CHAPITRE 3 : La triste réalité

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CHAPITRE 3

Je pris ma "valise" si on peut appeler ça comme ça, et tirant sur les bras des filles je me mis à avancer à vive allure pour me faire le moins possible remonter par ma mère car, oui pour elle chaque minute compte, et donc plus de temps elle nous attendra, plus je serais privée de portable ou autre.

Enfin ... je marchais vite jusqu'à ce que ma valise en fasse des siennes et qu'elle parte dans tous les sens. On aurait dis qu'elle dansait une valse ou je ne sais quelle danse où l'on effectue des pirouettes ! Hahaha ! -pour dire, je rigole maintenant en revoyant ma valise gesticuler mais au moment même cela m'énervait plus qu'autre chose car elle me ralentissait-

Je le pris alors par la poignée et commençant à trottiner en espérant que les filles suivent même si, elles, leurs valises fonctionnaientt comme une valise est censée fonctionner.

Je descendit l'escalator en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, puis ralentit l'allure voyant, ET que les filles trainaient derrière -sûrement qu'en plus, Léana avait du s'arrêter voyant des magasins qu'elle adorait- ET que j'approchait des portes, donc, des parkings.

Je m'avançait pour passer les portes vitrées mais soudain je me pris la surface transparante en pleine face, cette fois je n'avait pas eu le temps de placer mes mains devant moi, ne voyant rien arriver. Je jurais et me frottait la tête, remarquant que la porte ne s'était pas brisée en mille petit éclats et morceaux -ces portes devaient être en double ou triple vitrage-. "Heureusement" ce n'était pas la première fois que je me prenais une vitre, et cette fois-ci je ne me l'étais pas prise très fort. Je notterais la violence à 4 sur une échelle de 10 de prenage de vitre.

Je me frottais la tête, espérant de ce fait ne pas avoir de montagne sur mon front.

Je vit alors que les portes n'étaient pas automatique et qu'il y avait une poignée pour les tirer, ce que je fis 2 secondes plus tard. Je crois que peu de personnes s'étaient aperçu de ma liaison avec la vitre, alors j'avançais, et, arrivée dehors, le soleil m'éblouit. Je plaça ma main de façon à ce que le soleil n'arrive pas jusqu'à mes yeux, pour ne pas avoir besoin de les plisser -ce que je fit quand même- et commença à observer les voitures garées non-loin.

Une main se posa sur mon épaule, me faisant sursauter, je me retournis en vitesse avant de remarquer ma mère, se tenant debout derrière moi, rayonnante.

"-Coucou ma puce ! souria-t-elle.

-Je t'ai déjà dis de ne plus m'appeler comme ça maman ! Je n'ai plus 8ans ! dis-je avant de regarder aux alentours, pour voir si personne n'avait remarqué ce surnom -je l'avoue mignon parfois, mais- quand même stupide et enfantile que ma mère a l'habitude de me donner, contre mon grès !"

Oubliant ses paroles, et ma joie de la retrouver, je la pris dans mes bras, posant ma tête dans son cou. Car, même si cela arrivait souvent qu'elle m'épuise et m'énerve, je l'aimais comme on aime sa maman et elle m'avait beaucoup manquée durant tout ce temps passé loin d'elle.

"Tu m'as manquée maman !" dis-je heureuse de l'avoir enfin retrouvée.

Je m'écarta d'elle et tournant la tête, puis vit mes deux amies arriver, trainant leurs valises à bout de souffle. J'étais moi aussi essouflée après ce petit sprint pour descendre ces deux étages.

Ma mère leur lança un grand sourrire avant de les embrasser chaleureusement, elles faisaient elles aussi partit de la famille à ma plus grande joie et ma mère, protectrice comme elle est, les considère et les traite comme mes soeurs.

"-Salut Hélène !" lança Léana, elle aussi souriante.

-Tu vas bien ? demanda Agathe"

Oui, Hélène, c'est le prénom de ma mère ET celui de ma grand-mère, qui est tellement narcissique qu'elle a voulut appeler sa fille pareil, ésperant qu'elle soit "aussi parfaite !" qu'elle ... Ma famille, c'est une longue histoire !

"-Oui et vous les filles ? répondit ma mère. On monte en voiture ? On aura tout le temps de parler une fois dedans, je vous avoue que j'aurais besoin de m'assoire.

-Ho bien sûr !"

Nous primes nos valises puis ouvrâmes le coffre et les enfourgâmes à l'intérieur comme on pût. Je claquais la porte pour ouvrit celle de derrière et nous nous serrâmes à l'arrière sur la banquette prévue pour 2 personnes comme on avait l'habitude de faire et ma mère, nous regarda encore une fois dans le rétroviseure, avec un air de dire que nous étions stupides et bornées. Ce que nous sommes.

Si ma mère avait voulût s'assoire c'est par-ce qu'il y a 3ans, elle a eu un accident de voiture, qui ne sait terminé autre part qu'aux urgences, où on nous à annoncé qu'elle ne pourra plus marcher de sa vie. Elle était paralysée de la jambe droite, dût à un choc aux vertèbres et cela ne se remettra pas nous a annoncé les médecin.

Aujourd'hui, par un fabuleux miracle, sa jambe est redevenue sensible et elle suit des séances de rééducation après 2ans passés en fauteuil roulant. Elle n'a pratiquement plus de muscles et c'était compliqué pour elle au début de se tenir debout mais maintenant, elle arrive à marcher correctement, elle prends tout de même sa béquille la plupart du temps, et les jours où sa jambe lui fait vraiment souffrir, nous la poussons en fauteuil. Ce qu'elle déteste, se sentir faible et démunit.

En tout cas, aujourd'hui elle n'avait pas sa béquille avec elle et ayant encore du mal à faire de longs efforts, souffrait de son accident.

Installées à l'arrière nous commençâmes à nous remémorer les fabuleux souvenirs des ces vacances passées en Amérique chez la grand-mère de Léana.

Ma mère nous écoutait attentivement malgrès le fait que je l'avait appalée tout les jours et que donc, elle connaissait pratiquement par coeur notre séjour.

Absente, je regardais par la vitre, appuyée sur mon coude, heureuse d'appercevoir ce paysage que je connais si bien et qui est le mien. De retour, enfin.

Troisième chapitre, pour l'instant c'est celui que je préfère (trouve le mieux écrit), je poste rapidement ce moment mais je pense que le rythme va ralentir par la suite puisque je suis tout juste en train d'écrire le 4.

Baiser d'amour sincère♥

My name is MOIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant