CHAPITRE CINQ

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PDV KLAVA

2015

J'étais donc rester avec eux, je n'avais nul part d'autre où aller et puis, ils avaient l'air d'être les seuls susceptible de m'aider. Sam m'avait d'ailleurs appris que quand j'usais de ma capacité à lire les souvenirs, mes yeux devenaient blanc. 

Mais je restais néanmoins méfiante, ils ne me faisaient pas peur mais vaut mieux rester sur ses gardes. De plus que mon sois disant géniteur était dans les parages, ça me déstabiliser légèrement.

- Aie ! je rugis soudainement de douleur.

- Vous voyez, elle peut avoir mal, se réjouit Tony à son coéquipier Bruce.

- Je n'ai jamais dis le...

- Refaite ça et je vous assure que vous ne verrez plus votre armure, je le menace, un regard détesté.

Ca devait faire deux heures que docteur Banner et Stark étudier mon métabolisme. 

- C'est vraiment dingue Klava, vos cellules se régénèrent en un temps record ! s'exclama Banner, littéralement épaté.

- En même temps, c'est l'arme ultime d'Hydra, rapporta le barbue. Rappelez-moi vos capacités ma jolie ?

- Contact curatif, enveloppe corporelle, force, endurance et agilité améliorer, une résistance plus avancer à la douleur et je peux lire le passé des gens en un contact, c'est en énumérant que je remarque le nombre de mes capacités.

- Que de bonnes choses ! s'écria-t-il, plein de sarcasme.

- Vous les avez tester ? me demande Bruce, en retroussant ses manches.

- Oui pour les choses physiques mais sinon, non.

- Essayez pour voir, ça pourrait être marrant ! me défia le philanthrope.

- Je ne pense...

- Trouillard ? me coupa-t-il et je lève un sourcil, joueuse. 

- Je ne pense pas que ce soit une bonne idée, nous arrêta Bruce. Vous devriez plutôt vous ménager Klava.

- D'ailleurs, pourquoi Klava ?

- Pourquoi quoi ? je lui repose la question.

- Votre nom d'agent Hydra, Klava. 

- J'en sais rien, peut-être que ça sonner bien, je réponds faussement. 

Tony fait un faux sourire avant de repartir à ses occupations. Bruce nous avait aussi quitter pour noter des tas de choses dans son ordinateur. Et moi, je me sentais de trop dans cette pièce remplie d'intelligence. Mais comme si qu'on m'avait entendu, Sam arriva. 

- On sors ? 

- On va où ? 

- Faire quelques rounds. 

Qu'est-ce qu'ils leurs prend de tous me défier ? 

Je souffle et saute sur le sol, je sors de la pièce en le bousculant. 

- On ne va pas vraiment faire des rounds, m'annonça-t-il. 

- On va faire quoi ? 

- Bah... 

Et il ouvrit une porte, qui donna sur le salon principal, où se trouvait Steve, la rouquine et l'homme qui était mon père. C'est vraiment pas fin ça. 

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