8 Février 1994

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« Le nettoyage ne s'est pas passée comme prévu. Néanmoins, cette erreur pourrait l'aider à s'éveiller. La prochaine fois, nous augmenterons les somnifères. Cette femme a faillis tout faire foirer. Les autres ont tous périt. Il n'y a donc plus de témoins, ni de preuve. Nous pourrons désormais mieux prévoir le futur de notre spécimen. »

K.D.


13h05

Arthur, 15 ans

État de la Floride, États-Unis

Jacksonville

Le son d'un verre qui se casse me surpris et ramena à la vie réelle, brutalement. En me redressant, j'avais les yeux couvert d'un film flou et je pus reconnaître, immédiatement, celle qui, quelques minutes plutôt était appuyé contre mon bras.

Un mal me foudroyait le crâne, suivi d'une suite d'images incompréhensible et d'un cri strident. La douleur m'arracha un feulement et la personne occupé à ramassé le verre, commençait à s'agiter dans tous les sens vers l'extérieur de la salle. En s'écriant :

« Maman, maman, il s'est réveillé. »

La dame et sa fille sortirent de la chambre et partirent chercher l'infirmière la plus près. Je me recoucha lentement dans mon lit. Quand ma tête lâcha prise contre l'oreiller, quelques flash rencontrèrent mes pensées ou mes souvenirs. Je cru apercevoir un homme en costume bleu et noir se tenir devant moi. Puis quelques personnes furent leurs apparitions derrière lui. L'éclairage de la pièce semblait éclatante et les murs blancs comme neige. La scène s'était déroulé si rapidement que je ne pu distinguer clairement les visages de tous et chacun. Mon délire pris fin quand l'infirmière arriva pour prendre ma tension et faire son travail d'inspection.

- Tout semble normal, il est à vous. Je vais avertir les policiers qu'il est réveillé, avisa t-elle la dame qui semblait être ma mère d'accueil, avant de passer l'antre.

- Ça va, Arthi? Comment te sens-tu? Tu as envie de boire de l'eau? Besoin d'aller au petit coin? me bombardait Vix.

- Le petit coin, tout à fait, lui répondis-je.

Isabella me regardait inquiète, avant que je passe la porte avec Victoria. Lorsque je sortis des toilettes , deux policiers m'attendait impatient, sur le pas de la porte. L'un d'eux demanda à ma mère s'il pouvait s'entretenir avec moi, en privé. Sur quoi, elle refusa catégoriquement.

- Déjà! Il vient tout juste de se réveiller. Laissez-lui quelques minutes, voir heures pour s'en remettre. Les événements le prouve, il a encore besoin de repos.

En effet, je remarquais que mon bras droit était emplâtrée et mes côtes étaient enrobée d'un épais bandages. Malgré tout, je ne ressentais pas de réelle douleur, sauf bien entendu ce fichus mal de crâne. Mon corps n'était qu'endormis et fatiguée. J'avais l'impression d'avoir un matelas lourd sur tout le corps.

Puis je décidais de coupé Vix dans son débat sans suite sur ma capacité à répondre à quelques questions. Connaissant celle-ci, la tension ne manquerait pas d'augmenter, si je ne réagissait pas.

- C'est bon Vix. Je ne suis plus dans le coma et encore moins paralysé. Tu peux laisser ces deux agents faire leur boulot, la coupais-je lui. Elle s'écartait et faisait signe aux policiers de passer, quelques secondes avant de disparaître derrière le cadrage de la porte.

- La policière débuta, Bonjour monsieur Attaway, nous avons quelques questions à vous poser au sujet de la journée du 27 Janvier, sois il y a maintenant 2 semaines.

Arthur...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant