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Il fuis la réalité,
Comme dans un rêve éveillé,
Parmis ses émotions éparpillés,
Il pleure les soirs d'étés, devant ses enfants aux enfances embrouillés,
Il s'excuse de détruire les couleurs en délirant,
La poudre au nez,
le regard éteint,
il pleure les soirs d'étés,
Au pays des âmes égarés.

- à toi, père.

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Étoiles thoraciquesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant