous sommes levés et avons été en leur direction. Ils étaient tous stupéfaits de me Voir, étrangement. J'avais oublié l'espace d'une seconde que j'avais été parmi les partisans de Voldemort. Des chuchotements se firent entendre, et Blaise y mit court assez rapidement je dois dire. On marcha dans le château illuminé par des lampes torches, puis on arriva au dortoir des Serpentard. J'entra apres Blaise qui venait de dire le mot de passe qui d'ailleurs m'avait complètement échappé. Blaise le communiqua aux premières années et je m'avança vers eux.
"Bien, dis-je avec un sourire faux, le dortoir des filles est en haut à gauches, veux des garçons à droite. Ici c'est la salle commune, vous pouvez vous y rendre apres les repas ou les cours si vous avez du temps libre. La bibliothèque reste le meilleur endroit pour étudier.
Et pour la salle de bain, il y en a une grande à chaque dortoirs, vos affaires sont dans vos chambres, on vous les à deja montées. Inutile de vous rappeler qu'il est formellement interdit de se promener dans le château apres le couvre-feu qui commence maintenant. Bonne nuit à toutes et à tous. Renchérit Blaise avant de sortir du dortoir.
Il m'attendit à la porte et je Lui tendi mon Bras pour qu'on transplane à notre salle commune. En ouvrant la porte, on vit que deux élèves de Gryffondor étaient déjà assis. Blaise soupira un bon coup puis s'installa sur l'un des canapés de la salle. En y entrant, je remarqua une silhouette que je connaissais un livre à la main, c'était elle. Elle était avec Ron et Harry. Comme toujours. Lorsque je m'installa près de Blaise, elle leva les yeux de son livre.
"Tiens Malfoy.
-Granger..."