Un lourd passé

Chapitre 2

-"Dépêches-toi elle va bien se réveiller, on arrive dans longtemps ?!" Dit l'un des deux.
-"Oui, t'inquiète pas, elle nous posera pas de souci cette gosse." Dit le second en s'énervant.
-"On aurait dû la tuer sur place et la bruler avec ses parents !" Dit le premier en criant.
-"Mais non, notre patron a dit que l'on doit la ramener en France, vu que ses parent sont partis alors qu'ils n'avais pas le droit, on va la sacrifier comme on aurai du le faire lorsque sa mère était enceinte d'elle !" Dit le second.

Et là je me souviens !

Les cambrioleurs chez moi, cette nuit, alors comme sa ils auraient tué mes parents et brûler ma maison, tous les événements me reviennent mais je ne comprend pas cette histoire de sacrifice ! Je sens alors une larme couler sur ma joue puis deux puis trois. Il faut absolument que je me ressaisisse, que je rentre chez moi, je n'ai pas le droit de pleurer. Tout se bouscule dans ma tête !

Brusquement, la voiture s'arrête et le moteur se coupe s'ensuive des bruis de portières. Je fais semblant d'être encore inconsciente. Un des deux hommes me claque, pour me réveiller et sa ma marche j'ouvre immédiatement les yeux.

Ils avaient enlevé leurs cagoules, l'un était métisse avec les yeux verts et il était brun tandis que l'autre était blanc, les yeux bleus et les cheveux blond avec une cicatrice en plus sur la lèvre supérieure, ils doivent avec l'âge de mes parents.

L'homme avec les yeux bleus m'attrape, il me met sur son épaule, mon ventre contre celle-ci. Il m'embarque je ne sais où vu qu'il fait nuit je vois rien, j'arrive à remarquer la marque et la couleur de la voiture, une BMW noire lorsque tout à coup on rentre dans un bâtiment, ils ouvrent une autre porte ou la je sens qu'ils montent des escaliers au moins deux étages. Ils s'arrêtent et l'autre qui est derrière moi sort de son sac linge blanc identique à celui utilisé chez moi et me le plaque violemment sur le nez.

Je me réveille cette fois sans mal de tête, je ne peux pas bouger je remarque que je suis, mains et pieds attachés à une chaise pas du tout confortable.
J'essaye-t-en bien que mal de me détacher les mains mais je n'y arrive pas, je suis dans une pièce de petite taille, avec deux fauteuils face a moi coller au mur, moi je suis au milieu de la pièce et derrière moi il y a, à droite  une armoire et à gauche une fenêtre avec les volets fermer, vous vous demander comment je vois ? La lumière est allumée. Tout à coup les deux hommes rentrent.

-"Tu est courant de ce qu'il se passe dans ta vie ma petite, t'est parents ne t'auraient pas expliqué ?" dit l'homme avec les yeux bleus.
-"Vous parlez de quoi la je ne comprend pas du tout !" Dis je en m'énervant.
-" Tu a de la chance que l'on ne peut pas te battre car tu serai déjà morte à cause de ton insolence !" Dit le second avec ses yeux verts.
-" On va tout t'expliquer ma petite, déjà moi c'est Yve et l'autre là-bas c'est Juan, ensuite on est venue ici pour tuer t'est parents et te kidnapper. Tu te demandes pourquoi, car en mille neuf cent quatre-vingt-seize ton père a rejoint la secte et en mille neuf cent quatre-vingt-dix-huit ta mère nous a également rejoints sur les conseils de ton père. Dès l'an deux mille, ils se sont échappés et sont partis pour le Canada pensant que nous n'allions jamais venir les chercher, notre chef les a cherchés pendant dix-sept longues années et il vous a retrouvé au Québec, et il nous a envoyés tuer t'est parents pour trahison et toi on doit te ramener en France et te sacrifier pour notre cérémonie religieuse, à l'époque sa aurai du être le fœtus qu'elle avait dans le ventre, toi." Dit-il avec un sourire dans le coin.

Petite précision avec les yeux bleus c'est Yve et avec les yeux verts Juan.

-"Mais vous délirez totalement, mon parent n'aurait jamais fait partie d'un truc aussi débile ! Ils m'en auront forcément parlé ! Et puis de toute façon vous n'avez pas mon passeport." Dis-je en pensant avoir un coup d'avance sur eux.
-"Rassure-toi, tu pourras quitter le territoire en toute légalité, on a pensé à ton passeport, bref on va dormir dans pièce juste à côté alors ne tente rien on risquerait de t'écouter."