Demain Est Un Autre Jour

Chapitre 4 : Retrouvaille amer.

-Aaaaah....

Un zombie se trouve sur notre chemin. Il ne fallut pas attendre longtemps avant que Conrad ne l'élimine avec une hache. Il s'autorise même a faire un petit sourire, lui qui était a une bonne dizaine de mètres de son groupe.

Conrad : Et de une. Ces saloperies ont au moins la prétention de me distraire un moment.

Jessie soupire devant la gaieté de son frère pour le meurtre. De mon côté, je commence tout doucement à prendre conscience du nouveau monde qui m'entoure.

Thomas : Waw...c'est la première fois que je vois une de ces choses de près...entièrement je veux dire.

Jessie : Ah, c'est sûr que ça fait bizarre, mais comment ça "entièrement" ?

Thomas : Eh bien, le premier jour où tout a commencé, je me suis fait attaqué par mon propre directeur qui était infectés, sauf qu'il s'était fait arraché tout le bas du corps devant moi je ne te raconte pas l'horreur !

Jessie : Waw c'est quelque chose ! Une chance que Érika était la pour te sauver, je n'aurais pas donner cher de ta peau dans le cas contraire.

Thomas : É-Érika ?! C'est elle qui m'a sauvé ?

Jessie : Tu ne savais pas ?!

Thomas : Hum, disons que je n'ai pas eu le temps de comprendre quoi que ce soit ces derniers jours alors j'aimerais bien que tu l'explique ça.

Jessie : Bon, pour faire simple, Érika s'est rendu directement à ta boîte d'informatique pour te sauver les miches. Elle a tiré en plein dans le crâne d'un zombie qui avait bien envie de se faire un festin. Elle as dis aussi que tu as eu beaucoup de chance, car un avion c'était crashé en plein dans ton bâtiment mais la majorité des dégâts se sont produits a la cafétéria je crois elle p'a dit...bref, elle t'a porter jusqu'au chalet. C'est juste incroyable ce qu'on peux faire par amour !

Thomas : Eh ben, si je serais allez en pause ce jour la je serais mort...Je n'en crois pas mes oreilles...Par amour...

Je serre les poings et je prend mon courage a deux mains, j'ai pleinement confiance en Jessie et il faut que je me confie a lui au sujet De Érika

Thomas : A ce propos Jessie, il faut que je te dise quelque chose de très important ! J-

Conrad : MÈRE !

Conrad m'interromps en hurlant et en se précipitant dans une maison. Lui qui disait qu'il ne fallait pas crier et bien c'est contradictoire !

Jessie : Dépêchons-nous de le suivre, c'est notre maison !

Nous courons jusqu'à la maison en prenant le soin de fermer la porte derrière nous. Nous retrouvons Conrad face a une porte fermée.

Conrad : MÈRE OUVREZ ! C'EST MOI CONRAD JE SUIS LA POUR VOUS SAUVEZ !

Jessie : Bordel mais parle moins fort Conrad, jte rapelle qu'on est entourés de zombie ! Je veux aussi la sauver mais ce n'est pas la peine d'alerter toute la ville !

Conrad : Et je dois aussi te rappeler que c'est notre mère Jessie et que je niquerai chaque pourriture qui osera la toucher !