Extraits de Shadowhunters / The Mortal Instruments

Chapitre 2 : PDV Jace

Kioukiou !
Comment allez vous ?
*se prends un ouragan parce ce personne ne lui réponds, fonds en larmes et danse le madison*

BON. REPRENONS.

Voici le second chapitre, que je publie tout de suite car le dernier ne me convient pas du tout. Celui-ci a été écris il y a peu de temps, donc j'espère qu'il va vous plaire.
Il ne contient aucun spoiler, mais raconte une scène du livre (qui existe aussi dans la série) sous un point de vue différent, celui de Jace.
Il s'agit de la scène où Clary, Jace (et Simon dans la série ; en plus de Izzy dans le livre) se rendent dans le royaume des fées, et en reviennent complètement chamboulés.
Je suis consciente que la version de la série est sensiblement différente du livre, mais autant prendre comme exemple l'épisode 14 de la saison 2 de Shadowhunters, pour essayer de percer entièrement la carapace de Jace !!!
Multimédia : The Other Side, de Ruelle.
Les spécialistes comprendront ! 😉

Bonne lecture, mes p'tits démons sur pattes !!

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Jace et Clary attendaient Simon dans une pièce sombre, entourés de végétation qui leur donnait la désagréable impression d'être pris au piège.
Ce n'était pas qu'une impression, en fait.
Ils étaient réellement enfermés, emprisonnés dans ce royaume parallèle au leur dont seule la souveraine avait la clé.
Et ils ne pouvaient pas en sortir tant que la Reine ne leur avait pas accordé la fin de leur audience, et qu'ils n'avaient pas récupérer Simon.
Jace souffla.
Il commençait à s'impatienter.
Il observait Clary tourner en rond devant lui, se répétant encore et encore comment elle avait été stupide de laisser Simon en compagnie de la Reine des fées, comment elle s'en voudrait s'il lui arrivait malheur.
Et cela exaspéra Jace encore plus.
En effet, le vampire avait été convoqué par la Reine des fées, véritable manipulatrice, et cette absence ne signifiait rien de bon.
S'absenter seul à seule avec le downworlder le plus influent de tout le monde obsur était déjà une mauvaise idée, Jace en était conscient.
Mais l'occasion de se retrouver avec Clary sans le vampire casse pied dans les pattes était une proposition trop tentante.
Alors il avait acquiescé, sans remord, de laisser Simon entre les mains de la Reine, sans laisser à Clary le temps de protester.
Il avait espéré pendant ce temps mettre les choses au clair entre elle et lui, la supplier de lui pardonner le fait d'avoir caché qu'ils n'étaient pas de la même famille, lui expliquer que c'était une erreur de sortir avec Simon, la convaincre de ne faire confiance qu'à lui, à lui et lui seul.
Que personne d'autre ne pouvait l'aider, l'aimer autant qu'elle ne le méritait à part lui.
Blague à part.
Clary était perdue sans Simon et essayer d'attirer son attention sans qu'elle ne se mette en colère ou qu'elle ne réponde pas était quasiment impossible.
Alors Jace fit un effort surhumain pour ne pas protester et pris son mal en patience.
Clary s'agitait de plus en plus devant lui et s'arrêta un instant pour mettre sa tête entre ses mains.
Jace aurait voulu la prendre dans ses bras pour la rassurer, lui dire qu'il était là et que tout allait bien se passer.
Mais il se ravisa.
Clary sortait avec Simon dorénavant, il devait s'y faire.
Clary retira sa tête d'entre ses mains et déclara :

- On n'aurai jamais du laisser Simon tout seul. On n'aurait jamais du le laisser venir avec nous.

Jace ricana intérieurement.
Il avait prévenu le vampire que tout dans ce monde était dangereux, et de ce qu'était capable la Reine des fées, vielle de plusieurs centaines d'années.

Mais le vampire n'avait rien voulut savoir.
Il lui avait tenu tête et tenait avant tout à accompagner Clary.
Jace avait beau nier, il le comprenait.

Il aurait fait exactement la même chose.

Il se rappela la fois où il avait avoué à Clary qu'ils n'étaient pas réellement frère et soeur, et l'évidence tristesse qui s'était peinte sur son visage quand elle avait appris la nouvelle.
Mais ce n'était pas le fait de savoir enfin la vérité qui l'avait mise dans cet état là, plutôt de l'apprendre beaucoup trop tard.