Partner [avengers/bucky barnes]

CHAPITRE TRENTE-ET-UN

PDV KLAVA 

2015

La courte nuit que j'avais eu ne suffisait pas à me redonner la pêche. J'étais des plus faible, vraiment. Je n'arrivais plus à dormir, trop peur qu'ils ne réessayent de reprendre le contrôle et qu'ils réussissent. Bucky avait essayer de rester avec moi mais je l'avais forcer à dormir. Je pensais tranquillement à comment j'allais le convaincre de venir avec moi à la base. Il ne viendrait jamais comme ça, je devais trouver les bons mots, il était hors de question que je parte sans lui. Mais il venait en quelques sortes d'apprendre que je faisais partie des Avengers et que je connaissais Steve, je pense qu'il va se réveiller avec un milliers de questions. Chose que j'appréhendais.

- Bonjour.

Je sursaute en entendant la voix rauque et matinale de mon coéquipier, torse nu.

- Comment as-tu dormi ? je lui demande, mal à l'aise. 

- Pas bien, vus que tu m'y as forcer.

- Je suis désolé mais tu devais dormir et regarde, je suis encore là, lui dis-je en levant les bras comme pour lui montrer ma présence.

- Oui, heureusement car on doit parler, me surprit le brun, prenant une tasse à café.

- Ah oui ? je demande stupidement, sachant de quoi nous devions parler.

- Explique moi, tout, m'ordonna Buck, d'un ton si ferme. 

Et c'est ce que je fis, expliquant ma famille, mon rapport au Avengers et ce que j'étais maintenant. Je lui avais tout expliquer, sans oublier le moindre détail. Jusqu'à même la mort de Pietro et ce que ça a déclencher chez moi. 

- Et tu penses qu'ils peuvent faire quelque chose pour toi ? 

- Oui  c'est sûr à milles pourcents. 

- Alors, tu dois retourner là-bas. 

J'aimais pas quand ils disait "tu" alors que je voulais un "nous". 

- Bucky, je-j'aimerais que tu viennes avec toi, admis-je, pinçant mes doigts sans le regarder. 

- Non, le soldat se lève d'un coup et je le suis.

- Ils peuvent aussi t'aider, j'essayais de le convaincre.

- N'y compte pas, j'ai dis non ! 

- Je ne veux pas te reperdre et devoir te rechercher partout, je lui montre ouvertement ma tristesse. 

- Tu sais, j'ai réfléchis aussi à ça. 

- Ah oui ? Et qu'est-ce que ça donne ? 

- Séparé, le lien sera étouffé. Retrouver, le lien sera raviver, oralisa-t-il et je fronce les sourcils. 

Je ne comprend pas un instant jusqu'à ce que je vois où il en venait. Je me retourne, mordant mes doigts et m'insultant dans ma tête. J'avais passé la nuit à trouver un moyen de le garder prêt de moi tandis que lui, voulait qu'on se sépare.