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Bonjour Meilleure Copine,

J'ai tenu conte des remarques que l'on m'a faite. Alors mes notes seront plus longue, mais plus détaillées aussi.

Je suis enfin sortit de l'hôpital.

Mes blessures étaient mineures, heureusement. Je n'ais eus aucun traumatisme crânien.

Quand je suis sortit de l'hôpital, l'air était chaud. Le soleil tapait extrêmement fort.

Je dus marcher quelques minutes avant d'atteindre l'endroit où je m'étais evanouie.

Mystérieusement, il n'y avait aucune trace. Ni de sang, ni de combat .

On aurait dit que le parc  voulait absolument ne garder aucune trace.

Quand j'ai repensé à toute cette histoire, je me suis imaginé un grand échiquier.

Chaque personnes que je connaissais avait sa place dans la partie.

John était une reine, Laetitia aussi.
Matthieu était le Roi, et j'étais moi même aussi un Roi.

Chloé était une tour et mon père un cavalier.

Il n'y avait aucun pion, si se n'est les amis de Chloé et de Laetitia.

Je me suis imaginé la partie.
Il ne restait que le Roi adverse.

Tandis que moi, j'avais encore ma Reine, ma tour et mon cavalier.

Mais le Roi adverse menaçait directement ma reine. Et c'était au tour du Roi de jouer.

Il pouvait prendre ma reine ou me mettre en échec.

Mais avant qu'il ne puisse joué, il devait réfléchir à la stratégie à mener.

Seul contre 4 pièces maîtresse du jeu.

Ah oui j'oubliais...

Les fous étaient la police qui avaient pris la reine adverse.

Mais les fous sont devenu de simple pions... Inutile en cette situation.

Mais contrairement à une partie d'échec classique celui là avait une particularité : C'était une partie d'échec réel, où les pièces étaient de véritables personnes et que en cas de sortie du jeu, risquaient très gros.

Et le chronomètre n'existait pas dans Notre partie...

Chacun pouvait frapper quand bon lui semblait...

De Benji, anxieux.

Salut, Meilleure CopineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant