3. Audremart

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Le voyage commence par un trajet en voiture ennuyant et bruyant qui me semble être une éternité. Nous arrivons enfin à destination dans notre appartement, après avoir ranger les affaires on se change, enfilant notre maillot de bain et nous allons à la plage.

En arrivant au bord de la plage on enlève nos chaussures pour pouvoir avoir la sensation du sable chaud sous nos pied, l'air marin nous pose un goût de sel sur le bout de nos lèvres.

Nous laissons nos affaires en vrac à même le sol et direction le bleu qui s'étend à perte de vus et qui nous envoie de fine gouttelettes salées.

Le premier contact de l'eau et de nos orteils c'est comme les enfants, des cris de surprise en constatant la fraîcheur de l'eau en contraste avec la chaleur de l'extérieur. Puis toujours le même pote de la bande qui saute dans l'eau et nous trempes sans demander son reste.
Nous sentons le soleil chauffer l'eau et par la même occasion notre peau qui n'as pas l'habitude de voir autant de soleil. D'ailleurs une partie de la ''bande'' est aller ce mettre à l'ombre pour ne pas sentir de trop la morsure du soleil.

Nous attrapons le plus chétif et nous le couvrons de sable, il sent alors chaque grains de sable glisser sur sa peau jusqu'à être enseveli sauf la tête n'abusons pas, soyons un minimum sérieux.
Le soleil commence à décliner dans le ciel, laissant une belle vus sur le dessus de l'eau. Le ciel ce reflétant sur l'eau c'est vraiment quelque chose de beau, j'ai même un ami, du moins je pensais, qui en profita pour m'embrasser. Je sentis mes joues passer de rosie par le soleil à rouge pivoine, ses lèvres avaient un goût sucré en plus d'une petite pointe de sel laisser par la mer.
La soirée continua, les garçons partirent chercher la viande et les légumes, nous les filles nous nous occupions de préparer le barbecue. La chaleur des braises et l'odeur de charbon de bois emplis mon petit nez. Mais mon nez réagis encore plus avec l'odeur de la viande grillé ainsi que celle des légumes. Nos papilles ce réveillèrent avec les boissons, sucré ou alcoolisé ça dépend de chacun. Nous avions achetés de quoi faire un mini feu d'artifice ; avec les feux de Bengale, des petits feux tournant sur place ...

Une partie groupe est partie ce balader sur le bord de la plage pied nus, pour aller ramasser les coquillages tous les plus jolies les uns que les autres. Au toucher certains sont lisses et doux, alors que d'autre on une surface rugueuse voir coupante. Certains sont habiter alors quand tu l'attrape et que tu te fais pincer tu lâche un cris peut viriles et les autres se fendent la poires. Et tu reviens avec le doigts à la bouche avec un petit goût ferrer qui si propage tu mets du désinfectant ça pique mais tu sert les dents et pose un pansement comme les petits.

La soirée ce termina assez tard, la fatigue ce faisait ressentir petit à petit, bientôt tout le monde fus endormis.

Le lendemain tout le monde fut lever vers 10-11h, nous décidons donc d'aller faire une petite balade en début d'après midi.
La balade ce fais en forêt, l'air ambiant est frais il fait bon, l'ambiance est enfantine. 

Ça prend de la mousse humide et ça ce la jète dessus, ça taille des petites branches et surtout nous trouvons un petit coin où nous trempons nos pied avec l'eau qui est bien froide tellement qui certain on la sensation de brûlures aux pieds.

Nous finissons par rentrée en fin d'après midi, nous avons pas trop vus le temps passé en même temps quand tu joue comme un enfant.

Nous faisons encore un barbecue mais cette fois nous échangeons les rôles, et forcément entre filles sur le trajet nous parlons des garçons de la bande, et là une question fit siffler mes oreilles.

" Dis El, tu en pense quoi de Aloïs ? "

Je vire au rouge à peine les paroles on franchis les lèvres de mon amie, je repense directement à son baisé à la fois sucré et salé, le goût n'était pas déplaisant au contraire ; mais je ne peux pas me résoudre à leurs dire qu'il me plait.
Je sens leurs regards sur moi, mon cœur s'emballe et tape contre ma cage thoracique pour pouvoir sortir ...

'' I-il est plutôt mignon avec ses cheveux toujours en bataille, et ses yeux gris clairs ... mais après il reste un ami pour moi ''

'' Alors comment ça ce fais que tu l'ai embrassé hier ? '' me dit Alysia

'' J-je l'ai pas embrassée volontairement ...''

Fénéra soupir pour mettre fin à cette histoire, je la remercie intérieurement. Nous nous dépêchons d'aller faire les quelques courses nécessaire pour ce soir.

En revenant, nous ne voyons personnes et les barbecue est toujours éteins. Je prends mon courage à deux mains et rentre dans notre appartement plongé dans le noir aussi. Au moment où je franchis le pas de la porte je sens une main ce poser sur ma bouche ainsi qu'un torse dans le dos accompagner d'un bras autour de ma taille. La panique me prends, je me mets alors à gesticuler pour me libérer de cette personne que je présume être un homme. Mais je stoppe tout mouvement quand j'entend une voix suave que je reconnaitrais entre mille, rien qu'en entendant le timbres de cette voix mon corps s'appuie contre lui. Ses paroles m'ont calmée.

'' El, ne bouge pas et ne fais pas de bruit nous voulons chacun notre récompense pour avoir était chercher la viande d'hier ''

Suite à ces quelques mots il me fis me tourner ainsi je me retrouve en face de lui, ses lèvres viennent s'emparer des miennes sans que je ne puisse rien dire. Il me chuchota de me taire et de le suivre sans bruit ; ce que je fis.

J'espère juste de Fénéra et Alysia ne m'en voudrons pas trop ... remarque elles ne devraient pas trop m'en vouloir, je pense que la fin de se petit séjour ce terminera bien pour nous six.

En parlant de ça, je t'endis l'oreille pour voir si les filles étaient rentrer dans l'appartement pour chercher les garçons en plus de moi. J'entend alors le cris de surprise étouffée de Fénéra. Aloïs me dis que c'est Daénis qui voulais profiter de Fénéra, il l'aime depuis un petit moment mais n'à pas été aussi courageux que lui pour l'embrasser. Du coup il nous reste Alysia avec Noamus.

Nous les entendons aller chacun dans leurs chambres accompagner de leurs demoiselles de soirée ou plus. Je pense que les filles on eux le droit à quelque explication sur ce qu'il ce passait. Nous sommes les premiers à retourner dehors, nous nous occupons donc du barbecue. Je sens l'air frais qui commence à tomber, et malheureusement pour moi je n'arrive pas à le cacher, résultat Aloïs est aller chercher un de ses pulls pour que je l'enfile, nous nous sommes un peu battue comme des enfants pour qu'au final il me coince et me l'enfile. Au moment où ma tête sors du pull il m'embrasse sans rien demander de plus, et il me serre contre lui. Et en même temps qui c'est qui sort de l'appartement ?! je vous laisse devinez : les quatre autres de la bande qui nous observe avec intensité pour que M. Aloïs me lâche, ce qu'il fini par faire ; sans pour autant ma lâcher complètement. Il me tiens la mains et je sens alors la chaleur de son corps et les pulsation de son coeur.

Nous faisons le barbecue, la viande est toujours aussi bonne. Nos palets sont en extases et nos estomacs grognent de plaisirs. Au fils de la soirée, nous avons parler un peu de tout et n'importe quoi. Vers 00h j'ai les yeux qui commencent à me piquer et le froid continue d'engourdir mon corps malgré le pull et les bras d'Aloïs autour de ma taille qui me colle à lui pour plus que j'ai froid, chose complètement impossible vus mon état de fatigue. Je prend l'initiative de faire un bonne nuit générale aux autres, et de voler un baisé sucré/salé à celui qui fais battre mon coeur depuis le début du voyage qui n'auras pas durer assez longtemps à mon gout.

En allant au lit je ne tarde pas à plonger dans un sommeil profond, mais cela n'empêche pas que je me réveille légèrement quand je sens un corps chaud se coller au miens me donnant par la même occasion des frissons avec une main froide sur mon ventre tiède. Je ressens aussi un souffle dans le creux de mon cou me faisant contracter tout les muscles de mon corps. Je me détends quand je remarque que le souffle dans mon cou est régulier, je comprend donc qu'Aloïs c'est endormis et refuse de me lâcher.

Le lendemain nous reprenons la route du retour, pour reprendre nos études~

Fleur De PlumeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant